Trigger warning: mort
Natasha Ivanovic
Je crus avoir d'abord mal entendu. Je restai donc immobile, comme abasourdi parce qu'on venait de me dire. Ce n'est qu'au moment où le deuxième frère lança un couteau dans le sol, entre mes pieds. Je le ramassai, prenant alors conscience du fait que j'avais parfaitement compris.
"Dépêche toi, on a pas que ça à faire"
Je m'executai donc , le suivant jusqu'a la porte. Il sorti son propre exemplaire de la clé, et m'invita à descendre l'escalier, toujours dans la plus grand Discrétion.
Au bout de longues minutes passées à descendre l'escalier de l'immeuble,nous nous retrouvâmes dehors.
Je cachait alors mon couteau sous mon gilet. J'étais terrifiée. L'idée que j'allais assister à un meurtre me révulsais.
Je pris donc ia décision de fausser compagnie à mon geôlier des que l'occasion ce présenterai. Mais celui si ne l'entandant pas de cette oreille, il se plaça juste derrière moi, en me susurant que toute tentative de m'evader serait ma dernière action.
Il me fallait donc avancer sans faire de vagues .Nous avons marché un moment, avant d'arriver devant une petite voiture, dans laquelle non sommes tout les deux montés. Un homme se trouvait déjà à la place conducteur. À l'instant ou nous fumes montés, le chauffeur bloqua les portes. Je fus alors coincée.
" Ou vas on?" Demanda ce dernier
-Chez ce cher Monsieur Dekarta. "
Je ne savais pas qui s'était. Mais au ton employé par l'homme, il était méprisable à souhait. La véhicule se mit alors en branle, quittant Paris pour ses Chemins de traverses alentours. Au bout de plusieurs dizaines de minutes de route, nous nous arrêtames . Au loin de dressait un grand manoir, entouré par une hauts clôture de fer.sans un mot, moi et celui qui m'avait entrainé dans les pires sévices décendimes de la voiture et nous mirent à marcher en silence vers le lieu de notre crime.
Chaque seconde me semblait être plus longue que la précédente, si bien que franchir la centaine de mètre sembla durer plus longtemps qu'une vie entière ne me l'aurait permis. Une vingtaine de mètre avant notre destination, mon opresseur me brieffa :" Le type qu'on doit tuer se trouve très probablement au sous sol de ce manoir.
L'accès sera gardé : il tiens à ce que ces recherches restent secrètes, et pour ça il ne lesinera pas sur les moyens, financiers comme humain. Sois la olus discrète possible. Si l'un d'entre eux te repère, tues le avant qu'il puisse prévenir tous les autres. Mais évite autant que possible d'utiliser ton couteau. Si on nous attrape on n'est foutu. On ne sais pas combien sont les gardes, mais je parierais sur une bonne vingtaine. Si tu as un problème, appelle moi, je verrai ce que je peux faire. Compris? "Je tentais de répondre, mais tout ce que j'arrivais à tirer de ma gorge nouée fût un bruyant Déglutissement. Après de longs et douloureux efforts, je réussi à demander
"Comment vous appelez vous? "
Il me lança un regard des plus perturbant, un regard comme J'en parlais il ya de ça 2 épisodes.
Ça réponse fut aussi laconique qu'il était possible :
"Igor."
Je pris acte.
Quelques secondes après nous fumes devant le portail du bâtiment. Nous avons alors entrepris de l'escalader pour pénétrer dans le jardin. C'etait facile, j'étais - grâce aux précieux enseignements de ma mère - parfaitement rodé à l'exercice.
Une fois les quelques Trente metres qui nous separaient de la bâtisse franchis, nous nous sommes mis en quête d'un endroit où pénétrer le bâtiment.Après une rapide inspection, igor jeta son dévolu sur une fenêtre donnant sur une cuisine. Il utilisa alors un étrange instruments qu'il fit tourner le long du verre, découlant la vitre en cercle parfait. Cela lui permit de passer sa main à travers la fenêtre, afin d'ouvrir celle si. Une fois l'opération effectuée, il m'ordonna de monter avec lui sans faire d'histoire.
Une fois à l'intérieur, igor tendis l'oreille, dans le but de déterminer la présence ou non de garde à proximité. Une fois ça conclusion faite, il m'ordonna d'avancer, lui même avançait dans mon sillage.Les ennuies commencèrent alors. Un garde surveillait les passages dans un long couloir .
