Tu et Vous

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Un retour à la scène avec un œil neuf et préférable.

Vous la regardez et la décrivez dans votre mémoire, une femme rondelette et assez petite, plus petite que la victime, les cheveux noirs avec certain blanc et d'une texture grasse, les yeux bleu-marrons avec des rides ; vous estimez son âge à une quarantaine presque la cinquantaine.

— Bonjour Diana Jones. Je vais vous posez des questions. D'abord. Pourquoi profaner des menaces à Maya Lucas ?.

— C'est une banquière, et elle m'a mise dans le rouge. Je suis sûr que c'est elle, mais je l'aurai jamais tuée car elle m'a aidée un moment avec mes comptes quand je comprenais rien à la machine.

— Donc?.

— Les menaces c'était pour la faire réagir mais elle sait que je pourrais tuer personne, j'ai trop de fierté pour çà ou beaucoup de procrastination et pas assez de motivation, et puis j'ai pas envie de finir en enfer.

Vous soufflez.

— L'enfer s'en foutra de si vous n'avait pas envie d'aller en enfer. Bref, où étiez-vous le 2 janvier entre 23 heure et minuit?.

— Chez-moi.

— Qui pourrait le confirmer?.

Diana Jones sourit.

— Mon mari, on faisait des choses intime, genre massage exotique. Si vous voyez ce que je veux dire.

Un petit silence arrive puis vous vous raclez la gorge sous un rire discret.

— Très bien madame Jones, je demanderai confirmation de votre mari, je voudrais le voir demain après-midi.

— Bien sûr. Vous verrez que j'ai raison.

Vous souriez rapidement en la voyant se lever et partir.

Vous ouvrez la porte et dîtes: Artur O'brian.

Vous le montrez où s'asseoir et vous continuez de le scruter en voyant qu'il joue avec ses mains.

— Pourquoi avoir menacé Maya?.

— Je l'ai jamais menacé, pas une fois.

Vous haussez un sourcil.

— D'après les messages intéressant sur son téléphone, vous l'avez menacé, vous vous vouliez dire des calomnies envers elle. Vous savez ce que vous risquez pour diffamation envers une personne, avec harcèlement moral et chantage sur un être humain. Je pense que ce serai pratique pour vous, quand... Vous chercherai un travail, lorsqu'il y aura ses mots dans votre C.V mais aussi dans votre casier judiciaire, quand les patrons verront çà. Il ne voudront pas vous embauchez et pour cause. Aucun patron, ne voudrais d'un employé qui menace ses employé pour de l'argent ou autre, cela... Empiéterai la réputions de l'entreprise n'est-ce pas ?. Donc soit vous me dîtes clairement les choses, soit c'est votre C.V et casier judiciaire.

Vous le voyez souffler en fermant les yeux.

— Bon d'accord, je l'ai menacé mais c'était par colère, je pensais pas à çà quand je lui ai dit et écrit çà. Je regrette vraiment maintenant.

— Vous regrettez. Franchement, vous savez, ne dîtes pas que vous regrettez juste parce qu'elle est morte.

Vous levez un instant les yeux au ciel puis le fixer du regard.

— Surtout que... Vous l'avez éloigné de sa famille et de ses amies, donc si vous dîtes que vous « regrettez », je prendrai çà plus pour un mensonge que la vérité.

— Je mens pas, je regrette vraiment.

— Non enfaîte. Je le prend pour un mensonge, surtout quand on sait que vous avez manipulé cette dernière pour quelle vous mette de l'argent dans votre compte en banque.

— Je n'ai pas de pr...

— Avec des recherches on peut tout savoir, jusqu'au transaction, vous dîtes en le coupant. C'est beau hein, l'évolution de la technologie pour trouver des indices.

Vous souriez.

— Vous trouvez pas. On peut tout savoir juste en cherchant en un claquement de doigt, vous claquez des doigt. Donc la vérité. Car sinon, vous savez ce qui vous attend.

— Oui, j'ai des problèmes d'argent... Du moins, j'avais, j'ai légèrement profité de sa gentillesse, je voulais régler mes dettes puis...

— La laisser tomber comme une merde alors quelle vous a aidée, et que vous lui avait coupé toute relation social pour qu'elle reste en votre possession, vous voulez quoi ? La réduire en cendre entre vos mains pour qu'on vous donne votre trophée.

— ...

— Pathétique de manipuler pour de l'argent.

Il vous regarde.

— Je devine que vous ressentiez une certaine satisfaction à faire çà, lorsque vous la manipuliez. Que vous vous disputiez pour l'argent.

— ...

— Vous n'arriviez pas à régler vos dettes. Alors, quand elle a refusé, vous avez vu rouge et l'avez tué et... Vous avez adoré la voir mourir, ramper et se débattre, jusqu'au dernier souffle.

Vous vous demandez comment il va réagir face à ses fausse accusation.

— Vous êtes complètement malade !. Oui, je me suis disputé avec elle pour de l'argent mais même pour çà je ne l'aurai pas tué, qu'importe combien de temps j'aurai profité de sa gentillesse pour mes dette mais malgré tout ce que vous pouvez penser...

Un silence arrive durant une bonne dizaine de secondes.

— Je l'aurai rien fait, malgré les menaces et je ne n'aurai jamais posé la main sur elle, oui c'est de ma faute si je l'ai éloigné de sa famille, pensez ce que vous voulez mais je ferai rien sur elle.

— Vous le profil du tueur, enfin d'un tueur mais je sais que ce n'est pas vous, je ne l'ai pas pensé une seconde. Je sais que la voix et les preuves sont mieux que l'apparence et puis... Vous êtes lâche, ça se voit.

Vous le fixer intensément.

— Vous êtes un lâche car vous tremblez légèrement et dévier le regard et aussi je suis sur que vous mentez quand vous dîtes que vous regrettez.

— Pensez ce que vous voulez, détective, mais je l'ai pas tué.

— Cela ne vous aidera pas, si vous savez ce que je pense de vous car je ne pense rien de vous. Je ne fait que résoudre.

Vous le voyez souffler.

— Sinon, où étiez-vous, le deux janvier entre vingt-trois heure et minuit.

— Dans un bar.

— On verra cela. Au revoir.

— ... Au revoir.

Vous le voyez sortir de votre bureau en claquant votre porte.

Vous soufflez en mettent de l'ordre dans vos idée et sur ce que vous avez entendu.

Vous recevez un appel de Sacha, disant que la personne ayant vu le corps sera disponible dans deux jours seulement et vous lui répondez que cela vous convient.

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1025 mots

Posté le 04/04/2022

J'espère que ce chapitre vous a plus, malgré le fait que j'ai mis beaucoup de temps à le sortir et que je ne suis pas vraiment douée.

Kiss