Partie14: Repercussions

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Bonne lecture :

Cheikh Djili Koné

Je tourne en rond depuis deux heures de temps à cause de ce que j'ai entendu normale tout homme doté d'esprit et qui est à ma place aurait fait la même chose je n'ai été jamais aussi gêné de toute ma vie des "fais doucement tu me fais mal" , "prends moi" , "n'ai pas pitié" je me demande quels sont ces genres de sottises, que Dieu me pardonne d'avoir retenue ses noms alors que je suis semblable à un célibataire, torture rek la may indil, je commence à regretter ce mariage, entre ma mère qui initie mame bousso à être coquette, son père qui m'appelle tout le temps pour me faire connaître mes limites et ce désir qui s'y ajoute à l'égard d'une femme qui n'est pas mienne, qui n'est pas destiné à être avec moi, une femme que je me dois de ne pas regarder, une femme qui m'est illicite est ce correct je crois que non je ne veux pas avoir à commettre une quelconque erreur que je regretterai plus tard et me retrouver seule avec elle dans une même pièce commence à me peser, comment puis-je une seconde penser que je pourrais habiter avec elle dans une même pièce, une femme qui extrêmement belle, ronde, éduqué, gentille sans pouvoir enprouver une désir je me suis leurré moi même et il faut que je me reprenne.

De nouveau à la maison, je monte rejoindre ma chambre mais en l'ouvrant je tombe sur mame bousso entrain de trembler comme pas possible, avec des sueurs au frond, son visage est pale et elle a l'air de ne pas aller bien.

_qu'est ce qui ce passe.

Elle lève la tête en ma direction avant de la baisser

Je me pose à proximité d'elle sur le sol en essayant de déchiffrer son expressions.

_mame bousso.

_hum.

_qu'est ce qui se passe.

Posé je encore mais cette fois ci au lieu de garder son silence elle a éclaté en sanglots, les mains sur le visage, je commence à m'inquiéter je ne sais pas ce qui se passe mais je suis sûre que ce n'est pas quelque chose de bien.

Je la relève et remarque par la même occasion ce qu'elle porte et ça, ça ne plaît point je ne dis rien pour l'instant que ce n'est pas le moment, je prend son bras en nous dirigeant vers la salle de bain, j'ouvre la chasse d'eau laissant l'eau ruisseller sur nos corps, ses tétons sont marqué à travers la fine tissu qu'elle porte se collant ainsi sur sa peau ni clair, ni noir, je sors la laissant dans la salle de douche lui exigeant d'en prendre une et de faire ces ablutions comme j'avais toujours les miens, je me change en tenu de prière avant d'étaler les deux tapis et de m'assoir sur l'une qui est au devant.

Quelques minutes plus tard elle y sort avant d'entrer dans le dressing pour faire de même que moi, elle vient me rejoindre et je débute la prière d'icha avant d'enchaîner avec safa et witr. Après les douas je me tourne vers elle le visage toujours impassible.

_maintenant que tu t'es calmé je voudrais que tu me dises ce qui se passe et je ne veux pas avoir à me répéter.

Elle soupir longuement, les larmes ruisselant sur ces joues avant de mourrir sur ses lèvres, qu'elle entre ouvre en avalant ainsi quelques gouttes d'eau salé.

_je...........

On dirait que c'est difficile pour elle de se prononcer mais il va falloir qu'elle m'en parle.

_j'ai... Je l'ai refais encore. Dit elle.

_et qu'est ce que tu as reproduis sois un peu plus clair. Repris je priant qu'elle ne fasse pas allusion à ce que je pense.

_je me suis encore mast.... Masturber je suis désolé.

Je me lève d'un bond la colère possédant mon corps a un tel point que j'ai peur de moi même.

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