𝐎𝐧𝐞 𝐍𝐢𝐠𝐡𝐭 ( 𝑰 𝒎𝒆𝒆𝒕 𝒚𝒐𝒖 𝒊𝒏 𝑷𝒂𝒓𝒊𝒔 )

Chapitre 15 : How it's possible ?

- Shin Mina -

- Habiter ensemble va être ingérable.

Jungkook leva un sourcil à ma phrase avant de pouffer de rire en se retournant vers son ordinateur posé sur sa table. En voyant sa réaction quand à mes doutes, je gonflais mes joues en le regardant. Voilà, c'est ce que je disais. Habiter ensemble va être impossible.

- Tu as peur de tomber entre mes bras ? Demande-t-il d'un ton moqueur en tapant rapidement sur son ordinateur.

- Compte pas la dessus. Il ne se passera rien entre nous avant longtemps.

Il éclata soudainement de rire me faisant sursauter d'étonnement. C'est quoi son problème sérieusement ? Je ne fais qu'énoncer une vérité. Je n'irais plus me réfugier dans ses bras, cela me créerais d'autre problèmes mais niveau sentimentale cette fois.

Il se calma au bout de quelque secondes et il prit une grande inspiration avant de parler.

- Chérie. Je ne sais ce qui se trame dans ta mignonne petite tête mais en tout cas, je sais pertinemment qu'habiter ensemble et ne pas se toucher va très sûrement être impossible.

Énervée, je me tournais vers lui en me levant du canapé près à en découdre alors qu'il s'adossa au dossier de sa chaise, une moue ennuyé sur le visage.

- Désolé pour toi, mais que tu le veuille ou non, tes mains resteront dans tes poches jusqu'à nouvel ordre. Tu as préparé un déménagement sans m'avoir consulter donc pour te punir, privé de sexe.

Ses yeux se plissèrent devant ma tirade.

- Donc, tu veux coucher avec moi mais comme je ne t'ai pas consulter...c'est non ?

Mes joues chauffèrent en entendant le début de sa phrase et je bégayais en le regardant me fixer intensément, un sourire en coin coller sur le visage.

- Enlève ton sourire pervers de ton visage, et arrête de déblatérer des conneries !! Je-

- Une pièce dans le pot. Me coupe-t-il.

Je me figeais en l'entendant dire ça. En voyant ma tête figée dans le temps, son sourire s'agrandit avant qu'il ne se lève gracieusement. Il s'arrêta en face de moi et sans que je m'y attende, sa main se levais vers mon visage avant de le caresser délicatement de sa paume. Un délicieux frisson me parcouru et je me recule abruptement en écarquillant les yeux devant mes réactions.

Cet homme est un démon.

Il se mit à parler, et dans mon état fébrile, je fus étonnée d'entendre sa voix prendre une teinte sensuel.

- Tu as vu ? Tes tétons pointent. Ta respiration est lourde et tu halète. Tes joues et tes oreilles sont rouges et ton visage est brûlant. Tes jambes et tes bras tremblent et j'imagine très bien que si je passais ma main sous ton jean, j'y trouverais une culotte parfaitement mouillée. On pari ?

Je tressaillis devant sa description de mon état. Je ressemble sérieusement à ça...? Les papillons qui se mirent à danser dans mon ventre me donne la confirmation.