Un menteur dans l'âme

Chapitre Huit

PDV Elyne :

Cela fait deux jours que je les ignores, depuis que je les ai remis à leurs places. Et j'en ai marre de rester chez eux donc je décide d'appeler June à la rescousse.

- Halo, tu fait quoi aujourd'hui ?

- Rien je me suis disputé avec mon père donc j'espérais pouvoir venir te chercher avec Liséa.

- C'est ce que j'allais te demander mais sans Liséa...

- Oula tu vas avoir beaucoup de choses à me raconter toi je le sent. J'arrive de suite tu veux aller où savoir si je prend de l'argent.

- T'inquiète je paye.

- Bon, j'arrive ma puce.

Je me prépare et descends quelque minutes plus tard quelqu'un sonne à la porte et c'est Liséa qui ouvre.

- Oh June c'est toi, entre !

- Non merci je viens juste chercher Elyne.

J'arrive à ce moment là et je vois la tête de Liséa qui ce décompose. June lui dit au revoir et nous partons en direction de ça voiture.

- Où on vas ?

- McDo...

- Comme dab, bon raconte moi tout.

- Bon déjà Elias avec qui on as passer la semaine en prison et en fait chef d'un gang et non juste un petit dealer. En suite il as organisé un bal masqué avec plus chef de gang et il m'as fait passer pour ça femme.

- Quoi ?! Mais il est pas bien dans ça tête celui là ! Il te mets en danger avec ces bêtises!

- J'espère que non...

- Mais enfin Elyne tu te doute bien que si quelqu'un veux l'atteindre il vas s'en prendre à sa femme. Parce que il est sensé l'aimer. Et toi tu acceptes ça !

- J'ai pas vraiment eux le choix il m'as pas demander mon avis.

- En plus ! Mais quel con ! Mais ça explique pas pourquoi tu en veux à Liséa ?

- Parce que j'ai surpris une dispute entre eux ou elle était énervée parce elle voulais que ce soit elle qui joue ça femme. La seule chose qu'elle défendais c'est que je lui est piqué sont rôle en aucun cas elle m'as défendu par rapport au fait que j'étais forcer de faire ça.

- Honnêtement je sais pas lequel des deux est le plus con.

- Je sais pas mais j'ai était vraiment très blessé.

- Tu sait que toi aussi tu est con quand même, tu l'a pas repris devant les autres chefs donc tu as accepté de jouer ce rôle. Et avec tout ce qu'elle t'a fait depuis que tu est chez elle tu continue à y rester.

- Je préféré ça a être avec ma mère...

-C'est pas une raison pour tout accepté ma belle, pose des limites.

L'après-midi passe et je fini par rentrer Liséa et sur les marche assise je m'avance vers elle et m'assoie à côté d'elle.

- Je t'ai vraiment blessé ?

- Évidemment, la seul chose qui t'a dérangé dans cette histoire c'est que tu n'ai pas à ma place au lieu de me défendre. Je sais pas ce qui ce passe pour toi en ce moment mais je ne te comprends plus. Qu'est-ce qui ce passe ?

- Tu ne peut pas comprendre...

- Je pense le contraire mais si tu veux pas en parler tu m'en parleras quand tu seras prête.

- Je suis entrain d'essayer de me sevré...

- C'est très bien pourquoi ne pas m'en voir parler ?

- Parce que tu n'était pas au courant que je me drogué, enfin c'est ce que je croyais.

Je l'as pris dans mes bras et on pense là soirée à parler de ces ressentis et ces difficultés face à ce sevrage. Malgré nos différents je doit être là pour elle elle le mérite c'est ma meilleure amie depuis toute petite. Je ne peux pas la laisser tomber maintenant dans une telle situation. À force de parler Liséa sait endormie et je déco donc de la laisser tranquille et aller me coucher aussi. Arriver d'en ma chambre je vois une silhouette assise sur mon lit. Je me met à hurler et allume en vitesse la lumière de ma chambre. Ce n'ai Elias qui attendais avec patience mon arrivée.

- Qu'est-ce que tu veux ? Et tu est à qu'elle niveau de psychopathe pour attendre les gens assis sur leur lit dans le noir espèce d'abrutie !

- Je voulais m'excuser, et je suis désolé si je t'ai fait peur.

- Tu t'excuses parce que tu m'as fait peur ?

- Non parce que tu as raison, tu n'ai pas un objet et encore moins le miens je n'avais rien as à t'imposer cette nouvelle vie.

- À parce que ça vas durer longtemps ?

- Jusqu'à que je raccroche ou qu'il m'arrive quelque chose.

- Quoi ?! Mais j'ai une vie à construire moi, je veux un vrai marie, des enfants et un travail qui me comble. Pas faire semblant toute ma vie !

- Qui t'as dit que tu aller faire semblant...

- Parce que tu as des sentiments pour moi ? Tu veux des enfants avec moi ?

- Ah non absolument pas mais on peux ce marier pour de vrai et tu adoptera si tu en as envie. Mais laisse tomber le travail je subviendrait à tes besoin.

- Tu rigole j'espère ?

- Bah non pourquoi ?

- Tu me dégoûte !

Je lui attrape le bras et le tire pour qu'il se lève de mon lit. Un fois débout je passe derrière lui et le pousse hors de ma chambre avant de lui fermer la porte au nez. Je l'entend râler derrière la porte et ça me fait rire. Je part me coucher le cœur lourd et en même temps soulagé de dire enfin ce que je pense.

Je me suis endormie comme une masse hier soir, je me réveille il est presque midi. Aujourd'hui je suis de bonne humeur et rien ne pourra changer ça. Je descend dans la cuisine et me décompose à la vue de tout le monde qu'il y as chez eux. Mon regard balaye la salle à la recherche d'Elias et mon regard ce stop sur quelqu'un d'autre un de mes violeurs. Ma respiration ce coupe et je trouve enfin le regard familier de Elias qui est sur la terrasse. J'y cours et lui saute dessus il est entouré de filles mais à l'entente de ma respiration ces bras ce referme sur mon corps. Ma respiration ce calme il me caresse les cheveux et m'interroge du regard. Je relève la tête et au moment où j'allais parler une fille me coupe la parole.

- Tu te prend pour qui pétasse on était là avant, dégage !

Elias serre la mâchoire et ce lève avec mon corps contre lui. Il me serre tellement fort que je me demande comment je fait pour ne pas mourir étouffer. La fille comprend que quelque chose ne vas pas mais avant même qu'elle puisse s'excuser ou ouvrir la bouche Elias lui dit.

- Dégage de chez moi ! C'est ma femme elle as tout les droit et elle passera avant tout le monde dans cette baraque.

La fille ce lève sans un mot sûrement pour éviter une quelconque représailles de ça part. Elias avance en même temps qu'elle, il re rentre dans le salon et je fouille du regard la pièce et croise sont regard. Sans m'en rendre mon corps s'agite et mes bras ce resserre autour de lui. Quand il vois ma réaction il monte en courant dans ça chambre.

- Qu'est-ce qu'il t'arrive ?

- Il...Il...Il est là...

- Mais qui ?!

- Un de mes violeurs..

- Je vais me le faire ! Montre le moi !

Et soudain la peur m'envahît, la peur qu'il lui arrive quelque chose.

- Non ! Reste avec moi !

- Quoi...

- Reste avec moi ! J'ai peur, je veux pas rester seule.

Il m'attrape par la taille et m'en mène sur son lit il ce couche à côté de moi et m'enlaçasse on s'endort ainsi.