Elle vas avoir dix-huit ans elle vas bientôt avoir sont bac. Elle vie une petite vie tranquille et sans problème entouré d'amis formidables.
Lui n'était censé être que le demi-frère un peu bizarre d'une de ces copines.
Mais les gens sont t'il vraime...
Je part de la maison et me dirige vers ma deuxième maison avec la voiture préféré de mon beau père. Il vas sûrement faire une crise en s'il s'en rend compte mais bon tant pis. Je commence à stresser et j'ai peur que mon gang mes remplacer. Je veux dire ils ont forcément du prendre un remplaçant pendant mon absence mais est-ce qu'il vont me re donner ma place. En même temps soit ils me la redonne soit je vais la reprendre moi même et je suis pas sûr qu'il apprécie. J'arrive devant cette grande maison qui est la mienne et la fixe en prenant une grande respiration.
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Elle n'est pas très belle mais ce qui ce passe dedans l'est vue tout le fric qu'il m'apporte. J'essaye de me préparer mentalement à franchir cette porte en tant que chef qui sort de prison. Je sais très bien que certaine personne vont ce croire tout permis vue que je suis partie longtemps. Je vais devoir me remettre dans la peau du connard pour reprendre ma place et qu'il n'y est pas de rébellion. J'ai déjà était confronté à une tentative de prise de pouvoir et j'ai très bien gérer mais je n'était pas partie aussi longtemps. Puis surtout j'étais jamais aller en prison j'étais celui que l'on attrape jamais mais maintenant je ne suis plus ce type à leurs yeux. Je prend une grande inspiration et avance pour passer cette porte.
- Salut les gars !
- Bonjour patron.
Je remarque rapide qu'un petit groupe d'homme ne répond pas à mon bonjour. J'ai donc trouvé un petite partie de mes détracteurs.
- Eh vous ! Il me semble que la première règle c'est le respect en vers moi votre chef !
- Tu n'ai plus notre chef !
- Pardon répète ?
Mon ton est froid et hautain ce qui jette un froid dans le petit groupe de détracteurs. Certains ce mette visiblement à hésiter d'avoir choisi ce clan. Je jubile intérieurement de réussir à les faire réfléchir à leurs positionnements en une seule phrase. Cela montre que j'ai toujours de l'emprise sur eux, suffisamment pour reprendre le pouvoir facilement. Mais il y en as un dans le groupe qui garde la tête haute et le regard mauvais. Je reconnais rapidement mon bras celui qui m'as remplacé. J'en déduis qu'il as vite pris goût au pouvoir et qu'il n'ai pas décidé à le rendre.
- Tu crois faire peur à qui ici ! Dit-il en s'approchant de moi.
Tout mes hommes fidèles s'interposent et sortent leurs armes. Je lève une mains à signe de paix provisoire du moins. C'était bien la seule personne à qui je ne pensais pas en therme de trahison. Mais je me suis bien trompé sur sont compte.
- Tu sais que ce que tu est entrain de faire c'est de la mutinerie ? Que si tu ne te calme pas de suite je ne pourrais pas oublier ce qu'il viens de ce passer.
- Tu n'est plus le bien venue ici c'est chez moi maintenant. Tu n'est plus l'intouchable n'y même nôtre chef. J'espère bien que tu ne vas pas oublier qui as pris ta place!
