chapitre deux - la mort de natasha

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Il est onze heure Trente.  J'ai enfin achevé de me préparer. J'ai vu le taxi  qui doit me conduire à Martigues , le petit village en bord de mer ou je dois rencontrer l'agent de l' ARERC, L'Agence de renseignements et d'espionnage Colombien. Pour la faire courte, les relation entre cette organisation et la confrérie était des plus tendues ces derniers temps. Nous nous sommes toujours disputé le monopole du Narcotrafique, mais ces rivalités ont explosé ces dernières années. Pour y mètre fin. Nous avons été obligé d'accepter leurs conditions, ils sont en position de force. Durant cette entrevue ou nous sommes sensés négocier en représentation des deux groupes avant que les chefs ne se rencontrent, ma mission est de capturer leur émissaire le plus discrètement possible et de le livrer à la confrérie pour interrogatoire. Je ne sais rien de lui. Si c'est un homme, il n'as aucune chance contre moi. Aucun homme n'as jamais réussi à résister à mes charmes. Les hommes sont tous les mêmes, je me félicite d'aimer les femmes. Mais ce n'est pas le sujet. Je saisis donc sur la table un revolver de poche. Très petit, mais redoutablement efficace. Je me regarde Fugacement dans glace pour vérifier que tout est en ordre. C'est parfait. Je glisse mon arme dans ma poche, cale mes lunettes de soleils sur mon nez, avant de passer la porte de ma maison. Je toise le chauffeur. C'est un homme. Je déteste les hommes. Ils me répugnent. Après une rapide inspection, je l'apostrophe froidement:
"Vous êtes à l'heure.  C'est bien. La ponctualité est l'une des valeurs nécessaire à un membre de la Confrérie.
-je le sais. En route"
Ça réponse est au moin aussi froide que la mienne. Tant mieux. Je ne veux en aucun cas entretenir une quelconque relation avec lui. Je monte donc sans me faire prier. Le trajet est sencé durer environ une heure. Cela menasse d'être long car ni lui ni moi ne semblons disposés à adresser la parole à l'autre. Mais voilà qu'après un moment qui me parut durer une vie entière, l'homme s'arrêta,  à une centaine de mètre d'un café. Je regardais l'heure à ma montre. Elle indiquait 11:56 .
J'etais à l'heure. J'adressais un bref remerciement au chauffeur, qui resta szns réponse. Je l'entendis simplement marmoner " Crêves sale gouine. "Je fais volte face, et le vois sourire, empreint de satisfzction.un coup de pied bien senti l'aurait sans doute calmé, mais je ne dois pas faire de vague. Je retourne simplement à ma mission. J'arrive sur la terrasse du café à 11:58. Au bout de quelques secondes un serveur viens me demander si j'ai reservé. Je lui donne un faux nom, auquel j'ai reservé. Il m'indique un table.
Vide.
Pourquoi l'émissaire n'est il pas la? Le serveur à l'air nerveux. Il sais quelque chose. Je regarde à nouveau la montre. 11:59. Je comprend que quelque chose ne vas pas. Je me suis fait avoir. Il n'y as jamais eu d'emissaire. Un  reflet dans un arbe viens de trahir la lunette d'un fusil de precision. Je n'ai nul part ou me cacher. C'est terminé pour moi. Il ne ratera pas sa cible. On le sais tout les trois: lui, moi, le serveur. Pris d'un sursaut d'espoir, j'arme discrètement mon pistolet et tire une fois en direction. Du serveur. Rien ne se passe. Le pistolet qu'on m'as donné est chargé à blanc. Je comprend mieux maintenant. Il n'as jamais été question de négociation. Les Colombiens ont simplement reclamé ma tête . Il vont l'avoir.
J'ai perdu la partie. Je m'assois à la table que l'on m'as designé, comme un condamné monterai les marche de la potence. Je n'essaie mas de m'echapper. C'edt inutile. Si je le fait, c'est la Confrérie qui se chargera de me tuer. Autant en finir tout de suite.
12:00. J'attend quelque seconde qui me paraissent plus longues que n'importe quel trajet en taxi. Je regarde la mer, en bas. Elle est belle. Cela sera mon dernier souvenir. Je sens quelque chose qui le traverse de part en part. C'est froid, ça fait un mal de chien, et surtout, ça perce mon coeur de part en part. Fin de la partie. Je suffoque un instant, avant de m'effondrer au sur moi. Je le suis éteinte avant d'avoir touché le sol. Je n'aurait souffert qu'un instant. Tant mieux. J'ai toujours eu peur de mourrir d'en d'atroces souffrance. Mais je me suis éteinte en un clin d'oeil, en contemplant ma mer. J'ai eu une belle mort, à y réfléchir.

Fin~

la femme du café Où les histoires vivent. Découvrez maintenant