[II] ᴅᴇᴛᴇsᴛᴇ ᴍᴏɪ ™

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Il ne bougeait plus.

Moi : j'ai donné ma vie pour toi ! Tu m'as battu à mort plus d'une fois Tayc.. tu m'as humilié publiquement plus d'une fois. Tu m'as rendu sucidaire. A CAUSE DE TOI J'AI DÉJÀ TENTER DE ME SUCIDER DEUX FOIS !!! DEUX FOUS J'AI PENSER A LAISSÉ MES ENFANTS SANS MÈRE !!!!

J'ai fini en larmes malheureusement...

Moi : tu es une ordure. C'est tout ce que t'es... -pleure-

Il bougeait plus et moi non plus.

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Combien de temps ? Ça fait combien de temps que je suis enfermé ici ?

J'en ai aucune idée.

Mes enfants me manquent, ma mère me manque, toute ma famille me manque.

La porte s'ouvre.

Moi : Julien s'il te plaît laisse moi partir je te promets que personne te retrouvera, je ne dirai rien.

Il me balance un sachet sans détourner le regard.

Moi : c'est quoi ?

J'ouvre le sache, il y avait des habits.

Moi : Julien pardon, pardon mon fils est malade il a besoin de voir sa mère s'il te plaît -larmes aux yeux-

Il dit rien et par s'asseoir face à moi.

Tayc : si seulement c'était moi... -petit rire- si seulement c'était moi que tu aimais autant.

Moi : je te parle de mon fils putain pourquoi tu aimes tant faire l'égoïste ? -énervé-

Tayc :... -me fixe- tu veux que je te laisse partir et c'est moi l'égoïste ? -rire nerveux- TOI TU AS PENSÉ À MOI ? TU AS PENSÉ À COMMENT JE ME SENS DEPUIS QUE TES PLUS LÀ ? TU T'ES BARRER SANS RIEN ME DIRE ET C'EST MOI LEGOÏSTE ? ET SI POUR UNE FOIS TU PENSAIS MOINS À TOI, MOINS À TA FAMILLE PLUS À MOI ? Je compte si peux pour toi ? Tu as réellement réussi à jeté toutes ces années ? Pour un mec que tu connais il y a deux jours ?

Moi : -souffle- tu as raison... je suis désolé d'être égoïste, je suis une grosse égoïste.

Je me lève pour allé vers lui.

Moi : tu peux pas me pardonner ?

Il me dit toujours rien.

Moi : je suis désolé bébé pardonne moi.

Tayc : -sourire-

Moi : suis vraiment désolé...

Tayc : chute -pose son indexe sur ma bouche- je te pardonne totalement.

Il m'embrasse c'était difficile pour moi mais j'ai du répondre. Il y croyait tellement. Alors qu'en vrai j'essaye juste de trouvé un moyen de sortir de là.

J'étais obligé de caresser totalement son corps pour chercher les des clés ou un téléphone. J'ai bien senti un téléphone et des clés.

Pour les avoir je suis obligé de le laisser faire jusqu'au bout. Je faisait trop la meuf qui voulait de lui alors que je suis la meuf la plus dégoûtée de ce mec.

Moi : Taykee attend...

Lui : quoi ?

Moi : j... je t'ai revu me faire du mal.

Tayc : -se retiens de s'énerver- comment tu m'as revu te faire du mal ?

Moi : regarde où on est, je sais même pas c'est où pourquoi on y est ? Taykee j'ai besoin de au moins voir mes enfants s'il te plaît bébé...