Signé OEB

CHAPITRE I - Premières heurs

01 septembre 1995

Olive s'installe sur l'une des banquettes du Poudlard Expres. La deuxième en entrant dans le wagon des préfets. La voie 9.3/4 est bruyante et le train commence a se remplier. Beaucoup de parents accompagne leurs enfants a chaque rentrés scolaires mais ce n'est pas le cas d'Olive. Quelques personnes viennent s'installer a deux ou trois rang autour d'elle. Elle voit une tête blonde, assez familière apparaître dans l'entrebâillement de la porte. Drago Malefoy vient s'assoir en face d'elle après avoir poser une mallette dans le porte bagage en haut de leurs têtes.

- Bonjour M. Malefoy. Lui dit-elle.
- Olive Beatre, j'étais sûr de te voir ici.
- Nous nous somme écrit tout l'été et tu n'as jamais mentionné que tu serais préfet.
- Toi non plus.
- Blaise vas se sentir rejetée. Affirme t-elle.
- Au moins j'aurai une excuse pour te voir plus souvent.
- Parce que tu as prévu d'assumer ce rôle et de t'occuper des premières années ?
- Non. C'est simplement pour mon dossier.
- Cela ne m'étonne pas de toi.
- Ne t' inquiet pas, tu vas assurer ton rôle a la perfection, tu n'as pas besoin de moi.
- Je suis tout a fait de cette avis.

Drago continue de parler à Olive de son été et de toutes sortes de potins. Ils parlent longuement jusqu'à la nuit tombé. La fraicheur retombe et les deux Serpentard se revêtent de leurs blazer.
Le Poudlard Express arrive à destination. Ils sortent du train et tombe sur Crabe et Goyle qui les félicite instantanément après avoir aperçu leurs insignes. Ils entendent la grosse voix d'Hagrid invitant les premières années a le joindre. Ils continuent donc leurs chemin d'un pas assuré et croissent le trio des Gryffondor. Celui qu'ils préfère martyrisé. Harry Ron et Hermione marchent lentement devant eux. Drago accélère sa marche suivie des trois autres.

- Je suis étonné que le ministère te laisse encore en liberté Potter. Dit le blond. Hermione relève son sac contre sa poitrine de peur qu'ils ne lui volent.

- Tu as peur Granger ? Ricane Olive. La brune ne lui répond et ressers d'autant plus son emprise contre ses affaires.

-Je te conseille d'en profiter. Il y a surement une cellule a Azkaban avec ton nom dessus. Reprend t-il. Harry grogne sur Drago tel un chien enragé. Qu-es-que je vous disais, complétement cinglé.

- Ne t'approche plus de moi ! Hurle le binoclard.

Les Serpentard continuent leurs marche jusqu'au calèches. Blaise, qui les attendait sous un lampadaire, se jette sur eux.

- Par Merlin ! Vous êtes tout les deux préfets! Je n'en reviens pas. J'avais peur que vous ayez loupé le train et je n'espérais tout de même pas vous voir arriver en voiture volante. Plaisante t-il.

Il est très heureux d'apprendre que ses meilleurs amis sont enfin récompensé pour leurs efforts. Il est également très heureux car il adore être entouré de ses camarades.

Ils montent tous les cinq dans une diligences tiré par une Sombrals. Le trajet habituellement long passe, ce soir, aussi vite qu'un Éclaire de Feu. Ils se rendent ensuite dans leur salle commune ou ils partent chaque un de leurs côtés afin d'installer leurs affaires. Les quatre garçons on la chance de tous s'entendre et de partager la même chambre se qui n'est pas le cas d'Olive. En poussant la porte, elle redoute d'y découvrir certaines personnes avec lesquels elle ne voudrait pas partager sa chambre

- Olive, je me disait bien que ses bagages affreux était les tiens.
- Pansy, je sentait bien que cette odeur de troll était la tienne.
- Tu es fort sympathique pour ce premier jour.
- Je te retourne le compliment. Je suis également Préfète de cette maison.
- Je te demande pardon ? Tu es la petite pétasse qui a pris ma place a coté de celle de Drago ?
- Je te conseille de demander a ta copine, qui te sert de chienne, d'enlever ses pompes dégueulasses de mon tapie.
Suzane, la fille a coter de Pansy s'avance et reprend ses chaussures.
- Tu ne devrais pas nous parler comme cela maintenant que Drago est venu au bal avec moi.
- Parce que vous êtes ensemble ?
- On va bientôt l'être. Il réfléchie encore a comment me le demander.
- Je te parie dix Gallion que je te devancerai. La défie Olive.
- Parie tenu. Apprête toi a payer Beatre. Lorsque nous serons ensemble je ne me priverai pas de l'embrasser chaque jours devant ta minable face.
- Vous entendez ? Votre pote préfère passer son temps avec un blondinet qui ne veut même pas d'elle que d'être une amie exemplaire.
- C'est vrai Pansy, tu vas nous laisser ?
- C'est pas se que j'ai dit !
- Non mais Pansy, ne nous lâche pas