Undertaker - Livre 4-

Chapitre 9: "William, quelle détermination !" Une égalité gagnée.

          "Après le travail, nous sommes rentré à l'office.

Nous avons rendu les âmes à l'accueil mais pas les armes.

William et moi restions en retrait tandis que Ronald faisait son séducteur auprès des filles qui se tenaient à l'accueil.

" Undertaker, tu me dois un combat.
- Assurément William, allons dans la cours."

Sous les regards perplexes de l'Office,  nous quittions l'entrée pour  aller dans la cours.

On se préparait au combat. Ma faux bien en vue, la pince de William bien droite, comme son proprietaire. On se se fixe.

" Tu crois vraiment pouvoir me battre William ?
- Je ne fais que l'espérer. ''

Pour arbitre nous avons choisis une secrétaire.
Un sifflé au tour du cou et une main en l'air, elle attendit et hop ! Baissa sa main en criant '' Ajime ! ''

William, de nature calme et doté d'une arme à distance, s'elança vers moi.
Je ne l'attaque pas. Pas assez proche ? Non, bien sûr que non, c'est mon amis, je ne veux simplement pas le blessser. Alors j'esquive ses attaques. Encore et encore. Je vais l'avoir à l'usure, donc je le laisse m attaquer encore et encore, sans jamais utiliser ma faux.

Il grogne, toujours avec classe, mais il rage. Et continue de m'attaquer ou d'essayer de me barrer le barrage dans mon dos, jusqu'à ce qu'il me fasse un croche patte avec sa pince. 

Je bascule surpris et dans la fraction de secondes ou je trébuche, j'évalue ma situation. Je décide me laisser tomber pour ensuite me relever derrière William qui m'avait ciblé pour un coup de pieds. 

Au lieux de tout ses efforts et de m'embéter à esquiver, vous vous dites sûrment que j'aurait pu simplement disparaître et  de réapparaître par-ci, par là. Et bien non. Je reste loyal et honnête. Je ne  veux pas gagner de la sorte, je préfère laisser une chance à mon adversaire sur ce coup là. -Surtout qu'il m'a couvert à plusieurs reprises. -

Après un certains temps, - quelques heures je dirais- nous nous sommes retrouvé en face à face - bien sûr à quelques mètres de distance-. Essoufflé par le combat, Williame me regardait plein de haine, moi le sourire aux lèvres. 

Après quelques minutes de silence, je me suis redressé et je me suis obligé à me retenir droit en m'aidant de ma faux. 

"Je crois que nous sommes à égalité William. 

- Tant que tu ne me dépasses pas, ça me va. Que dis l'arbitre ?"

L'arbitre était presque paralysé par notre combat. Elle était bouche baie jusqu'à ce qu'elle réalise, tremblante, que le combat venait  d'être conclu par notre discution. 

" Je....Je... Oui égalité... -dit-elle finalement - 

- Que faisons nous ? 

- Et bien vu qu'il n'y a ni perdant ni gagnant, disons que nous avons tout deux quelques chose à donner à l'autre, Ca te convient ? 

- Ca me paraît correcte. - il remonte ses lunettes tout en ranguénant sa faux-"