"Débarasse toi de lui" Me glissa igor à l'oreille. "
J'allais être obligé de prendre une vie. Il ne faisait aucun doute qu'en cas, de refus , igor n'hésiterai pas à prendre la mienne. J'étais donc fasse à un dilemme. Lui ou moi. Il fut vite reéglé . Je m'avancais donc le plus discrète ment possible. Une fois à quelques centimètres de lui je le saisissais au cou avant de briser ces cervicales d'une subtile pression le long d'un point vital. Le pauvre n'avait eu aucune chance de survie. Au moin Il était partie sans douleur. HOrrifiée par ce Que je venais de faire, je restai un moment immobile, plantée comme une souche, devant c e que je venais de faire. Igor me. Rejoint alors. Pour m'aider à. Cacher le corps.
Je commençais à paniquer.
Pourquoi avais je accepté de commetre un tel crime? Ma propre mort le paraissait souhaitable à présent.
Je ne méritait plus de vivre maintenant que j'avais oté une vie.
Remarquant dans doute mon desaroi, igor m'adressa ces mots:"Cesse de te torturer l'esprit. Si tu es incapable de continuer, je te suprime. Dit toi que ce type à Commis les pires atrocités. Ils ne méritait pas une mort aussi douce. Tu lui à offert mieux que ce qu'il aurait pu espérer. "
Était ce vrai? Avais je agis pour le mieux?
L'heure n'étais pas au cogitations. J'aidais igor à cacher le corps dans un placard à balai dans le mur derrière moi, avant de reprendre nos explorations en binôme .
La suite se passa relativement bien. On ne croisa que très peu de gardes, que l'on réussit à éviter à chaque fois. Au bout d'une ou deux minutes d'exploration, nous aperçûmes quatre gardes armés, posté devant.... Un escalier. Nous touchions au but.
Mais Il nous serait absolument impossible de passer quatre gardes Armés.C'est alors qu' igor me tendis un masque en tissus, m' oronant de le mettre.
J'obtenperai bien qu'interloquée. Je le vis alors sortir une petite grenade, qu'il lança en Direction du groupe de garde. à peine avait elle touché le sol qu'un epai gaz s'en échappa, entourant de ses bras tentaculaires les quatres hommes. Je regardais l'assassin, interloquée." C'est un gaz soporifique. Inoffensif mais diablement efficace. Une dose moitié moindre suffirait à endormir un buffle pour deux heures. On est tranquille pour un moment, on aura pas de problème pour passer. Fait bien attention de bien porter ton masque. "
Nous avons donc traversé le brouillard de Morphée pour atteindre l'escalier. Un long escalier tortueux, froid, humide, ou un ennemi peut se tapir à chaque tournant. Plus on descendait, plus Il faisait sombre. Igor alluma alors une petite lampe, éclairant faiblement devant nous. Après une minute de descente, nous nous trouvâmes face à une porte.
J'essayais de l'ouvrir. En vain. C'était vérouillé. Il fallait donc la Crocheter ou la défoncer. Igor, qui avait visiblement fait son choix, lui as alors assèné un violent coup de pied, résonant à travers la cage 'd'escalier et faisant grincer la porte. À ce rythme elle n'allait pas tenir très longtemps. En effet , trois coup de pied supplémentaires plus tard, la porte s'ouvrit d'un coup, pendant sur ses gonds. Au début, il faisait noir. Puis, quelqu'un actionna un groupe électrogène, et la pièce. Fût alors inondée d'une lumiere cru, révélant un spectacle, des plus effroyable.
___________________________________________Et voilà, ce chapitre s'achève ici. Comme vous l'aurait compris, le prochain chapitre sera encore de l'action.
Attention, certaine scène ne seront sans doute pas adaptées à de trop jeunes lecteurs.
Dans deux ou trois chapitre, selon comment je m'organise, vous aurez le droit à une longue réflexion sur la mort de l'heroïne promis.
anna_zb à accepté de dessiner la couverture de ce roman, un grand merci à elle!Enfin si vous avez quelques minutes allez jeter un coup d'oeil a Ca :
https://www.wattpad.com/1007799085
C'est ce qu'ecrit une amie, c'est super et ça tranche radicalement avec ce. que je peux écrire, tant au niveau du style, que l'histoire. Et c'est du super bouleau!!J'espère pour vous et pour moi que le prochain chapitre sortira à une heure à peu près normale mdr.
Sur ce, à la prochaine fois!
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la femme du café
Short Storyil la voit arriver, au loin tout sourire.... quel dommage, il l'aimait bien....