Je le fixe un bon moment avant de tchiper.
Ibrahim : aller enlève le.
Moi : t'as dit quoi à maman ?
Ibrahim : je compte rien faire, juste que ton pull me nique.
Moi : je veux pas l'enlever.
Ibrahim : c'est comme tu veux.
Il me serre dans ses bras nous obligeant à s'allonger.
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Je commence à avoir très chaud pardon. Je retire mon pull , dans tout les cas Ib dort. Une fois que j'avais plus mon pull je me rendors très vite.
[...]
J'ouvre les yeux, Ibrahim dormais encore. J'ai envie de le réveiller, alors, je lui fais des bisous pour qu'il se réveille.
Ibrahim : humm -endormie-
Je continue mes bisous jusqu'à ce qu'il ouvre ses yeux.
Moi : mon fiancé.
Ibrahim : ma fiancé.
Je le smack, je me détache de lui mais lui reste fixé sur mon cou.
Ibrahim : t'as quoi dans ton cou ?
Merde !
Moi : où ?
Ibrahim : je parle plus français ? J'ai dit t'as quoi dans ton cou ?
Moi : je ne sais pas c'est toi qui arrive à voir non ?
Ibrahim : -rire nerveux- écoute Naomi j'ai pas envie de me prendre la tête avec toi, donc, dis-moi c'est quoi dans ton cou.
Moi : tu veux parler des suçons que tu m'as fait ?
Ibrahim : sauf que je te parle pas de suçon moi.
Okay.
Ibrahim : Naomi.
Je me lève du lit.
Moi : pourquoi tu aimes toujours qu'on s'embrouille ?
Ibrahim : ah moi j'aime qu'on s'embrouille ?
Moi : bah oui tout ce qu'il y sur mon cou c'est des suçons que tu as toi même fait Ibrahim.
Il sort lui aussi du lit et vient face à moi.
Ibrahim : puisque je te dis que je ne parle pas des suçons putain de ta race.
Moi : tu commence à m'insulter ?
Ibrahim : je t... -souffle- me rend pas fou.
Moi : je rend pas fou il y a que des suçons sur mon cou.
J'essaye de le contourner sauf qu'il me retient en prenant le bras ou Tayc m'avais fait mal. J'ai lâché une grimace , cela pousse Ibrahim à regarder où il m'a tenu et a vite vu que j'étais rouge , mais très rouge à cet endroit.
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[II] ᴅᴇᴛᴇsᴛᴇ ᴍᴏɪ ™
FanficDans la vie il y a des étapes, la plus douce c'est l'amour, la plus dur c'est la séparation, la plus pénible c'est les adieux, la plus belle c'est les retrouvailles. Les larmes qui coulent sont amère mais plus amère encore sont celles qui ne coule...