I - Chapitre 4

1.1K 77 0
                                    

UNE PREMIÈRE VRAIE INTERVIEW

Cela faisait trois heures que Kara c'était décidé à dire à Cat Grant qu'elle souhaitait devenirs reporter, et qu'elle s'était rendu compte que Cat, il y a deux ans, savait déjà qu'elle finirait reporter. Juste trois heures, et elle est déjà envoyer sur le terrain par son nouveau patron, Snapper Carr, pour aller interroger Léna Luthor. Le sujet de cette interview est sur le décret d'amnistie que la présidente signerait en ce jour, donner aux aliènes les mêmes droits qu'aux êtres-humains.

Une fois dans son bureau la première chose que Kara remarque est que le sourire, le ton, et le regard de Lena est cette fois-ci sincère et qu'elle a l'aire tout à fait chaleureuse et pas l'aire d'un gros iceberg.

— Est-ce une coïncidence, si vous venez le jour même où aura lieu la signature du décret d'amnistie des extra-terrestres ?

— Justement je souhaiterais interroger la sœur d'un des plus célèbres détracteurs d'aliènes, sur ce qu'elle pense de cette initiative ?

C'est après cette question que Léna c'est lancé à lui explique l'utilité et le fonctionnement de sa nouvelle invention. Kara pu voir à quel point Lena est passionné par ce qu'elle fait, elle aborde un vrai sourire, pas un de façade, qui finit sont masque, non, quand elle parle de ses inventions, avancées technologiques elle ne peut pas cacher sa fierté, son sourire de joie, qui en dit long sur le fond de sa personnalité.

« Même si Clark ne lui laisse pas le bénéfice du tout, je suis persuadée qu'au fond, elle veut juste œuvrer pour le bien de la société, cette femme, est au fond introvertie, timide et surtout briser. Je ne comprends pas comment on ne peut pas s'attacher à elle, elle parait si... si femme. Elle devrait être traité comme tel ! Personne ne peut choisir son patronyme. » Pensa Kara « Après tout, jusqu'à présent elle n'a fait qu'essayer de redorer le blason de sa famille, elle n'est pas Lex, je ne comprends décemment pas ces gens qui jugent sans connaître toute l'histoire, elle mérite qu'on la traite comme une génie, elle en a l'étoffe »

— Mademoiselle ? Mademoiselle Danvers, est-ce que vous êtes là ?

Ah, heu, oui pardon, mademoiselle Luthor, j'étais dans... dans mes pensées. Excusez-moi, vous disiez ?

— Que ce petit objet permettra à tous citoyen américain de savoir qui est qui.

— Vous ne pensez pas que cela peut entrainer des débordements ? Que certains extra-terrestres voudrais rester dans l'ombre ?

— Chaque personne doit avoir le droit de savoir à qui il a à faire. N'êtes-vous pas d'accord Kara ?

— Je ne suis pas sûre, après mon point de vue n'as pas lieu d'être, je dois rester objective, alors dans un sens oui, ce dispositif peut être quelque chose de positif je pense cela surtout pour les services médical et judiciaire pour adapter les traitements, les sanctions, les cellules mais je pense que d'un autre côté, si ces derniers sont restés dans l'ombre c'est qu'il y a des raisons plus qu'évidente, mademoiselle. Mais si nous mettons des règlementations sur cet objet, et que chaque personne est en droit de refuser de faire le test, un peu comme un vaccin, je suppose qu'elle ne peut qu'être bénéfique alors.

« Waow » pensa Lena «  Je ne pensais pas qu'elle pourrait tenir des propos aussi construit et cohérent, non pas que je la sous-estime mais, j'ai toujours tendance à me méfier des journalistes, même si avec elle, c'est différent, d'ailleurs pourquoi c'est différent ? Une chose qui est sûre, c'est que si on joint son cerveau et le mien il est possible de faire de grandes choses, j'en suis certaine ! »

— Mademoiselle ? Ce coup-ci c'est vous qui vous égarez, vous allez bien ? S'inquiéta Kara.

— Oui, je... je oui je vais bien, je pensais juste que vous et moi accomplirons de grandes choses si nous mettions nos intelligences et connaissances en commun.

« Si tu savais, je ne pense pas que tu voudrais... » rala Kara dans sa tête.

— Je ne doutes pas de sa Mademoiselle Luthor, mais pour l'heure, j'ai un article à rédiger, je vous souhaite une bonne journée, et pensez à vous reposer, je pense que vous êtes un vrai bourreau du travail.

— Je, heu, oui bien sûre, bonne journée à vous, répondit évasivement la Luthor.

Le cœur a ses raisons que la raison et sa famille ignoreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant