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/ ! \ certaines scennes peuvent choquer la sensibilité de lecteur sensibles, trops jeunes ou non avertis.

trigger warning: mort, torture.

La porte qu'ils venaient d'enfoncer donnait sur une large pièce éclairée au néon, comme l'aurait été une salle d'attente ou une salle de classe au collège. La ressemblance s'arrêtait la. Les murs de la pièce étaient tapissé d'instruments de tortures en tout genre, aux formes plus évocatrice les unes que les autres. Chaque instruments, chaque machine, était garnie de plus de Piques métalliques que le précédant . Sur certains appareils, du sang séché venait ajouter à l'horreur de la scenne. Je me décidais donc à avancer le plus vite possible. Mais ce qui m'attendait derrière la porte suivante était pire encore. Mon odorat fût le premier de les sens à l'avertir. Une puanteur insoutenable d'oeuf pourri, de steack en décomposition et de relants métallique. Je fus prise de nausées  violentes qui m'obligèrent à m'assoir un instant. Igor, quand à lui, ne l'entendais pas de cette oreille. Il vint vers moi, et me releva brutalement.
" On continue, maintenant. Si tu ne fais rien, je vais être obligé de te supprimer."
Ses mots me frapperent avec la puissance d'une bombe.  Cet homme n'avait il donc aucun sentiment? Des dizaines d'homme et de femmes avait du subir les pires atrocités ici, et lui restait de marbre. Il avait même menacer de me tuer. Je ne pouvais pas faire grand chose d'autre qu' obtemperer . Nous avons donc continuer d'avancer à travers la pièce de l'horreur. J'étais alors persuadé que rien de ce que je pourrais voir ne pourrait être pire. Oh comme je me trompais.  En fait je n'aurais pas ou être plus à coté de la plaque. J' eu l'odeur avant même d'être entré. Un mélange des pires odeurs que l'on puisse  trouver sur terre. L'odeur métallique et aigre du sang, l'odeur douceatre et qui prend aux tripes de la putréfaction. Toute ces odeurs en formaient une autre, que n'importe qui reconnaissait en un instant, même si on la sentais pour la première fois. Cette odeur, c'est  celle de la mort. Cette fois je ne pu retenir les nausées qui m'assaillait. Il me fallut une bonne minute pour me calmer. Une fois mes, spasmes calmés je pus constater deux choses. Premièrement, qu'Igor
Le fixais avec - le semblait il - une pointe de compation . Cela me surpris . Lui qui avait menacé de me tuer quelques minutes avant était il en train de compatir? La deuxième chose, c'était que quelqu'un - voire plusieurs  personne était dans la pièce d'a coté. À la réflexion, il y avait plusieurs personnes de l'autre coté. J'entendis les pleurs d'un homme, le rire d'un autre homme, une respiration haletante, puis un râle de douleur. Ce dernier provenait d'une petite fille. Au vu de ses pleurs, elle n'avait pas plus de sept ans.
" La cible est sûrement derrière cette porte. Je l'enfonce à trois et on fonce au centre de la pièce,  puis tu te retourne vers cette porte, sans bouger d'où tu es. C'est clair? " Chuchota Igor
"pourquoi je dois le tourner ?
- on ne sait pas à quoi va ressembler la pièce. Il peut arriver de n'importe où. Si on fait comme ça on a beaucoup plus de chance de le voir arriver. "
-O....Ok" Réussis-je à articuler.
J'appréhendais cet instant. Plus je réfléchissais, plus l'odeur de de mort, les bruits derrières la porte, et le sentiment que j'allais assister à l'horreur ce pressait dans mon esprit, bousculant toute autre pensée. Je me mis alors à trembler. Au moment de dégainer mon couteau avant de passer la porte, je faillit le lâcher.
Igor fis alors une chose à laquelle je ne m'attendais pas.
Il me mis une gifle.
Le coup résonna dans mon crâne, chassant toute pensée. Ma joue me brûlait. Je le fixais d'abbord d'un regard de braise. Puis baissait les yeux. J'avais honte. Je venais de le faire gifler comme une gamine.
"Je suis désolé. Mais au moin tu ne tremble plus. "
C'était vrai. Tout tremblement ee pon coprs avait cessé. Je pris donc alors fermement mon couteau en main. Pendant se temps, Igor, qui avait reculé de plusieurs mètre dans la pièce, amorçait un silencieux décompte avec. Ça main.
3...
2...
1...
0.
Il se mis alors à courir vers la porte en assénant un violent coup de pied. Le maigre verrou ne fis pas long feu. La porte pivota alors sur ces gonds dans un infernal grincement. Les odeurs,   les bruits, se firent alors plus forts que jamais. Avant qu'il ne me submergent totalement, je m' élançais à pleine vitesse vers cette satanée pièce. Mais à peine y avais je fais quelques pas que je me figeais, choquée par le spectacle qui se tenait devant moi.
