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Il me regarde avec colère avant d'exercer une violente pression sur mon cou.

Tayc : t'es ma femme... t'es à moi et ça doit être gravé dans ta tête. Tu appartient à Julien Bouedjie.

J'arrivais plus à respirer... PUTAIN JE ME SENS PARTIR !!!

Mes yeux se fermaient tout seul, j'essayais de les gardés ouverts mais c'est comme si c'était impossible.

En manque d'oxygène mes yeux se ferment.

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J'ouvre les yeux , j'analyse la pièce et c'est ma chambre.

Cela n'était qu'un rêve ?

Ma tête me fait mal putain.

...:  MAMAN !!!!

Moi : oh mon chéri.

Julien : tu vas bien ?

Moi : et toi mon coeur ?

Julien : je vais bien mamie m'a dit de t'appeler.

Moi : d'accord.

Il s'en va et moi je me lève pour rejoindre la salle de bain... devant le miroir je vois mon reflet. J'ai une grosse marque de main rouge sur mon cou.

Moi : putain c'était pas un rêve.

Direct mes yeux se pose sur mon bras droit et j'avais aussi une grosse marque dessus.

Moi : ah Dieu...

Je rince mon visage avant de repartir dans la chambre et prendre un pull qui recouvre mon coup à manche longue. Après seulement je rejoins ma mère.

Moi : maman ?

Maman : Thaïs m'a dit tu avais des crampes d'estomac ? Tu vas mieux ?

Moi : oui tqt pas maman.

Maman : je t'ai ramené de quoi te nourrir.

Moi : j'ai pas faim mais plutôt sommeil.

Maman : tu sors pas du sommeil toi ?

Moi : bah mon corps veut encore dormir maman.

Maman : okay.

Je retourne dans le lit et fixe le plafond.

Mon père dans les cieux... j'ai besoin de toi, aide moi à me débarrasser de ce mec pardon. Je sais je suis pas une fille exemplaire mais sur ce coup j'ai besoin de toi Seigneur pardon , je reste seulement ton enfant.

Une sonnerie me distrait , c'était mon téléphone qui laisse apparaître le nom de Brahim.

📞

Moi : allô...

Ibrahim : bébé !? Tu vas mieux ? On m'a dit tu avais des métaux d'estomac ?

Moi : oui et ne t'inquiète pas mon cœur je vais bien maintenant.

Ibrahim : t'as l'aire fatigué.

Moi : oui , je suis un peu fatigué

Ibrahim : mon amour quand t'as sommeil tu dors.

Moi : oui mais j'ai...

Ibrahim : bon moi je te laisse tu vas dormir.

    [II] ᴅᴇᴛᴇsᴛᴇ ᴍᴏɪ ™Où les histoires vivent. Découvrez maintenant