Partie27: Malentendus.

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Mame bousso :

La tête lourde, et les paupières pesantes j'essayais tant bien que mal d'ouvrir les yeux sans vain, les souvenirs se bousculent dans ma tête et à la seule pensée de ce qui a failli se passer mon cœur se serre douloureusement agrandissant ainsi ma peine je n'aurais jamais cru de ma vie que je serais un jour victime d'un abus.

A la simple fait de penser que j'ai pu confondre mon mari et un autre homme me reste à travers de la gorge, ce parfum, son odeur ne m'a jamais trompé j'ai longtemps habité avec lui et l'ai senti près de moi pour pouvoir ne pas le reconnaître, son odeur est ancré en moi. J'ai laissé un autre homme jamais connu me palper le corps à sa guise sans empêchement alors que lui l'homme que j'aime ne l'avais jamais fait ainsi au paravent c'est un vrai insulte pour moi ainsi que  mon amour pour lui.

Cet homme quiconque soit il j'ai l'impression que ce n'est pas la première fois qu'il en a après moi  si tel tait le cas je ne comprends pas pourquoi à la simple fait de ces gestes des flash back de notre agression à katy et moi me tourmente l'esprit et me compresse le cœur à ce point. Est-ce le hasard ?

Je ne crois pas, trop de coïncidence n'est plus de la coïncidence mais une chose fait exprès je ne sais pas qui il est ni comment il a su où j'étais et ce qu'il me veut réellement ce qui est sûr c'est tout sauf du bien.

Sentant quelque chose me monter jusqu'à la gorge, je me lève en un bond mais me rassis à la minute qui suit frappé par un violent vertige.

Le regard flou, je me mis à examiner la pièce dans laquelle je me trouve mais ça ne me dis rien, cette chambre m'est inconnu et c'est la première fois que j'y pose les pieds, tâtant la commode j'allume la veilleuse à côté de moi pour m'éclairer.

Le design est le même que ma chambre et c'est plus spacieuse, qui peut bien habiter ici ? Et comment ai-je atterri là ?

C'est avec des questions en suspension, que je me lève et ouvre la première porte que je vois à la recherche des toilettes pour pouvoir me soulager, il a fallu de peu pour que je déverse tout sur les carreaux, j'ai vomi jusqu'à me vider le ventre du peu que j'avais mangé pour le petit déjeuner pour faute de nausée et d'un estomac retourné j'avais toujours cette forte besoin mais rien ne sortait.

Fatigué, je me lève avant de me laver la bouche, en voyant mon image sur le miroir je dégluti me rendant compte que je n'avais qu'un long t-shirt blanc à ma portée rien de plus, mon soutien gorge à été enlevé et j'avais les jambes nues. Je commençais à avoir peur et mon stress monta d'un cran et si c'était la maison de cet inconnu et que c'était lui qui m'avait dévêtu ? Serait-il possible qu'il m'ai fait quelque chose ?

À cette pensée, je senti une vive douleur au bas ventre qui me neutralisa sur place, je me rétracte attendant avec impatience que ça passe mais plus j'attendais plus ça persistais et augmentais d'intensité.

Les larmes coulant tel une rivière, je récita toutes les sourates que je connaissais dans ma tête pour qu'on me vienne en aide, le nom de cheikh djili franchis mes lèvres tacitement accentuant ainsi ma nervosité.

Où pouvait-il bien être ?

Est-il entrain de me chercher ?

S'inquiète t-il pour moi ?

Tout scénario les uns plus bizarre que les autres englobé mon esprit, je n'arrête pas de me demander ce qu'il pouvait bien penser de moi après m'avoir surpris dans cette position avec cet homme, comment va t'il réagir ? Sa réaction me laisse perplexe et me tourmente j'espère qu'il ne pensera pas à une éventuelle tromperie de ma part j'en serai incapable.

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