Yes, Rihanna is My Mom (2) : The Sequel

Part 84 : Risk it all

Dwayne : Jamilla ? Qu'est-ce que tu fais là ?

Moi : Est-ce que Jordan est avec toi ? Interrogeais-je simplement.

Dwayne : Euh ouais...

Au fond de moi je savais bien que tout ça était une mauvaise idée, mais j'en avais absolument besoin avant de faire ce que j'ai à faire aujourd'hui.

Moi : Je dois lui parler.

Je n'ai pas attendu qu'il me laisse entrer,
Au contraire je l'ai fait toute seule en le poussant gentiment.

Dwayne : Comment tu as eu mon adresse ?

Moi : J'ai pas le temps pour ça. Il est où ?

Il pointait du doigt une porte.

Jo : Tu veux que je vienne avec toi ?

Moi : Non c'est bon, dis-je. Tu peux m'attendre là.

J'ai rejoins la pièce en question.
Jordan regardait la télévision, mais étant dos à lui il ne me voyait pas. J'ai donc dû contourner le canapé pour me retrouver face à lui.

Moi : Pourquoi tu as fais ça ?

Jordan : Tiens donc... Jamilla, quelle surprise.

Moi : Tu as parlé de mon fils, Jordan ! Crachais-je. Tu n'avais pas le droit de faire ça!

Jordan : Parce que toi tu crois que tu avais le droit de me faire tout ça ? J'ai juste dis la vérité ! Il faut que tout le monde sache dans quel univers vicieux tu vis !

Moi : Ecoutes-moi bien, déclarais-je en le regardant droit dans les yeux. Tu vas dire à la presse que tu as inventé tout ça.

Il se mit à rire.

Jordan : Et puis quoi encore ? Jamais de la vie ! T'as qu'à assumer tous tes mensonges maintenant.

J'avais envi de le tuer,
Mais je me devais de garder mon calme,
Parce que contrairement à lui j'ai encore un minimum de respect pour sa personne.

Moi : Si j'étais toi, je ferais ce que je dis.

Jordan : T'es pas moi bébé... ai-je besoin de te le rappeler ?

Il se mit à sourire bizarrement en coin,
Avant de me regarder de tout mon long en se passant la langue sur les lèvres, si bien que j'ai commencé à être mal à l'aise.

Jordan : Quoique... on peut négocier en fin de compte.

Je fronçais les sourcils,
Le fixant du coin de l'oeil avec mépris tandis qu'il s'approchait de moi avec son fauteuil roulant. Une fois à mon niveau il a passé son index sur ma cuisse nue, avant de le faire glisser vers l'intérieur de ma cuisse.

Jordan : Si tu passes la nuit avec moi, je veux bien dire à la presse que j'ai un peu extrapolé les choses... ça limiterait un peu les dégâts vu qu'en ce moment tout le monde te déteste. En fin de compte je te sauverai la mise, alors je le mérite bien.

Je retirais aussitôt sa main.

Moi : Tu m'as prise pour une pute ou quoi ? M'écriais-je, effarée.

Jordan : Je sais que t'as baisé avec Saint, alors ne fait pas ta prude. C'est à prendre où à laisser.

Moi : J'ai essayé de te donner une dernière chance mais tu n'as pas voulu la saisir, reprenais-je. Je trouve ça vraiment dommage pour toi, Jordan. Parce que tu vas me pousser à faire des choses qu'on aurait tous les deux très bien pu éviter. Malgré tout le mal que tu m'as fais tu comptais toujours un peu pour moi parce que tu as fais partie de ma vie et que ça ne s'oublie pas, mais ce n'est plus le cas maintenant... tu l'as cherché.