6

8 2 0
                                    

Les paroles des proches, amies ou collègues, mènent souvent à une personne en particulier à cause des mots, gestes et envies qu'on aurait pu avoir avec l'interlocuteur à son égard. Surtout lorsque cela concerne un meurtre.

Vous êtes devant une petite maison et sonner, une dame âgée aux cheveux de sel vient vous ouvrir.

— Bonjour, je suis là pour vous posez des questions. À propos de votre fille Maya Lucas. Nous avons légèrement discuté au téléphone.

— Oui, bien sûr, entré.

Elle vous fait entrer dans sa petite maison, vous menant au salon, vous vous asseyez dans un canapé poussiéreux, vous faisant éternuer. Mme Lucas vient avec du thé puis s'assoit.

— Vous pouvez boire un peu de thé.

— Non, merci. Parlez-moi de votre fille, comment était-elle ?. Avait-elle des amies ou des ennemies ?.

— Elle n'avait aucuns ennemies, personne n'en voudrait à ma fille. Oui, elle avait une amie, seulement une seule, elle venait souvent à la maison. Elle s'appelait Adeline, une très gentille fille, vous pouvez me croire, elles parlaient souvent, mais un jour elles se sont disputez, un soir à la maison, elles ne parlaient pas très fort pour ne pas que j'entende mais j'ai entendu... Un peu.

— Et vous savez pourquoi elles se sont disputées ?. Sur ce que vous avez pu entendre.

Mme Lucas semble réfléchir un long moment.

— Non, mais un nom ressortait souvent. Celui de... Artur ? Oui un certain Artur.

— Artur, savez-vous qui sait ?.

— Hélas, non mais peut-être qu'Adeline le sait?. Ma fille parlait beaucoup avec elle mais peu avec moi depuis une semaine.

— Et pourquoi?.

— Elle était prise par son travail, elle est banquière vous savez, du moins... L'était... Et sinon... Avancez-vous dans votre enquête ?.

— ... Pour l'instant nous n'avons rien, cela fait seulement quelque temps que l'enquête à commencé et nous n'avons encore rien trouvé, il n'y a aucun indice. Mais pouvez-vous me dire les journées de Maya. Comment elle se préparé, vivait.

— Elle était très simple, elle prenait son petit-déjeuné, me parler tous les jours quand elle rentrait après son travail enfin sauf le samedi, ce qui est bizarre mais j'imagine que c'est pour des comptes, vous savez, je ne sais rien de ces choses de banquier, mais le samedi et le jeudi, elle mange avec son amie Adeline et puis elles viennent parfois me voir. Pour discuter.

— Son telle venu vous voir, entre le lundi trente décembre et le deux janvier deux-mille vingt.

— Non, elle n'est pas venue me voir, même pas son amie.

— Les avez-vous appelées ?.

— Non, je ne pense pas... Non, je ne l'ai pas appelé, ni même ce soir-là, j'aurais dû le faire. Peut-être que si je l'avais fait elle ne serai pas...

— Ce... N'est pas de votre faute Madame Lucas... Vous ne pouvez pas savoir.

Une larme coula dans la joue de madame Lucas, elle essaie de cacher sa tristesse mais n'y arrive.

— Pouvez-vous me promettre une chose.

— Je ne peux pas promettre une chose que je ne pas tenir madame Lucas. Mais je ferai de mon possible pour trouver la ou le meurtrier de votre fille. Cela ne fait qu'une semaine que l'enquête à commencé, et grâce à la carte d'identité de votre fille, nous avons pu légèrement avancer mais nous manquons d'éléments, si vous savez quelque chose, ou si une chose vous revient. Appelé moi. Mais avant de partir, pourrais-je avoir l'adresse d'Adeline, si vous l'avez.

Madame Lucas prend un morceaux de papier et écrit l'adresse de cette Adeline puis vous la donne.

Vous la remerciez de ses informations et partez, sachant que la mère ne vous donnera pas assez d'informations mais que cela reste suffisant, mais qu'avec ce que vous avez obtenu, vous savez qu'elle a une amie du nom d'Adeline et que c'est la seule que connaisse madame Lucas, qu'ils sont eus une dispute et que le nom d'un certain Artur y est ressorti.

Maintenant, il ne vous reste plus qu'à parler au collègue et à Adeline.


________________________________________________________________________________

Alors, qu'avez-vous pensé de ce chapitre ?

Posté le 13/02/2020

658 mots

Tu et VousOù les histoires vivent. Découvrez maintenant