Il était vingt heures, nous étions en train de manger sur la terrasse d'Ondreaz accompagné de Tony, la maman Lopez et de mon fils. Je voulais essayer d'oublier le passé et d'aller de l'avant avec Ondreaz et par-dessus tout rendre heureux mon fils. Il nous restait trois semaines ici, et j'avais hâte de savoir si Ondreaz avait réellement changé.
-Alors Laurine, tu travailles dans quoi maintenant ? Me demande Madame Lopez.
-J'ai remplacé mon père dans l'entreprise, je travaille dans le secrétariat compta.
-Et ça te plaît ? Demande Tony en me regardant avec un simple sourire.
-Énormément, je suis contente d'en être arrivé là.Je souris avant de croiser le regard d'Ondreaz qui était déjà posé sur moi. J'étais gêné de la situation, je ne savais pas ou me mettre, si je devais parler avec les Lopez comme si nous étions de la même famille ou je ne sais encore.
-Maman je peux sortir de table ? Me demande mon fils en finissant son verre d'eau.
-Demande à papa, on est chez lui. Je regarde Ondreaz puis Keyden et j'avais envie de vivre cette vie à nous trois.
-Oui tu peux, pas de bêtise. Dit Ondreaz en souriant face à ma réaction. Tu sais, c'est comme chez toi, c'est ton fils, donc tu peux aussi donner ton avis. Ondreaz me regarde, mais avec le regard qu'il a quand il est amoureux, ce regard je le connaissais très bien avant.
-Je... D'accord. Je prends une grande inspiration....
La soirée était terminée. Tony et madame Lopez venaient de rentrer. J'aidais Ondreaz à débarrasser la table pendant que Keyden été devant la télévision à regarder les dessins animés du soir.
-Tu veux rester dormir ce soir à la maison ? Ondreaz arrête tous ses gestes pour attendre ma réponse.
-Je sais pas, je ne veux pas que ça soit trop rapide pour Keyden. Je continue de faire la vaisselle.
-Je pense pas que ce soit vraiment lui le problème, je me trompe ? Ondreaz venait de ce placer derrière moi.
-Je n'ai pas envie de souffrir à cause de toi, encore une fois. Je souffle un bon coup pour ne pas être déstabilisé par lui.
-J'aimerais que tu restes ce soir s'il te plaît, et j'aimerais que tu restes ici pour toujours, je veux faire ma vie avec toi, je veux voir notre fils grandir avec ses deux parents, je veux que notre fils devienne grand un frère. J'aimerais que tu t'installes dans cette maison avec Keyden, j'aimerais qu'on vive la vie à laquelle on a tant rêvez-toi moi. Tu t'en rappelles . Ondreaz m'avait attrapé les mains qui été remplies d'eau et de savon.
-Comment tu veux que j'oublie ? Je dormirais ici demain soir, mais pas ce soir, ça fait un peu trop d'un coup, et puis j'aimerais vraiment croire en tes paroles mais c'est si compliqué.Je le fixe, j'avais qu'une envie c'était de sentir à nouveau le goût de ses lèvres contre les miennes, sentir qu'il était de nouveau à moment, sentir que tout n'était qu'un long et douloureux cauchemar et qu'enfin il se finit. J'avais vraiment envie de faire cette vie de rêver.
...
Je venais de me réveiller, les yeux gonfler de la vielle, j'étais encore dans cette chambre d'hôtel. Aujourd'hui j'allais vivre avec mon ex-mari et mon fils, je n'aurais jamais pensé ça un jour dans ma vie. Il était neuf heureuses, le soleil était bien lever, j'attrape un jean bleu troué, un pull beige avant de foncer la douche où tous les nerfs, les angoisse disparaissent dans les larmes mélangées à l'eau chaude.
J'avais peur de la suite, j'avais peur de ce qui pouvait arriver dans cette aventure. Mon but était de protéger mon fils, mais moi aussi. Au fond de moi je veux que sa marche, mais j'avais si peur, peur d'être encore déçu, peur que Keyden découvre le vrai visage de son père. J'avais plein de scénarios dans la tête et je souhaite que le scénario du bonheur se réalise.
Devant ce miroir, je remarque les cernes violacés pour la nuit précédente, les yeux rouges gonflés, une petite mine, je savais que Keyden et Ondreaz remarqueraient que quelque chose ne va pas. Je décide donc de sortir ma trousse à maquillage et de ressembler à une maman heureuse.