La piece avait environ la taille d'une salle de classe. Les murs étaient, à l'instar de ceux de la premières porte, couverts d'engins de torture, à cette différence prêt que ceux la éteint couverts pour la plupart de sang frais. Au centre de la pièce, trônaient une dizaine de chaise; elles me faisaient penser à de sinistres fauteuils de dentiste. Seulement, je devinais que celles si avaient une tout autre utilitée. Sur deux d'entre elles se trouvait les auteurs des cris : le garcon avait probablement le même âge que moi. De Long cheveux châtains encadraient son visage. Il était immobile, mais conscient, la respiration haletante, les yeux hagards. La fille, quand à elle, avait tout juste sept ans. Elle était quand à elle inconsciente. Son visage et ses longs cheveux blonds étaient maculés de sang. Cette vision abominable n'était rien, quand à ce qui se trouvait contre le mur du fond.
Il n'était quand à lui pas couvert d'instrument de torture en tout genre. Lui avait été somptueusement décoré avec des cadavres. Des dizaines - voir des centaines - de cadavre. Certains était assis le long du mur, quand d'autre encore était suspendus le long du mur par les pieds, les mains, le cou.Je restai figé devant se spectacle sordide, bouche bée. Igor, quand à lui, était déjà au niveau des chaises. Il se retourna vers moi,  me faisant signe de me dépêcher. Mais avant que j'ai pu esquisser le moindre mouvement, une ombre surgit de derrière les sièges le frappa à la nuque, L' assommant. Une aveuglante lumière inonda la pièce, jetant sur l'horreur de la scene un joyeux air de réfrigérateur. Une voix - celle de l'ombre- retentis alors, résonnant contre les murs de Pierre et de corps.
" Ils envoient même des enfants pour me tuer? "
Il éclata alors d'un rire tonitruant à glacer le sang du plus courageux.
"Ils ne sont vraiment pas malin! Sois ils sont vraiment en manque d'effectif, sois il veulent refaire mon stock!
Puisque tu es la petite, tu vas observer. Je suppose que tu n'as jamais vu de mise à mort. Et bien nous allons corriger cette lamentable erreur! Mais avant je vais m'amuser un peu."  Je tentais alors de distinguer le visage de l'homme, mais c'était peine perdu, sa capuche m'empechait de distinguer ces traits. Sur ces entrefaites,il se saisit alors de quatre longues éguilles de métal. Le garçon, qui avait repris ces esprits   se mit alors à pleurer.
"S'il vous plaît.... Je vous en prie....ne la touchez pas.... Elle ...
- comment ça? Je n'ai pas bien entendu. Tu veux que je la découpe dans d'atroces souffrances? Mais avec plaisir! Tu sais que je ne peux rien te refuser!"
J'étais incapable du moindre mouvement. Mon corps était complètement paralysé . Je ne pouvais qu'assister au spectacle. L'homme s' aprocha de la fillette , qui avait elle aussi repris connaissance. Ses grands yeux bleus exprimaient une profonde terreur. L'homme lui saisit alors la main gauche, et, sans autre forme de préambule , la transperça d'une première pique de métal, la clouant au bras du siège. . Son hurlement me hantera jusqu'à la fin de mes jours. Il était stident, chargé de douleur. Je voulais de toutes mes forces m'approcher pour protéger la fillette, mais je n' arrivais pas à bouger. Ses cris, s'étaient changés en pleurs. L'homme avait alors fait le tour de la chaise pour réitérer son exploit avec l'autre main de la fillette, avec une extrême lenteur cette fois. Les hurlements furent encore plus déchirants cette fois si.  Au bout de quelques secondes, les cris se turent , pour laisser place à ces mots:
"s'il vous plaît.... S'il vous plaît...
-ne inquiète pas. C'est bientôt fini. "
Sur ces mots, il enfonça la troisième pointe de métal dans le crâne de la jeune fille.
Il n'y eut aucun hurlement cette fois si. Seulement une larme. Qui roula sur la joue de l'enfant. Ses yeux se révulsèrent.
L'instant d'après c'était finis.

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Voilà c'est la fin de ce chapitre.
Je n'ai pas grand chose à dire d'autre.
Ah si! Le prochain chapitre sera ( colle vous l'avez dans doute deviné) la fin de la scène, et promis, le prochain chapitre sera une réflexion sur la vie et la mort.
Sur ce encore désolé, je crois que c'est impossible que je sorte un chapitre à une heure normale.
Sur ce je vous laisse, bisouuus

la femme du café Où les histoires vivent. Découvrez maintenant