Le cri de détresse que poussa le garçon me sortit de ma torpeur. Je bougeais à nouveau, bien que je fus moin rapide et moin fluide dans les mouvements. L'homme se remit alors à bouger, il se déplaçait à présent vers le garçon, toujours lié au siège.
" Je t'avais promis que ton tour viendrais, et je ne ment jamais. Seulement.... Je Crains que cela ne viendra pas sans quelques souffrances. " Sur ces mots il entailla froidement la gorge du garçon. L'horreur se peignit alors sur son visage, dans ses yeux, sur le moindre centimètre carré de sin corps. Il ne cria pas. Il ne le pouvais plus. Chaque mots mots qu'il tentais de prononcer se soldait par un pathétique crachat de sang. Je ne peux alors plus témoigner de ce qui s'est passé, jusqu'à ... Sa mort.
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Pdv garçon:
Mes yeux se voilaient , petit à petit , chaque respiration était plus douloureuse que la précédente.a, je m'étais aperçu de quelque chose: Un cri.
De rage , d'effroi, de peur, de douleur? Ou bien.... De tout ça à la fois? Étais ce possible? Sûrement que non. Ce cri fût suivi d'une phrase. Une seule.
"Je-... Je vais.... JE VAIS TE TUER! Sur ces mots, la fille s'élance vers l'homme un poignard à la main . Elle lui porta un premier coup à la gorge. Très dur à esquiver, selon moi. Je devais me tromper, car le principal intéressé n'eu aucun mal à l'éviter, avant de frapper son agresseure dans le dos , avant de sortir de nouvelles éguilles de metal. Il en lança une première, puis une deuxième. À ma grande surprise, aucune e d'entre elle n'atteignit son but. La première fût détourné par le plat de la lame de la fille, elle esquiva le second dans un saut que j'aurais cru impossible pour peu de personne sur terre à part moi. Le véritable combat s'engagea alors. Leurs styles de combat était très différent: tout deux avait visiblement appris les Arts martiaux, mais si lui était froid, précis, méthodique, il ne produisait pas de grandes prouesses technique. Il se contentait de viser la ou ca fait mal et de parer les coups de son adversaire quand cela était nécessaire. Elle était beaucoup plus agile et si elleadoptait sans doute en general un style plutôt souple, ces émotions l'avaient submergée et elle ne ze battait plus que pour faire souffrir cette homme. Quand à moi la douleur se fit de plus en plus grande; ma vision s'obscucissait , j'avais de grande difficultés à respirer et chaque mouvement me causait une douleur insuportable. Je n'en avait plus pour très longtemps.
Mais je voulais voir la fin de ce combat.
Pour l'instant aucun des deux ne prenait l'avantage. Cela menaçait de durer encore longtemps. Et à l'endurance, nul doute était qu'un homme de Trente cinq ans avait l'avantage. Si la fille voulait l'emporter, il lui fallait l'emporter rapidement. Elle le savait, ça se voyait à sa façon de porter les coups, mais rien n'y faisait. Mais pendant ce temps, l'homme qui s'était fait assommé revenait à lui, se redressant péniblement. En se rendant compte de la scenne qui se jouait sous ses yeux il dégaina un revolver et tira. Mais, étant toujours à moitié assommé, il lui était impossible de viser correctement. Ainsi tout ce qu'il dit c'est attirer l'attention sur lui. Mon agresseur lui lança une première pointe, qui l'atteint à la cuisse. Il s'affaissa sous la douleur, pris de convulsions. Le combat, quand à lui, faisait toujours rage, mais la haine de la fille avait encore grandit, et elle réussit à l'atteindre d'un coup de pied dans le genou. L'interessé plia sous le choc, avant de recevoir un second coup de pied, au visage cette fois. Ce dernier le dit decoler, et il retomba brutalement quelques dizaines de centimètres plus loin. Le combat était joué. Elle s'approcha de l'homme gisant, le nez ensanglanté. Ça colère avait atteint son summum. Elle brandit son couteau, avant de l'abattre vers la poitrine du vaincu. Mais à moment de frapper, sa rage, sa détermination, sa folie meurtrière, tout retomba. Saisissant sa chance, son opposant tira une ultime aiguille qu'il planta dans me bras gauche de la fille. Le cri de douleur qu'elle poussa me traversa comme un rafale de vent glacé. Il n'était pas sans me rappeler celui de ma soeur. A son souvenir , les larmes me montèrent, mais le sanglot que je poussait me dit atrocement souffrir. Je sentais ma vie me quitter. Dans quelques minutes tout au plus, je serait mort.
La fille reculait désespérément en tentant de retirer la lame de son bras. En vain. Son opposant, quand à lui, avançait lentement vers elle, prenant un sinistre plaisir à la voir souffir.
Une idée illumina alors Son visage. Elle evita un dernier coup puis, sans une oncle d'hésitation, elle frappa l'homme à la gorge. Avec son bras gauche. Il ne comprit pas tout de suite. Il vit alors une chose qu'il n'avait jamais vu. Son propre sang, qui voulait à flot depuis sa gorge perforée. La fille recula, ce qui eu pour effet de faire s'effondrer l'homme à présent entre deux mondes. Il parvint tout de même à articuler ces mots:
"J... J'ai si froid.... Comment est ce possible? Qu'est ce quu m'arrive. Je... " Puis plus rien.
La fille vainqueure, se tourna vers moi.
Moi je ne la voyais presque plus. J'étais arrivé au bout. Je la distinguais en train de ramasser son couteau, retirer l'eguille, toujours plantée dans son bras avant de s'approcher de moi. Je pensais qu'elle venait tenter de le soigner, ce qui était inutile, mais il n'en était rien. Elle pris son couteau à deux mains, se crispant sur le manche de son arme. Bien qu'il ne me restait plus grand chose devant moi, j'appreciais son geste, et me suis forcé à articuler , malgrés la douleur:
"Mh... Merci"
Elle ne me regardait pas dans les yeux. Elle avait peur. J'aurais voulu lui dire de ne pas s'inquièter, que c'était de toute façon terminé pour moi, qu'elle me libérait et qu'elle ne devait s'en sentir que fière, mais je n'en était plus capable. Elle arma alors un grand revers de son couteau. Je senti le contact de la lame froide sur ma gorge, puis l'instant d'après, je m'endormais pour un long songe sans rêve
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Pdv Natasha:Je l'ai tué. Il aurait sûrement pu être soigné, guerir de ses blessures, et je l'ai tué. Pourquoi j'ai fait ça? Qu'est ce qui m'as pris???
////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////Desolé desolé desolé j'ai mis vingt ans pour écrire ce tout petit chapitre de rien du tout c'est nul je suis desolé😅😂😭
Plus sérieusement, j'avais pas du tout d'inspi, je savais plus quoi écrire, et je voulais quand même vous proposer quelque chose de correct. Petite question : est ce que vous voulais que je vous mette la grille de coup que j'ai imaginé pour se combat ( et pour les autres) et/ou que je mette le combat en scenne? J'attend vos réponses en com!
Merci d'avoir Lu, faites pas attention au fautes, et profitez de ce chef d'oeuvre ( nan jdéconne)
Bisouuu 😘
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la femme du café
Kurzgeschichtenil la voit arriver, au loin tout sourire.... quel dommage, il l'aimait bien....