[II] ᴅᴇᴛᴇsᴛᴇ ᴍᴏɪ ™

2.7

Quelques minutes après ils arrivent et prennent place.

Tonton : bon moi je trouve que cette histoire qu'il y a entre vos deux couples est banale , elle n'est même pas à gérer. Donc j'estime que vous devez vous parler.

Rina : moi j'ai plus rien à dire.

___________________________

Quelques minutes après ils arrivent et prennent place.

Tonton : bon moi je trouve que cette histoire qu'il y a entre vos deux couples est banale , elle n'est même pas à gérer. Donc j'estime que vous devez vous parler.

Rina : moi j'ai plus rien à dire.

Moi : moi je tiens à m'excuser , je t'ai peut-être blessé tout à l'heure.

Rina : humm moi aussi je m'excuse je savais pas ce qu'il avait fait le petit.

Moi : humm...

Tonton : voilà , je préfère ça.

Tayc me regarde. S'il s'attend à ce que je puisse m'excuser auprès de lui c'est qu'il est fou.

Rina : j'ai pas pour habitude d'être en froid avec les gens encore moins avec mes belles sœurs.

Tonton : vous pouvez vous retirer.

On se lève tous.

Tonton : pas Ibrahim et sa femme.

Et Dieu j'ai fait quoi ?

Les deux sortent.

Tonton : Ibrahim.

Ibrahim : oui ?

Tonton : qu'est ce qui ne va pas entre ta femme et toi ?

Ibrahim : il y a rien.

Tonton : Ibrahim...!!!

Ibrahim : on a rien je t'ai dit papa.

Tonton : -me fixe- toi aussi tu vas me dire ça ?

Moi : on... On a pas de problème.

Tonton : quand je te regarde je vois beaucoup la maman de Ibrahim tu sais ?

J'avais un sourire super gêné.

Tonton : humm... Si vous insistez à dire que vous n'avez pas de problème , okay. Vous êtes libre.

On se lève et on sort du bureau pour notre chambre.

Moi : bébé.

Il me calcule pas.

Moi : Brahim...

Ibrahim :...

Moi : doudou.

Je m'avance vers lui.

Moi : Brahim désolé... Bébé tu sais ce qui m'as fait parler autant c'est pas moi mais les hormones. Aï bébé faut pardonner.

Il avait les dents serrées mais quand j'ai fini mon discours il me lâche un rire carrément.

Ibrahim : t'es un sketch à toi seule tu sais ?

Moi : -rire-

Ibrahim : -soupir-  aaah ma femme.

Il me met en califourchon sur lui.

Ibrahim : demain on va à Londres.

Moi : comment ça demain ?