quatre: monsieur james, suite et fin

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Affolée, je tentais de le frapper au visage. Coup qu'il para sans effort. Je tentais de le dégager, en vain. Il avait trop de force. Je tentais le tout pour le tout en lui assénant un violent coup de pied dans les côtes. Coup qu'il qu'il esquiva avec une facilitée déconcertante, avant de faire volte face, toujours en me tirant le poignets, me projetant au sol. Le choc me coupa le souffle. Ce type était impressionnant. C'était le premier depuis ma mère a réussir à me bloquer comme ça. Il placa son genou en travers de ma poitrine pou m'imobiliser en gardant les mains libres. Il sorti alors sa poche intérieur un couteau à cran d'arrêt, qu'il m' agitta devant les yeux. Ses intentions étaient clairs. J'allais payer mon larcin raté très cher. Alors que je m'appretais au pire, une voix retentis derrière lui.
" Arrête, c'edt qu'une gamine.
-justement. Elle est très mal elevé, il faut refaire son éducation.
-peut être mais la les gens te regardent bizarrement mon vieux. "

C'était vrai si la plupart des gens n'avait rien remarqué ou avaient préféré retourner le regard et fermer les yeux, deux ou trois personne nous regardait du coin de l'oeil, pianotant nerveusement sur les touches de leurs téléphones. L'homme au cran d'arrêt me releva, conservant sa domination sur moi d'une discrète clé de bras.

"Debout, jeune fille " Dit il d'une voix suave tout sauf rassurante.
"On va discuter dans un endroit plus tranquille. Tu vas faire ce qu'on te dit sans broncher, dans ton intérêt x parce qu'a la moindre vague, tu vas amèrement le regretter. J'ai était clair? " Questionna il en me remontant encore un peu le bras dans le dos, m'arrachant un grimace. J' aquieceai tant bien que mal, tendis que les deux hommes M' entrainaient à travers des ruelles toutes plus sombres les unes que les autres, pour terminer devant une vielle bâtisse complètement délabré. Le deuxième  homme, jusque la très effacé ,
Me passa devant pour ouvrir la porte avec d'infinies précaution, me faisant signe de faire le moin de bruit possible. Je m'executai alors suivant les deux hommes dans une cage d'escalier sont les marchent ne demandaient, alors que l'on m'avais recommandé d'être aussi discrète que possible. Monter les Trois étages qui nous séparaient de l'unique porte dans un état correct nous pris un temps fous. Au moin un bon quart d'heure. Un fois arrivé devant la fameuse porte, mon agresseur sorti -toujours de sa poche intérieur - une petite clé aux formes extrêmement complexes,clé qu'il entreprit d'insérer dans la serrure, toujours le plus discrètement possible. Au bout d'une longue minute , la porte fut ouverte, et le deuxième homme me poussa à l'intérieur d'un petit appartement remarcablement bien entretenu comparé au reste de l'immeuble. Le premier homme, une fois son acolyte rentré, referma la porte  derrière lui en donnant un tour de clé, qu'il rangea dans sa poche. La porte n'ayant pas de poignee, le seul moyen de sortir d'ici était d'utiliser la clé, quand bien même la porte n'aurait pas été verrouillé: elle s'ouvrait vers l'intérieur.
On me forca alors m'assoir sur une petite chaise en osier, les ravisseurs s'installant quand à eux dans de grands fauteuils en velours . Je pus alors les observer vraiment pour la première fois.

Je divinais qu'il était jumeaux : tout deux était grands avec de longues jambes et de longs bras - trop longs pour le reste de leur corps, à tel point que d'en était dérangeant. Leurs grand yeux bleus électriques avait quelques chose de dérangeant aussi, quand ils vous fixaient vous aviez l'impression de passer au rayon x, comme si rien ne pouvait leurs échapper, pas la moindre parcelle de votre esprit , qu'ils lisaient en vous comme dans un livre ouverts. Mais ils étaient jumeaux, il était très facile de les différencier. Si l'on d'entre eux ( celui qui m'avait projeté au sol)  arborait un bouc et affichait un sourire qui ne reflétait que que cruauté et désir de faire le mal, le deuxième brillait par son inteligence, on le voyait tout de suite à sa posture, à sa façon d'être... En un  sens, ils n'auraient pas pu être plus différents l'un de l'autre.

"Ici on sera plus tranquille, et inutile de se gêner pour parler ou faire du bruit " Me dit celui qui portait un bouc.

Il se mit alors à me bombarder de question sur qui j'étais, sur la famille, et j'en passe. Je ne répondit que par de breves aunomatopés. Rapidement agacé, celui ci me saisis au col pour me hurler dessus de répondre avec plus de ferveur, mais cette fois, j'avais vu venir le coup. Je le saisi au poignet avant de l'envoyer voltiger façon crêpe dans une poêle. Il atterit brutalement sur le sol, en quête d'air. Au tour du frère. Je lui balançait  un coup de poing au visage. J'avais toujours eu beaucoup de force, parfois même plus que certains adultes. Mais ce type la c' était autre chose.une fraction de seconde plus tard , j'étais au sol, sur le ventre. Le premier frère c'était relevé, et m'envoya un violent coup de pied dans les cotes, m'arrachant un cri de douleur.
"Sale petite trainée,tu vas comprendre ta douleur"! Hurla il. Il s'apprêtait à m'en envoyer un autre, quand son frère s' interposa.

" Arrête! La tu vas la blesser, alors qu'elle pourait nous être utile ...
- certainement pas, elle va prendre Tarif pour m'avoir agressé! "

Pendant Qu'ils  débattaient de ce qu'il fallait faire de moi, je me relever péniblement, tout le haut du corps endoloris.
Une fois que le barbus eu renoncé à me faire la peau, le deuxième frère se tourna vers moi.

" Gamine! Comment tu t'appelle? "
J' hésitais un petit moment avant de répondre:
"Natasha Ivanovic"
Les deux frères le regardèrent d'un air abasourdi.
Un long blanc s'installa alors.
Il fut rompu par Le barbu.
"Hmmm... Un prénom russe... Tu es russe?
- la mère l'etait, et je n'ai pas connu mon père.
-Hmmmm.... Viktor, tu penses que c'est elle?
- aucun doute. Maintenant que tu le dit je reconnaît son style.
- qu'est ce qu'on fait?
- on appliques les ordres et on l'envoie au patron.
-bon très bien... "

Après de longues concertations muettes des deux frères, le deuxième ( qui s'appelait Donc viktor)
Se retourna vers moi.

"Natasha Ivanovic, tu as rendez vous demain à la première heure avec le patron. C'est lui qui décidera ce qu'on doit faire de toi. En attendant tu restes ici, ça serait bête que tu nous fausses compagnie. Mais Il est hors de question qu'on t'heberge gratuitement en attendant que tu ailles voir Monsieur james. Tu vas donc venir avec moi, tu pourrais m'être utile
- et ou vas on ?
- on va faire la peau à un type
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Et voilà fin de ce chapitre ( oui je suis un connard de m'arrêter maintenant )

e chapitre d'aujourd'hui était un plus long, d'où le fait que j'ai mis du temps à le publier. Dites moi si vous préférez que je poste un petit bout  très régulièrement ou un long morceau moin souvent ( toujours min une fois par semaine hein)
Voilà merci d'avoir Lu tout ça
Le prochain chapitre y'aura vraiment plus d'action, promis.




la femme du café Où les histoires vivent. Découvrez maintenant