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Je soupire et me lève, je vais voir les quatre garçons, je faillis faire une crise cardiaque.

- vous m'avez fais peur.

- nous nous sommes rendus compte de ça en effet.

Je regarde le patriarche d'éclair et hoche de la tête, je salut les autres par la suite. J'ébourifis les cheveux de mes fils et sort, je commençais à les impatienter et personnellement je ne voulais pas crevé donc j'ai fais du plus vite que j'ai put.

- alors nos bout de choux vont bien?

- oui oui, ils sont avec le patriarche, et j'ai faillis faire une crise cardiaque.

- déjà? Ça ne fait que une semaine que l'on est allé les voir.

- oui, mais le contrat tu l'as oublié?

- c'est vrai excuse moi.

Je prend mon rouge dans mes bras et lui embrasse le front, puis je descends sur son nez et pour finir sur sa précieuse bouche.

- je t'aime.

- moi aussi.

J'entends un hurlement de loup et me redresse au plus vite, Taïga fais pareil et on se met devant la fenêtre, il y a un feu près du territoire Est, avec Kagami on court voir ce qui ce passe, le territoire Est est attaqué par des loups de d'autre meutes avec des vampires.

Je me transforme en loup et va aider mes camarades, un pour tous et tous pour un, n'est-ce pas?

Je libère Ryo de un loup, et Taï se débarrasse de plusieurs vampire.

Quand ils sont tous morts, je me permets de respirer, je regarde le blond et le  joueur de volley-ball, le blond est en pleure et je le prends dans mes bras.

- on vous amène chez nous, aucune chance que vous restiez ici.

- n... Nos fils... Sont... À l'intérieur...

Je regarde Taï courir du plus vite qu'il peut,  et en ressort trois enfants, un de l'âge de nos fils et deux beaucoup plus jeune.

Je ne lâche pas le jaune et on repart à la maison, la jambe du blond est salement amoché, c'est le pourquoi je ne veux pas qu'il marche, on ouvre la porte et les amène dans le salon, je mets mon camarade sur le divan et appel le vert.

Le céleri apparaît quelque temps après. Il fut obligé de recoudre le blond sous ses cris et le bras droit de Oikawa.

- vous allez vous en sortir indemne, mais vous allez devoir vous reposer.

- merci Midorimacchi, merci d'être venue vous aussi.

- on ne laisse pas ses amis dans une batailles.

- oui, on vous rendra la pareille un jour.

Ils nous soutient et les sept patriarches descendent, ils ne pouvaient pas descendre à un autre moment? C'est comme le pire des pire.

Le silence règne sauf les bébés qui rient.

- le... Le patriarche?.. Ici...

- longue histoire, on vous amène à une chambre pour que vous puissiez vous reposer.

- excuse moi, mais je ne dors pas tant qu'ils sont dans les parages.

- on peut partir avec les garçons ça ne nous dérange pas.

- qu'est-ce que l'on a dit?

- c'est bon c'était pour vous calmer.

- n'importe quoi, nous calmer?

- bah ouais, bon on retourne en haut, on les prend avec nous?

Le patriarche féerique pointe les enfants du doigt.

- n... Non...

- d'accord, vous saviez que l'on ne mange pas les enfants? Bon c'est pas trop grave, c'est vos enfants c'est donc vos droits.

Je ne dis rien et les conduits à une chambre, je leur souhaite un bon repos, puisque nous sommes cinq heures du matin. Je vais dans la chambre des garçons.

- s'il vous plaît, ne pas refaire ça.

- de quoi donc?

- vous saviez pertinemment qu'il y avait des personnes non averti de votre présence ici, et vous êtes quand même descendue.

- on ne peut plus s'amuser?

- ce n'est pas un jeu, c'est dangereux.

- n'importe quoi, tu vas nous agacer encore longtemps?

- le temps qu'il faudra pour que ça rentre dans vos têtes.

- c'est bon on ne le fera plus maintenant dégage sale loup.

- n'oubliez pas que l'on est sur mon territoire.

- n'oublie pas que ces enfants nous appartiennent.

On se lance des éclaires avec le patriarche de l'éclair, sans jeu de mots bien sûr.

Je sors de la chambre et va en bas convaincu que mon compagnon y est, mes intuition sont exactes car il se ronge les ongles sur le divan.

- chéri... Tout vas bien.

- non tu sais autant que moi que ça ne va pas, Ryota et Oikawa viennent de voir le patriarche chez nous, ils pourront nous dénoncé, on sera des traîtres et on sera exécuté.

- Taï calme toi on leur expliquera tout plus tard, tu dois te reposé.

- non pas tant qu'ils comprendront qu'ils ne sont pas une menace sur ton territoire.

- je vais les prévenir, mais toi va te coucher.

- non, toi vas-y.

- s'en est hors de question, je t'ordonne de monté te coucher.

- tu me l'ordonne? Sérieusement? J'y crois pas, toujours à utiliser ton droit sur ton territoire, même sur ton compagnon.

- tu es tu pâle, je m'inquiète, tu ne fais qu'à ta tête, mais moi j'ai peur pour toi.

- de quoi à tu peur? Je suis un vampire, je ne crains rien.

- j'ai peur de te perdre à chaque secondes de manquer l'occasion de t'aimer, et tu le sais.

Il s'approche et me mort le cou comme d'habitude, il m'embrasse le front et part à l'étage.

- je t'aime mon vampire.

- moi aussi mon alpha.

Je souris et va sur la porte patio, les étoiles sont belles, caché par le reste de la fumée du feu de tout à l'heure, je retourne en dans et prend les enfants avant de les apporter dans une chambre inutilisée et de les mettre dans le lit.

Le blond est sortis de sa chambre et vient me voir.

- sont-ils une menace?

- non, si ils sont ici c'est parce qu'ils sont les âme soeur de nos fils, et on a passé un contrat.

- d'accord et mes enfants sont où?

- je viens de les mettre au lit, tu peux aller les voir tien.

Je me tasse et le sers dans mes bras et il rentre dans la pièce.

Tel que la famille à été crééOù les histoires vivent. Découvrez maintenant