Undertaker - Livre 4-

Chapitre 1: Réception Chez Les Trancy. (Pas Alois)

        " Le lendemain, je retournais au manoir Ubewer afin de parler à Pétunia comme je lui avais dit la veille.

Mais apparemment, mes plans allaient changer.

Kaï avait fait préparer une voiture pendant que Maria s'occupait de préparer Rose. Pétunia, elle, avait été préparée par une femme de chambre.

Moi j'arrivais seulement quand les trois Dames sortaient de la maison.

Avant de me faire repérer, je me suis caché sur un toit qui était doté d'une terrasse. Ainsi je pouvais observer la scène sans me faire repérer.

Au vu de leurs habits, de leurs parures et coiffures, ils devaient être invités chez quelqu'un de peut être plus important qu'eux.

"Tu es ravissante Pétunia. "

Puis une fois les petits bagages chargés, le cigare de Kaï éteint, ils chargèrent les enfants -Plus ou moins violemment- et s'en allèrent.

Je les suivis de toits en toits jusqu'à ce que je puisse sauter sur le toit de la voiture. Les bruits parasitent m'ont sans doute sauvé la mise -car je crains d'avoir pris un petit peu de poids à manger mes petits biscuits hé hé -.

Après un temps indéterminé, la voiture s'arrêta devant un manoir.

Avant que le cochet ouvre la porte, je fis un bon sur le toit du manoir.

La famille Ubewer rentra dans la demeure après qu un majordome lui ouvrit.

J'attendis cinq minutes puis s'écoula trente minutes puis une heure et enfin deux heures. Deux heures avant que le maître des lieux mis son petit fils, je crois, dehors suivis de Rose et Pétunia.

Je descendus du toit en faisant attention de ne pas me faire repérer.
Je restais sur l'une des façades opposée aux parents et non exposée.
Et dans l'ombre je sortis ma tête et un bras m accroupiant pour mieux accueillir Pétunia.

'' Pétunia, psst Pétunia, mon petit trésor, vient voir papa''

Pétunia finit par me repérer après avoir chercher un peu partout d'où le son pouvait venir.
Elle regarda Rose et Alois au loin puis se precipita jusque dans mon bras libre.
De mon autre main la faux était sortie.

'' Papa, t'es revenue comme promis !
- Oui.
- C'est toi le plus fort papa, les policiers sont trop nul.
- Hé hé tous aussi tu sauras le faire un jour mon petit susucre.
- Suis pas un susucre moi.
- Tu es sûre de ça ?
- Sûre de sûre. ''

Je l'ai attrappe en me relevant, la couchant ds mes bras et je lui fis pleins de chatouille au ventre.
Elle riait et pour qu'elle puisse ne pas epouffer ses rires, je l'emmenais avec moi sur l'un des toits.

Après avoir rigolé et joué pendant une et demi, on s assit, moi en tailleurs, elle entre mes jambes en tailleurs aussi.
J'en profitais pour lui refaire sa coiffure que je lui avais défaite.

'' Dis papa,
- Oui ?
- Tu voulais me dire un truc, tu m as dit hier.''

Avant de lui répondre, je lui finis la tresse.

'' Oui...
- C'est quoi ?
- Tu sais sans doute que papa n'est pas humain.
- Tu es un Superpapa ! ''

Je ris un peu avant de reprendre.

'' Pas exactement: je suis un Shi-ni-ga-mi.
- un sa-shi-mi-ni-ga-mi
- Presque. Shi.
- Shi..
- Ni.
- Ni...
- Ga.
- Ga...
- Mi.
- Mi !
- un shinigami.
- Et c'est quoi un Shiiiniiigaaamiii ?
- C'est un dieux de la mort. Et les dieux de la mort ne sont pas beaucoup aimé par les humains, si papa s'absente c'est parce qu'il travaille la nuit et que la journée il se repose un peu. Tu comprends ?
- Oui.
- Tu lui en voudras si il s'absente longtemps ?''

Elle frotta sa joue contre son épaule.

'' Un peu...
- Mais tu sauras pourquoi maintenant.
- Oui...
- Bien. ''

                      Après lui avoir demandé pourquoi elle était à ce manoir, je lui fis passer à autre chose en la refaisant un rire un peu, puis une fois qu'une horloge indiquait 11h30, je lui dis de s'accrocher à mon cou de mon dos.
Elle m écoutait et -avait une sacrée poigne aussi- je la ramenais dans le jardin du manoir.

J'avais pas remarqué que le petit garçon nous avait vu revenir, intrigue, il s'était rapproche pour nous regarder de loin.
Pétunia se laissa glisser pour descendre de mon dos et après un baiser, je m'en allais, mais je reviendrais la voir dans sa chambre, comme autre fois, après tout elle avait encore besoin de ses leçons. ''