《Je suis amoureuse de mon professeur 》

!Chapitre29!

Maman: Omar, c'est vous Omar n'est-ce pas ?
  Omar: oui , c'est moi madame
  Maman: pourrais-je vous parler ?
  Omar: oui madame bien sûre
  Maman : je ne suis pas quelqu'un de mauvais, moi ma fille je l'aime et la voir malheureuse comme ça me tue. Je sais que j'ai pas penser à son bonheur j'ai toujours mis l'honneur en avant mais une fille déshonorée comme elle qui aurait voulu d'elle?
  Omar: Moi madame, moi j'aurais voulu, je veux et je voudrais toujours de votre fille.
  Maman: Mais c'est vous qui l'avez salie et vous avez lancé le déshonneur sur elle!
  Omar : c'est là que vous vous trompez madame, votre fille c'est la fille la plus respectable que je connaisse, je l'ai toujours respecté et jamais je n'ai posé mes mains sur elle, je ne le ferai jamais en dehors du mariage. Vous n'avez pas su écouter votre fille ni la comprendre.
  Quand j'ai entendu cela j'ai fondu en larme, il me défendait si vaillamment face à ma mère. Je souhaite ce genre d'homme pour toutes les femmes.
  Maman : en pleure, cela veut dire que ma fille était toujours... elle était toujours...
  Omar : elle est toujours pure même au moment où je vous parle car heureusement vous l'avez marié à un incapable.
  Maman: Quoi!? *en pleure*
  Omar: je suis désolé madame mais votre fille a vraiment eu des jours tourmentés et éprouvants par votre faute. Excusez moi, je dois y aller ma mère doit m'attendre.
  J'ai entendu Omar partir et ma mère éclater en sanglots. Elle s'est dirigée vers la chambre d'ami qui était juste à côté toujours en pleure. J'ai donc fermé les yeux et j'ai essayé de m'en dormir.
  ***
  J'ai roulé jusque chez mes parents, ma mère ne savait rien de l'histoire mais j'avais tellement envie de me confier à quelqu'un.
  Moi: Nènè djarama ( bonjour mère)
  Nènè: comment tu vas mon fils?
  Moi: Je vais bien Al hamdoulilah
  Nènè: t'as un problème mon fils, J'ai remarqué que ces derniers temps tu ne passais pas me voir cela fait 1mois que je ne t'ai pas vu. Si tu as des problèmes tu me diras?
  Moi: bien sûr maman
  Nènè : Tes frères sont sur la terrasse de derrière
  Moi: ah je vais leur faire un petit coucou
  Je suis allé les rejoindre, ils étaient au courant de tous. Y'avait idiatou, Boubacar et sa femme Aicha.
  Moi: comment va la famille ?
  Boubacar: woo mon frère, comment tu vas?
  Aicha: comment tu vas beau frère ?
  Moi: Tout va bien Al hamdoulilah
  Idiatou : Et zaïne?
  Moi: elle va bien, elle est chez ses parents
  Boubacar : pourquoi tu l'as amené là-bas, tu veux que la prochaine fois qu'ils l'achèvent?
  Moi: Ne dis pas de bêtises toi, son père est enfin d'accord que je l'épouse et sa mère m'a parlé elle a l'air de regretter.
  Idiatou : j'ai trop envie de la voir,
  Omar: Passes demain si tu veux je lui dirai.
  ***
  Je parlais au téléphone avec Mariama qui me demandait l'état de ma sœur quand je surprends une conversation entre mon père et ma mère.
  ... elle a trop souffert je n'aurais jamais dû te laisser faire
  - je regrette tu sais pas à quel point!
  - tu es allée la voir?
  - Non
  - et tu me dis que tu regrettes?
  - nkalon n'ma kodjou kè ka sé nindô ( mon plus gros mal est celui que j'ai infligé ma fille je le sais)
  - elle se mariera avec son professeur !
  - hein tu acceptes qu'elle épouse son professeur ?
  - Tu as un problème avec ça khadiatou?
  - non aucun, il a toujours été là et il a aidé ma fille, c'est le bon choix depuis le début mais je me suis entêté. Pardonne moi
  - Demandes pardon à ta fille plutôt.
  J'ai filé dans la chambre de zaine en vitesse avant que mon père ne me voit.
  Elle dormait comme un bébé. Mais je l'ai réveillé !
  ... Abdel le moche tu veux quoi?
  Abdel: tu m'as manqué ma sœur adorée
  Moi: Toi aussi mon frère
  Isma aussi s'est joinds à nous et on a énormément parler ce jour là. J'avais récupéré toute ma complicité avec isma.
  Celui qui me manquait là c'était Omar.
  Le lendemain,
  Idiatou est passée me voir ainsi que Mariama. Dans la soirée, vers 15h on a entendu des cris au salon. Quand on est allé voir, c'était isiaga qui réclamait « sa femme ». Quand je suis arrivée , il criait sur mon père. Je lui ai foutu 2grandes gifles il m'a tenu pour me rendre la gifle quand isma et Omar ont débarqué.
  J'ai vu dans leurs yeux la haine, sans hésiter Omar est venu et l'a pris par le col de sa chemise. Il l'a trainé hors du salon et a commencé à le rouillée de coups.
  Il s'est arrêté et est venu vers moi, Omar m'a mise en face d'issiaga et lui a demandé de me fixer.
  Tout le monde était là et regardait, les voisins curieux que le gardien empêchait de rentrer.
  Omar: Répudie la! Avait-il dit.
  Ma mère était là et regardait la scène...
  Issiaga: Qu..o..i
  Omar: j'ai dit répudie zaine car c'est moi qui vais l'épouser.
  Issiaga: ...
  Omar: Répudie la j'ai dit!!! Oubien tout le monde saura que tu es incapable d'enfanter !
  Issiaga : hein qu..i t'a dit .. ça ?
  Omar: Fais le!! Regardes la bien et dis zaine Keita je te répudie , répètes le 3fois.
  Issiaga : zaine Keita je te répudie je te répudie, je te répudie.
  Enfin !!! Y'avait aucun lien qui nous unissait, il savait pas que je connaissais son secret sinon il ne serait pas venu ici!! Tchurrr
  Isma l'a pris en la jeté dehors!
  Je vous passe 1semaine..
  Mes frères m'empêchaient de sortir, ils voulaient que je me repose bien. Mon père était au petit soin avec moi et ma mère faisait de petites tentatives. C'est ma mère et je l'aime même si je suis en colère.
  J'avais décidé d'aller chez Omar aujourd'hui sans rien lui dire, j'en avais marre de rester chez moi.
  Je me suis habillée et j'ai dit à isma que je venais chez Omar, il n'a rien dit et m'a demandé de faire attention.
  ***
 

  Arriver dans le quartier d'Omar, il était 13h je crois je suis sûr qu'il dort toujours. Il aime se réveiller à des heures comme ça les week-ends, on était dimanche.
  Je montais les escaliers pour rejoindre l'appartement d'Omar quand je suis tombée nez à nez à nez avec issiaga.
  Issiaga : petite pute comme on se retrouve..
  J'avais tellement peur que j'en tremblais, toutes ces images me traversaient L'esprit. Son mépris , ses coups... Mais que faisait-il dans cet immeuble là ?
 

  À SUIVRE...