( J'ai essayée de le rendre plus poétique mais je sais pas si c'est réussi )
je me sens mal,
Si plat, je me sens pâle.
j'ai l'impression de m'oublier
peut à peut, je doit briller.
J'ai l'impression,
comme une pression,
de ne plus me reconnaître,
de me perdre,
sous cette brume infime.
Je brûle, je m'abîme,
au fond de moi,
je me noie,
en repensant à avant.
Je crie, je pleure vidant,
de l'intérieur mes pensées,
sont si exaspérée,
elles disparaissent sous la buée.
Mon cœur bat embrumé,
de plus en plus, je perd,
je désespère,
l'impression de sortir,
Je vais finir, par croire le pire,
j'ai peur de celle-ci,
me tueras-t-elle ici ?
Ou est-ce mes remords,
Dans ces temps si mord,
mon oublie me perdra ?
Ou alors acceptera ?
Ou est-ce tout ceci,
Dans ces soucis,
combiné ensemble,
qui me finira ? Il tremble.
Au final je souris,
Et au font je pourri,
pour l'oublier,
Comme un bouclier,
mais ma peine,
sous la pleine,
va me dévorer.
Elle me dévore et,
j'ai mal, j'ai peur,
En cette heure.
enfaite ou suis-je ?
Et qui suis-je ?
Je suis la haut ?
Comme un oiseau,
Je vole, ah non,
je me suis trompé, bon,
je suis bel et bien là,
sur terre au-delà,
Mais heureuse,
ou joyeuse,
certainement pas.
Au bout du fil je m'agrippa,
Et la haut le serai-je,
Bien la-bah pensai-je,
certainement pas.
Je m'aidas.
Mes paroles, n'ont aucun sens,
car elle se perdent, je pense,
et s'entremêlent,
au rythme, incessant, épelle
de mon coeur battant si fort.
Et pour cette effort,
je vais finir par te dire
que le désordre, interdire,
dans ma tête, se reflète la nuit,
Sous cette pluie,
dans mon incapacité à dormir,
Si dur de revenir,
et dans mes larmes,
Sous le charme de l'alarme,
qui ne coulent même plus,
à l'extérieur, inclut.
Frustrée je me vide l'esprit,
en écoutant de la musique, méprît,
effet inverse, je me sens,
encore plus mal, et pourtant,
et en même temps,
je me sens bien, si étrange,
et incompréhensible, sa dérange.
Même mes textes reflète,
cette incompréhension, enfaite.
Je vais finir par croire,
que si je ne me comprend pas, ou voir.
Personne me comprendra.
Mais est-ce si simple que sa,
de se comprendre alors que l'on s'aime pas.
Je ne m'aime pas, et sa,
la nuit en ne pouvant dormir,
je réfléchis, et je comprend, le pire,
je suis qu'une ordure.
Comme une ouverture.
Et je me demande alors,
comment on peut m'aimer, dès lors.
Et je me dit, que je ne mérite pas,
qu'on se souci de moi. Me frappa.
Je comprend alors que rien,
Sous aucun moyen,
ne me serait venue,
à l'esprit si le sommeil me serait parvenu.
Et après je me dit,
Comme une maladie,
que c'est bien méchant,
Au près de ces chants,
de jeter la faute sur mon sommeil,
qui n'a rien demandé. Sous le soleil.
Donc je me hais encore plus.
Merci a toi qui l'a lu.
Mais était-ce vraiment nécessaire ?
J'y pense, je crie misère.
Merci d'être là pour moi.
Mais l'es-tu ? En sois.
Trop de question,
qui me parviennent à l'esprit. Une connexion.
Je me sens partir dans l'oublie,
dans l'inconnu. Je m'assoupie.
Et je te dit adieu.