Chapitre Onze

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PDV Elias :

J'ai dû dormir quelque heures d'épuisement mais la nuit a était plutôt longue. Elyne et sur un petits bout du matelas recroquevillé et dort. Mais je sais déjà que cette nuit l'auras traumatisé, elle n'as pas arrêter de pleurer dans sont sommeil. Il vas bientôt faire jour et j'ai l'impression que sont sommeil devient plus paisible. Je crois que l'observer dormir aussi paisiblement vas devenir la chose que je préfère au monde. Je m'en veux de l'avoir entraîné dans une merde pareille elle mérite mieux que moi. Et en même temps je suis le mieux placé pour la protéger. Du moins si je survie à ce kidnapping. La porte s'ouvre et je découvre deux hommes de mains. Il voit que je suis réveillé mais me jette quand même un saut d'eau froide dessus. Mais Elyne étant juste en dessous ce fait réveiller très violemment. Elle sursaute et je me met à hurler.

- FILS DE PUTE !

- Ferme ta gueule ! Ça raffermira la peau de ta princesse puis ça lui apprendra à t'aider.

Il la soulève du matelas et l'emmène loin de moi.

- LÂCHE LA ! NE LA TOUCHE PAS !

Il ne ce retourne pas et embarque ma Elyne sur sont épaule. Quelque minutes plus tard deux homme arrive. Une fois à ma hauteur ils me décroche de la poutre et m'emmène avec eux. J'arrive dans une pièce où je vois Elyne attaché à une chaise entrain de pleurer. Ils me laisse seul avec elle sans dire un mot.

- Je vais te détacher, arrête de pleurer je t'en prie.

- NON ! Non ne me détache pas si tu me détaches ta torture seras pire...

- Mais qu'est-ce que tu racontes, ils t'on droguer ?

- Non ils nous ont amené ici pour te torturer et ils veulent que je regarde... dit-elle en pleurant.

- Ne t'inquiète si il me torture c'est qu'ils veulent savoir quelque chose. Et je leur dirais pas donc il y as pas de raison que je meurt. Du moins pas pour l'instant et sa laissera le temps à mes hommes d'intervenir.

Elle nu pas le temps de me répondre que trois hommes rentre avec des couteaux, des cigarettes et un briquet. Je crains le pire en voyant ça surtout quand Elyne sans rend compte et que ces pleurs redouble d'intensité.

- Éloigne toi de la fille et viens sous le crochet.

J'obéis par peur qu'ils décident de s'en prendre à Elyne. Un d'eux viens vers moi me menotte et passe les menottes au dessus du crochet. Je suis donc une fois de plus suspendu et dans l'incapacité de toucher le sol. Elyne me regarde avec compassion comme pour m'aider à tenir le coup. Je crois que je n'ai jamais autant aimer ces yeux que à ce moment là. Ils repartent, ils essaie de faire monter la pression et avec Elyne ça marche. Un homme rentre et je ne le reconnais pas tout de suite. Je le reconnaît quand Elyne ce remet à pleurer de plus belle et lui hurle de dégager. C'est l'homme qu'il y avait chez moi il ce mît à rire en voyant la réaction de Elyne qui panique.

- À chaque fois que tu criera, je fumerais une cigarette... et je l'éteindrer sur la peau de ton très cher mari. Alors je te conseille de vite fermer ta gueule si tu veux pas que je m'énerve.

A l'entente de ce qu'il pourrait m'attendre elle arrête de hurler instantanément. Mais cela fait place à des pleurs.

- Les pleurs compte aussi pétasse !

- Parle lui correctement sinon tu vas perdre la vie bêtement !

- Tu n'est pas en position de force il me semble, alors t'es ordres tu te les mets là où je le pense compris ?

Je ne répond pas et remarque que Elyne donne tout ce qu'elle as pour contenir ces pleurs de peur. Je suis fasciné par ce petit bout de femme qui donne tout pour me protéger autant qu'elle peux. Alors que je me suis très mal comporté avec elle et que c'est de ma faute si elle est là. L'homme prénommé Clément s'approche de moi avec un couteau à la main. Du coin de l'œil je vois Elyne secouer la tête frénétiquement. J'essaye de la rassurer en lui souriant.

- Dit moi ou vas ce déroulé la prochaine livraison ?

- Qu'elle livraison ? Dit je en riant.

Clément rie jaune et me lacère l'avant bras. Étant attaché je vois mon sang quitter mon bras couler jusqu'à mon nombril. Je remarque que les larmes d'Elyne ce sont remis à couler mais qu'elle ne fait aucun son par peur des représailles.

- Celle d'arme... Et arrête de jouer au plus malin et au plus fort tu ne vois pas que tu fait pleurer ta poupée. Dit-il en lui caressant la joue.

- La touche pas fils de pute !

- Des insultes maintenant, tu sait que cela ne vas pas arranger ton cas...

- Je dirais rien de tout manière !

- Tu est près à traumatiser t'as princesse pour une livraison d'arme ? Dit-il en souriant.

Je regarde Elyne avec compassion qui elle pleure toujours. J'allais lui dire que tout aller bien ce passer quand je sentie un cigarette s'éteindre sur mon ventre.

- AAAH putain ça fait mal ta merde, dommage que je soit entraîner à ce genre de torture... Je ne dirais rien compris ?

- Et si je me mettais à éteindre les cigarettes sur la délicate peau de ta femme déjà parsemé de cicatrices fait de ma mains

La panique ce dessine  sur le visage de Elyne et ces yeux me regarde me supplient de ne pas laisser faire ça. Et c'est bien ce que je compte faire.

- Je vous dirais tout mais demain...

- Tu crois avoir le pouvoir ?!

- Oui parce que c'est moi qui est les réponses à tes questions. Elyne a besoin de réconfort je veux être tranquille et détacher avec elle jusqu'à demain.

Clément lève les sourcils surpris par la demande mais me détache et détache Elyne qui cours regarder mon avant bras. Je sourie à cette réaction et l'as prend dans mes bras pour me rassurer moi même sur son état physique. On nous ramène dans notre cellule et j'en profite pour aller me coucher avec Elyne contre moi en attendant demain matin. En espérant que mes hommes arrivent demain.






❄️ Bonne année à tous, en espérant que cette année soit meilleure que la précédente ❄️

Un menteur dans l'âme Où les histoires vivent. Découvrez maintenant