12 L'amiral Chairmen Gil

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Nous arrivâmes dans le grand hall.
C'était la réplique exact de la salle de bal des Romanov,
(dynastie d'empereurs Russe).
Je cherchais des yeux Liam, Cali et Jubeï, mais je ne les trouve pas, quand soudain je sens quelqu'un mettre ses mains sur mes yeux et me demande.
- C'est qui?
C'était une voix familière, mais c'est...
- LIAM?! Cirai-je
- Pas si fort idiote!
- Ah, pardon.
Puis il regarda Lyov un moment avec ainsi tance et détourna les yeux en disant.
- Qu'est-ce que tu fais avec lui?
- Ben, Lyov est mon...
- Je suis son coéquipier, me coupa-t-il, un problème?
Je voyais que le visage de Liam s'assombrissait graduellement et que son regard devenait de plus en plus dur, au bout d'un quart d'heure passé à nous dévisager d'abord moi puis Lyov, il nous tourna le dos et partit, j'allais partir le rattraper mais Lyov me retenue en déclarant.
- Laisse-le s'en aller!
- Non, car c'est une personne tout aussi chère à mon cœur que toi! Dis-je avec colère et contrariété.
Je le cherchais partout, mais je ne le trouver pas, quand soudain je sentis une larme couler sur ma joue, je me suis immédiatement précipitée sur le balcon, une fois arrivée dehors j'ai éclaté en sanglots amers.
Après cinq minutes passée a pleuré je sentis une main rassurante se poser sur mon épaule.
- Qui a-t-il? Me demanda la voix inconnu, si tu as un bôme au cœur je peux te servir de souffre douleur.
- Mais, pourquoi être si gentil avec moi, pleur ai-je, c'est vrai après tout vous ne connaissez même pas.
- Car c'est mon devoir en tant qu'amiral.
- AMIRAL?! Excusez-moi!
Bredouillai-je
- Pourquoi, t'excuses-tu?
- Je..., d'être..., c'était comme si mes mots restaient coincés au fond dans ma gorge, excusez-moi d'être aussi FAIBLE. Réussis-je enfin à articuler, l'amiral, lui, me regardait avec étonnement et aussi avec compassion.
- Au fait je ne sais pas comment tu t'appelles, moi, je suis l'amiral Chairmen Gil, et toi?
- Maïven.
- Et ton nom de famille, c'est?
- Je ne sais pas...
- Comment ça se fait?
- Mes parents et mon frère sont morts, alors que je n'avais que quatre ans, je n'ai presque aucuns souvenirs d'eux.
- Mais c'est triste de ne pas savoir d'où en vient!
Je ne lui répondis pas et garder les yeux rivés sur le sol.
- Que dirais-tu de Tākoizu? Tākoizu Maïven ça sonne bien je trouve.
- J'accepte!
- Je ne pensait pas que tu allais tout de suite accepter. Me fit-il avec surprise dans les yeux.
- C'est juste que..., qu'avant..., je..., JE N'AVAIS PAS D'IDENTITÉ! Criai-je, des larmes de tristesse et de rage qui me coulaient des yeux, je le vit s'approcher et le sentis me prendre délicatement dans ses bras en susurrant à mon oreille.
- Ne t'en fais pas, tu trouveras une solution, j'en suis sûr!
- Merci.

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