Le Titanic

Le calme avant la tempête

Nous sommes le 14 avril au matin. Nous nous trouvons actuellement au beau milieu de l'Atlantique. Plus de la moitié du trajet a été effectuer et notre arrivé est prévue pour dans seulement trois jours.
Je me suis levé tôt comme l'oblige ma fonction. Je me suis installée à la table du capitaine qui déjeune avec monsieur Andrews et quelques matelots. Nous discutons longuement. Ils on pris la décision d'augmenter la vitesse du bateau malgré la proximité des icebergs pour arrivé plus tôt et faire les gros titre de la presse.

Après le repas je rejoins la passerelle de navigation avec le capitaine. J'apprend qu'il prenait sa retraite juste après ce voyage. Aujourd'hui pour la première et dernier fois, j'ai l'honneur de tenir la barre quelques minutes. J'ai conduit le Titanic ! Moi même je n'y croit pas.
La journée ce déroule exactement comme les précédentes. La cuisine est vraiment remarquable dites moi. J'ai relevé notre positions, et effectivement nous avancions vraiment rapidement. Je me suis reposé sur un transat une bonne partie de l'après midi.

Le repas du soir est le meilleur de tous ce que nous avions eu jusqu'à présent. La musique et la salle sont encore plus belle et plus prestigieuse que jamais. J'admire attentivement les moindres détails et chaque recoins. J'aimerai que ce voyage dure toute ma vie. 

Ma ronde se déroula dans le plus grand des calmes. Il n'y avait plus personne sur le pont, le froid et le vent glacial avait eu raison des passagers les plus téméraires, qui se sont vites réfugiés à l'intérieur. Je salue mes compagnons à la fin de notre marche et m'installe sur le même banc que les jours précédent, pour admirer le ciel de toute beauté. Ce soir, est vraiment le plus froid de tous. Chaque fois que je respire une vapeur blanchâtre s'échappe de ma bouche et s'élève dans le ciel. Je retourne rapidement dans ma cabine, enfiler le plus chaud de mes mentaux avant daller sur la passerelle de navigation.

A travers la grande vitre j'observe l'océan qui ressemble de plus en plus à un lac tellement il est claire. Je n'ai jamais rien vu de tel. Un calme aussi plat n'est pas anodin. Tous les officiers et le capitaine firent la même constatation que moi.
- Mais cela rendra les icebergs plus difficile à voir si il n'y a pas de vagues à la base. Dit un des officiers.
Cette constations est exacte, mais malgré tous le capitaine ne semble pas inquiet, et partis se coucher en demandant expressément de maintenir l'allure et le cap.

Je reste encore plusieurs minutes, mais comme tous est calme, et qu'il fait froid, je décide de retourner à l'intérieur.
Je vais dans la grande sale et m'assoie à sur un siège confortable. Je commence à discuter avec un groupe de personnes qui me demande des informations sur le navire et la navigation en générale. On parle pendant une vingtaine de minute, tous ce passe pour le mieux, quand tous d'un coup une grosse secousse vient perturber notre discutions. Tous le bateau se met à trembler pendant quelques secondes. Les chaises et les tables grincent, les couverts roulent et tombent et les lustres se balancent dangereusement des droites à gauches.

Mon instinct me dit que quelque chose de grave vient de se produire. Alors je part en trombe pour voir ce qu'il c'était produit.
J'arrive sur le pont principale et je comprend tous de suite ce qui se passe en apercevant l'énorme icebergs que le Titanic vient de percuter !