Natasha Ivanovic
7 janvier 2002
Un hiver particulièrement rude, mais encore plus pour moi. À ce moment là , mon beau père m'avait jeté de chez moi depuis un moi et demi, récupérant à la suite d'une série d'une combine la maison de ma mère, tout ce qu'elle possaidait, et l'Autorité parentale. Le jour de mes 13 ans, il m'avait mis a la porte, me laissant pour seules aaffaires ce que j'avait sur moi, c'est a dire seulement des vêtements de demie saison. À présent l'hiver etait bien installé, et le
Peu de choses que j'avais réussi à voler ne m'etais pas d'un grand secours pour acheter des vêtements vraiment chaud .
Après une dure nuit passée à coté des poubelles un Restaurant, je me mis en quete d'un type inatentif qui aurait laissé traîner son porte monnaie. Sans grand succès. Je vis alors une occasion en or. Un type descendant d'une très longue voiture, je ne me souviens plus comment ça s'appelle. Il était au téléphone, et pas particulièrement attentif à ce quu l'entourait . Il avait sûrement un peu d'argent sur lui. Ou même beaucoup. Il fallait que je tente. J'entrepris donc de le suivre discrètement a travers diverses rues passantes. Je finis par réussir à l'approcher . J'entrepris donc de lui faire les poches. J'ai toujours été très habile de mes mains.. Jr farfoullais dans une première poche. Rien. La deuxième tentative fût plus probante. Ma main rencontra une petite poche de cuir rectangulaire. Son porte feuille. Il avait l'air rempli à craquer. J'avais touché le gros lot. Il me fallait saisir cette chance. Je emparais de l'objet avant de prendre la fuite. Ça s'était sans compter sur le fait qu'a l'instant où J'extirpais ma main de sa poche il me saisissaut au poignetÀ suivre ~
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la femme du café
Historia Cortail la voit arriver, au loin tout sourire.... quel dommage, il l'aimait bien....