Je suis enfin prête, prête à quitter l'hôtel pour rejoindre la maison Lopez, prête pour une nouvelle aventure qui pourrait nuire à la vie de mon fils. Prête à essayer de croire encore en l'amour qu'il pourrait rester entre Ondreaz et moi. Je monte dans la voiture, le cœur et serrer et la boule au ventre. J'avais le même ressentis que le jour où j'ai pris l'avion la première fois pour rejoindre la Hype House et rencontrer Ondreaz. C'était les plus beaux moment de ma vie.
...
Je suis devant la porte, le cœur lourd, j'entends des rires derrière celle-ci, j'avais juste à toquer, mais c'est si difficile de toquer à une porte qui changerait à nouveau votre mode de vie, un nouveau départ ou un retour en arrière, trop de questions. Je décide donc de toquer, et puis tant pis, on n'a qu'une vie.
J'entends des pas arriver, je remarque une ombre derrière la porte, elle s'ouvre sur Ondreaz, habillé d'un tee-shirt bleu marine et d'un jean noir. Il me sourit, un sourire que je lui rends avant qu'il attrape mes valises et qu'il me laisse rentrer. Je remarque mon fils assis encore en pyjama autour de la table à manger devant son bol céréale.
-Maman enfin ! Keyden se lève et vient me faire un énorme câlin.
-Nos câlins du matin me manquent. Je le serre très fort contre moi.
-Bientôt on fera des câlins à trois ! Keyden sourit, ce sourire qui ressemble à celui de son père.Je pose Keyden parterre avant de me diriger vers Ondreaz qui observe toute la scène avec un regard amoureux, il me fait un tel effet c'est fou.
-Vous avez prévu quoi ? Je demande à celui-ci.
-On déjà, et je me suis dit qu'on pourrait aller à la mer et au parc d'attractions.
-Oui le parc d'attractions. Keyden saute de joie.
-Pour aller au parc d'attractions faut être beau et propre. Dit Ondreaz en attrapant son fils et en le chatouillant.
-Va l'aider je vais débarrasser. Dis-je à Ondreaz qui s'apprête monte l'escalier avec notre fils dans les bras.J'attrape le peu de vaisselle présente sur la table et le met aux laves vaisselle et passe un coup sur la table. Je décide de regarder plus attentivement la décoration de cette maison. La porte d'entrée noire avec une vitre en verre flouter donner sur l'escalier en bois blanc. Le salon était à gauche dans le thème gris blanc puis la cuisine rouge et noir, donnant sur la porte-fenêtre qui donne une vue magnifique sur la piscine et la table de jardin. Sur les meubles présents dans la maison ont remarque des photos des frères Lopez, une photo de Keyden à sa naissance puis aussi il y a quelque jour. Je remarque une photo, une photo qui me brisa. La photo de notre mariage, pendant l'ouverture du bal. Nos regards plongeaient l'un dans l'autre avec nos plus beaux vêtements.
Une larme roula le long de ma joue dans un silence profond. Comment on a pu en arriver là. J'entends des pas descendre de l'escalier, j'essuie vite la larme, mais Ondreaz l'avait remarqué.
-C'est ma photo préférée de ce jour-là. Il s'approche doucement en chuchotant chacun de ses mots.
-Elle est tellement belle, comme un rêve. Je souffle pour ne pas pleurer.Je sens deux mains ce poser sur mes hanches. Sa tête au niveau de mon coup, je sens son souffle chaud.
-Tu me manques tellement.
Mon cœur rata un battement avant de se briser. Je suis si faible que ça?
-Ondreaz...
Je n'ai pas pu dire grand-chose qu'il me retourna pour que je sois face à lui, et il posa délicatement ses lèvres contre les miennes. Ses lèvres étaient chaude et humides, tout avait disparu. Je pouvais de nouveau sentir son corps, ses lèvres contre moi, redevenir la fille qui a eu le cœur d'Ondreaz Lopez. J'avais besoin de ce bisou, ce bisou qui me donnerait raison d'être dans cette maison. Raison que je prends la bonne décision. Ils avaient peut-être tous raison, il a peut-être changé.
-Beurk maman et papa! Dit Keyden en cachant ses yeux.
Je m'écarte brusquement d'Ondreaz réalisant ce qui vient de se passer.
-On y va ? Je demande en attrapant mes affaires.
Qu'est-ce qui venait de se passer....
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Nothing is easy. (Réécriture)
FanfictionJe suis tombée amoureuse d'un Américain connu alors que je suis une fille banale en France. Il m'a dit oui, mais cette relation? Est-ce qu'elle est vrai? Ondreaz Lopez. Tony Lopez. Puis Moi.