VII

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Moi : rien... rien jusqu'au lendemain...

Officier de police : et donc ? Que c'est t'il passé le lendemain ?

Moi : ...la police et venu sonné chez nous pour nous demander des renseignements car à ce qu'il paraît, une de nos voisines a été assassinée...

Officier de police : ce ne serait pas l'affaire Tsuzaku? Une jeune femme a été décapitée chez elle à la hache c'est ça ?

Moi : oui... c'est ça...

Officier de police: et vous avez quelque chose avoir avec cette histoire ? Vous, en personne ?

Moi : ... non... jamais je ne tuerais quelqu'un gratuitement...

Officier de police :... vous ne tueriez personne sans raison... ça veut dire que si il y avait une raison pour tuer quelqu'un vous le feriez ? Vous tueriez cette personne ?

Moi :... J-je ne sais pas...

Officier de police : comment ça vous ne savez pas ? Vous venez de dire q-

Moi : n'osez pas mentir sur ce sujet c'est un conseil. Vous savez très bien que je n'ai jamais dit que j'oserais tuer quelqu'un même avec une raison derrière !

Officier de police : ...n'empêche, vous l'avez pratiquement avoué.

Moi : ...ça c'est vous qui le dite ,pas les enregistrements vidéo...

Officier de police :... Certes, continuons !

Que disais-je déjà ? Ah oui, les officiers nous ont interrogé mais ce n'est pas ça qui a joué pour la suite des événements, quelqu'un avait laissé un couteau recouvert de sang sur le buffet.
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Quand les policiers ont remarqués ça  ils ont fouillé la maison ,j'en était sûr. Quelqu'un avait laissé se couteaux exprès, quel être humain laisserais son couteau de cuisine couvert de sang sans faire exprès après un possible meurtre ou une blessure ?

Officier de police : mettons nous d'accord sur une chose ,tout ce que vous m'avez expliqué tantôt ne sont que des suppositions ?

Moi : ...non...

Officier de police : non? Vraiment ? Comment le savez vous ?

Moi : ... ma sœur m'as sourit... vous savez, cela peut paraître anodin et innocent ,mais je vous assure que ce sourire n'était pas net.

L'officier me fixa un moment avant de se pencher vers moi le stylo tapotant sur la table.

Officier de police : je vois... je vous en prie mademoiselle, dites moi en plus...

MANIPULATIONOù les histoires vivent. Découvrez maintenant