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Taïga...

Je suis désolé, je n'aurais pas du te contredire hier...

Je me lève et me transforme en loup, il faudra que je reviennes nettoyer plus tard parce que le sang est à perte de vu, il en a pas seulement au plafond. Je me change en loup et retourne en marchant à la maison, mon pelage est lui-même rougeâtre. 

-papa?..

Je marche en le contournant mon fils au cheveux rouge, mon chérit dors dans mon lit, je me détransforme et m'habille et ressors, je n'ai pas dormis, et je dois allé nettoyer, pas de bol.

je prends un seau et le remplit d'eau et de savon, mon vampire, vient se poser à mes côtés.

- je vais t'aider.

- sans façon.

- pourquoi?

- tu va faire une crise si tu vois ce qui c'est passer là bas.

- je m'en fou, je veux t'aider.

- pas faire de crise serais déjà très bien.

Il me suis à la trace et quand je rentre dans le bunker il se stoppe.

- à qui appartient tout ce sang?

- à qui penses-tu qu'il appartient, surement pas à notre fils.

- ... Chéri...

- je vais bien.

Je commence à laver ne me préoccupant pas du tout de mon amour, quand je disais être fatiguer.

- je suis désolé...

Je tourne les yeux vers lui, sans pour autant me tourner.

- c'est juste que... Tu me fais mal quand c'est ta transformation... J... J'ai l'impression que quand tu te transforme la seule chose à quoi tu t'occupe est de te faire enlevé ton mal, tu ne fais aucunement attention à moi qui est en dessous...

Je me tourne, il n'a pas totalement tort en même temps, nous les alpha nous sommes très égoïste, avec une force inhumain, si il avait été soit un oméga ou un être humain, il serait mort de mes coups de bassin.

- je suis désolé, je vais venir ici pour les prochaines transformation ça ne fais rien.

- tu vas te tuer.

- non, le soir de pleine lune c'est comme, les menstruation pour les filles, tu ne meurs pas avec n'importe quel quantité de sang coulé, donc soit au 29 jour ou au trente jours on est dans nos semaines.

- ... 

- qu'est-ce qu'il y a? 

- avant hier, tu te souviens que Jūn voulais me parler?

- ouais.

- il m'a parler de ça justement.

- quel est le ça?

- il ça fais trois nuit, il se réveille et dans ses sous-vêtements il y avait du sang.

- d'accord... Il est une filles?

- non mais je ne sais pas ce qui a.

- ça doit être une préparation pour la pleine lune.

- ...

- on va allé chez le médecin à la fin de la semaine si ce n'est pas régler.

- qu'est-ce que l'on va faire, demain ils reprennent l'école.

- je sais pas qu'il met un tampon.

Le regad que me fais mon amant est terrifiant.

- tu blague j'espère, jamais.

Je l'embrasse en riant et me remets au travaille.

Quand on retourne à la maison il n'y avait aucun bruit nous montons dans la chambre de Jūnansei.

Il pleure dans les bras de son jumeau.

- qu'est-ce qui ce passe?

- c'est Jūn il saigne.

Je m'approche et demande à Sokudo d'amener et de resté avec les enfants dans sa chambre, au départ il refuse, mais quand je lui dit que ce ne sera pas long il cesse et le fait.

Je ne suis pas très à l'aise à l'idée de regarder ça, je me tourne vers mon amour.

- tu ne voudrais pas le faire à ma place?

- faire quoi je ne suis pas un loup.

- ...

Je tourne Jūn de bars et lui soulève les jambes, après une grande inspiration je regarde, mes sourcils se fronce et je le lâche.

- b... Bon on... On va allé chez le médecin demain...

- qu'est-ce qu'il a?

- tu n'es pas un loup tu ne comprendrais pas.

Il soupire et on sort, je ne sais pas si laisser Soso et Jūn ensemble serais une bonne idée...

- pourquoi tu réagis comme ça il n'a rien hein?

- je ne veux pas que Sokudo aie le voir pour le moment.

- pourquoi?

- explique moi pourquoi je ne peux pas aller voir mon jumeau.

- il est en chaleur voila pourquoi! Et si tu pense que je n'ai pas vu la bosse dans ton pantalon jeune homme tu te fours le doigt dans l'oeil.

Il rougit et part en courant, le rouge fronce les sourcils.

- comment tu...

- d'après toi positionner debout deux main cachant son entre jambe...

- ha oui, comme tout le monde quoi?

- non pas avec son frère.

- je vais aller le voir.

- ouais.

Je descend en soufflant et je m'étale sur le divan.

- papa...

Je me tourne vers mon fils en vitesse, il est en sang.

- on va à l'hôpital d'accord?

Il me fait oui de la tête, je me transforme en loup, je le prend par son chandail avec ma gueule et pars à tout jambe pour allé à l'hôpital, le territoire opposer au mien en d'autre terme.

Tel que la famille à été crééOù les histoires vivent. Découvrez maintenant