Elle s'accrochait à lui comme si sa vie en dépendait.
Elle le serrait fort comme s'il allait s'en aller.Il était là, il serait toujours là.
Il est l'épaule sur laquelle elle peut pleurer,
sur laquelle elle peut se reposer.Dans ce quotidien noir où elle s'interdisait de pleurer sa voix la guidait.
Elle savait que même si elle se sentait seule,
même si elle n'osait pas hurler au Monde ce que contenait son coeur, même si parfois
elle voulait partir, tout abandonner, s'en aller, s'envoler, faner, mourir.Il était là, quelque part.
Il était là.
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PoetryDes idées se bousculent dans ma tête. Je dois écrire, c'est l'heure. Tout s'organise très rapidement, et puis, mes doigts se mettent à taper vivement sur ce petit écran. Il est minuit et je dois tout écrire avant que mon coeur péri.