(publié le: 04/01/21)
Mo:Ouais c'est bon je t'attends.
Mo continue de faire rebondir la balle en lançant un regard de défi à Jonathan comme pour lui dire. "essaye de me la prendre.". Le décoloré se mordit la lèvre inférieure en se mettant en position d'attaque. Il courut vers le roux puis tendit son bras pour intercepter l'objet rebondissant orange. Mo pivota habilement en changeant de main. Il réussi à parer l'attaque du jeune homme et à conserver la balle. Son adversaire eut d'abord une expression surprise avant d'avoir un grand sourire d'excitation. Le grand réattaqua en faisant un pas chassé puis frôla de peu la balle. Mo conserva la Balle de justesse. Il l'avait passé entre les jambe de Jonathan, et il passa derrière lui. C'était un tour de force de réussir ce type de dribble face au jeune américain. Jonathan soupira de frustration avant de revenir à la charge. Il réessaya de la lui prendre, et chaque fois qu'il la frôlait, le roux dévia sa trajectoire. L'américain rouspéta encore pour la énième fois en ayant un nouvel échec, mais il appréciait énormément la difficulté, cela faisait des années qu'il n'avait pas eu du fil à retordre.
Mo:Bah alors ? Qu'est ce que tu attends pour me prendre la balle ?
Mo sourit légèrement en coin pour essayer d'énerver Jonathan. Cet remarque irrita le sportif. Il essaya à nouveau de lui voler l'objet des mains. Mo esquiva une fois de plus Jonathan en passant sur sa gauche en dribblant. Il était rapide et précis dans ses mouvements. Après plus de trente minutes de jeu, Jonathan fit un faux mouvement au niveau de l'épaule. Il s'arrête et prit son épaule d'une main avant de se la craquer.
Jonathan:Je pense que mon corps n'en peut plus
Mo:Bon et bien, on arrête là. Il est quel heure d'ailleurs ?
Mo transpirai pas mal alors qu'il essuya son front d'un revers de manche.
Jonathan:Je sais pas... J'ai oublié mon téléphone sur le toit...
Il essuya sa sueur avec le bas de son t-shirt puis bailla.
Jonathan:Mes muscles me tiraillent...
Mo:Tu devrais aller chercher ton téléphone. Moi je vais me changer... Je dois être à mon boulot à 18h.
Jonathan:Fleeeeeeeeeeemme...
Il sorti du gymnase en traînant des pieds, sur le chemin, les élèves le fixaient avec surprise étant donné que le grand n'avait pas son uniforme sur lui, mais il ne s'en souciait pas. Il se dirigea vers le toit avec flemme
Mo lança le ballon dans le panier puis il se dirigea vers les vestiaire, se changea et regarda également l'heure. Il était 17h30 et il se dépêcha de se rendre à l'arrêt de bus. Il était fatigué mais il n'avait pas intérêt à arriver en retard. Jonathan revint dans le gymnase pour se laver et rhabiller. Il sorti ensuite de l'endroit pour rentrer chez lui. Il fut accueilli par son chien et sa mère avant de faire sa routine du soir. Mo pris son service dans un bar. Il y bossait trois fois par semaine pour gagner de l'argent afin de payer les dettes de sa famille. Ce qui expliquait qu'il soit fatigué en classe.
Mo:{ Mon service dur jusqu'à Minuit... Ça va être long}
Du côté de Jonathan, alors qu'il allait se coucher, sa mère le retint.
Mere:Jonathan, tu pourrais m'acheter des épices ? Je n'en ai plus et ça m'est complètement sorti de la tête
Jonathan:Oui Mom
Il lui colla un baiser sur le front puis enfila un short ainsi qu'un t-shirt, rien de plus normal. Il prit de l'argent en sortant de chez lui. Mo sortit nettoyer les tables en terrasse. Il ramassa les verres vide et il récupéra les quelques pièce de pourboires. Il était au alentours de 22h30 et il était vraiment fatigué. Le basané sortit d'un magasin avec des sachets en main, il était assez embêter, car le magasin devait fermer très rapidement ses portes, alors il n'avait pas eu le temps de demander des renseignements sur le chemin à prendre pour rentrer chez lui. Comme il ne faisait pas très jour, Jonathan dû entrer dans le premier endroit qui semblait ouvert, c'est à dire un bar.
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Histoire de riche, Histoire de dette [EN PAUSE]
Action[EN PAUSE PENDANT LONGTEMPS] Entre des conflits familiaux et des histoires de dette, nos deux protagonistes vont devoir se serrer les coudes plus qu'il ne le faut. Jusqu'à où ces conflits iront ?