Chapitre dernier: des funérailles au mariage.

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          " Quand Pétunia arriva, elle compris par ma présence et par le décor que son fiancé était en grande souffrance et qu'il allait bientôt rendre l'âme.

Alois Trancy alias Jim McCain, était dès lors, allongé sur le canapé respirant faiblement mais doté d'un visage apaisé et souriant.

Ma fille vint le rejoindre d'un air fier sans larme.

Alois ouvrait légèrement les yeux, toujours souriant. Il toussa avant de prendre la parole.

"Bonsoir Pétunia, je dois avouer que tu as toujours raison: -il inspira - nous aurions dû nous marier avant." toussa à nouveau et reprit "J'ai vêtu mon habit le plus beau, malgré que la plaie l'ai salit. J'espère qu'il reste tout de même encore à la hauteur de ton fiancé."

Il elargit son sourire comme si il se moquait de lui même.

"Tu aurais pu attendre mon retour avant de te retrouver dans cet état. "

Les imprévus arrivent plus vite que ce qu'il n'y paraît.

On se dit qu'on à le temps et puis au final, ce jeune homme qui promit de vieillir avec ma fille va mourir, âgé seulement de 14 ans.

-Savoure chaque instant comme si c'était le dernier- disait un dictons

- Ne jamais remettre à plus tard ce que l'on peut faire maintenant- en disait un autre.

" Au vu de la décoration, je vais vêtir ma robe de mariage mon amour, attends moi.

- Ne crains rien , je me suis reposé, il est temps pour moi de rester éveiller.

Pétunia partit vêtir sa robe.

Le teckel bleu  était déjà sur les lieux avec son majordome. Seulement, ils étaient allé dans une autre pièce pour effacer les tâches de sang qui était sur leur habits. Même si c'était de sa faute que le jeune comte allait mourir, il avait été invité au mariage.

La reine Victoria à été annoncé par Claude.

Bien évidemment Ellizabeth Midford et sa tante seraient présentent, mais pas les autres Midford.

Lizzy fut l'effort de se vêtir d'une robe jaune pour ne pas accabler plus encore, sa Tante et sa meilleur amie, Pétunia, en ce jour si étrange, à la fois festif et tragique.

Claude les conduisit dans la salle à manger, avant même qu'ils eussent le temps de saluer le comte.

Dans la salle, seule la table était ornée d'une nappe jaune. Ils étaient assit le temps que les dernier préparatifs soit terminé.

Alois n'aurait évidemment pas la force de marcher ni même celle de bouger le petit doigt. Il réservait ses dernières force pour passer la bague au doigt de Pétunia.

Claude vint ouvrir les grandes portes de la salles à manger expliquant que le jeune comte ne pourrait pas faire le déplacement et que c'était à eux de venir puisque les préparatifs étaient enfin terminé.

Avec l'aide des autres domestiques, il installa des chaises dans la salles. 

Pétunia parut en haut des escaliers. J'avais là une fille et une femme forte et sûre d'elle.

Nos différents étaient mis de côtés.

Je la rejoins et je lui pris le bras. Quand la musique commença,  tout le monde fut le silence et nous regardait descendre. Alois devait malheureusement attendre que nous soyons près de lui pour apercevoir sa fiancée sinon il se ferait mal au cou et épuiserait son énergie.

Undertaker - Livre 4-Où les histoires vivent. Découvrez maintenant