La Fille De La Foudre

super HÉROS

⚡À lire⚡
Bonjour à tous et à toutes. Oui, cela fait un moment que je n'ai pas écris. Ma vie est un peu compliquée en ce moment.
Merci de compatir.
Je n'ai plus tellement d'idées pour cette histoire, il faut que j'y réfléchisse plus sérieusement.
En attendant, je vous laisse avec une petite histoire (le temps d'un chapitre) sur le thème de Percy Jackson, du point de vue de ce dernier.
J'espère que ça vous plaira mes petits demi-dieux préférés et bonne lecture !

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J'avoue toujours avoir un peu de mal à comprendre ce que je fais là, à me faire attaquer par une armée de vampires mythologiques. Je vois pas pourquoi ça me choque. Je devrais être habitué en tant que demi-dieu. Enfin, je pense que malgré le temps qui passe, on ne s'accommode jamais vraiment à l'idée de frôler la mort tous les jours.

Il y a quelques jours, mon professeur, le centaure Chiron, m'a appelé pour me rendre à la colonie. Je n'ai pas cherché à comprendre et je suis venu, malgré que l'année scolaire avait déjà commencé. La colonie était ma maison, et elle me manquait. Ma mère, Sally Jackson, trouvait que ce n'était pas une bonne idée. J'étais à peine au début de l'année de première (nda : j'ai un doute, corrigez moi.), que j'ai redoublé l'année précédente. Enfin non, je n'y suis simplement jamais allé. Tout ça à cause d'une foutue prophétie apocalyptique. Encore une fois, tout est question d'habitude. D'après elle, ce n'était pas une bonne idée de partir en quête maintenant et de rater encore une fois mon année. Je devais me concentrer sur mon futur et obtenir mon diplôme si je voulais aller étudier avec Annabeth, ma petite amie, à l'université de la Nouvelle Rome, lieu de vie des gens comme nous, issu des dieux romains. Mais elle respectait toujours mes choix et a fini par me soutenir.
Alors j'ai fait mon sac et j'ai sauté dans la vielle Prius de mon beau père, Paul, en direction de Long Island.

Une fois arrivé, j'ai garé la voiture sur le bas côté et me suis engouffré dans la forêt jusqu'au Pin de Thalia.
Si vous avez peur des bruits étranges et des monstres en général, je vous déconseille les balades par ici.
Je me suis considéré chanceux de croiser aucun scorpion géant ou autre créature capable de me mettre en bouillie avant d'arriver à la colline des Sang-Mêlé où se dressait fièrement le Pin de Thalia décoré de la Toison d'or. Cet arbre délimitait la barrière magique de la colonie qui empêchait monstre et humain de venir gâcher nos après-midi. Jadis, Thalia était une demi-deesse, fille de Zeus, elle s'était sacrifiée pour permettre à ces amis de rejoindre la colonie. Prit de pitié, son père, au moment de son agonie, la changea en arbre pour nous protéger. C'était devenu une héroïne et on baptisa la colline grâce à elle. Tout le monde la croyait morte jusqu'au jour où elle a ressuscité grâce à la Toison.
L'Athena Parthénos n'était pas loin, son regard froid était figé sur son visage de marbre. Je vous raconte pas la galère que c'était pour ramener cette statue de 12 mètres ici.

Je suis arrivé au sommet de la colline, j'ai observer les pensionnaires qui restaient ici tous aux long de l'année, occupaient à se battre, a jouer au volleyball ou encore gravir un mur d'escalade cracheur de lave. Je dois avouer que j'ai souris comme un idiot à la vue de nouvelles têtes qui découvraient cet endroit merveilleux. Ça m'a fait repenser à mon premier été ici. J'avais 12 ans. Je revoyais le minotaur, Grover le satyre, Clarisse et les toilettes, ma revendication par Poseidon, l'éclaires de Zeus, la quête avec Annabeth et mon meilleur ami... Y'avait pas à dire, c'est d'ici que venais mes plus beaux souvenirs.

J'ai dévalé la colline en courant, les pensionnaires que je connaissais me saluaient. J'ai eu le droit à une tape dans le dos de Connor Alatir, du bungalow d'Hermes, qui m'a carrément démonter l'épaule.

-Salut Percy ! Comment tu vas mec ? Me demanda-t-il, son éternel sourire au coin des lèvres. Je m'attendais pas à te voire ici de ci tôt.

-Moi aussi. À vrai dire, c'est Chiron qui m'a contacté.

Je l'ai vu danser sur ses deux pieds et ça m'a fait bizarre. Personne n'a l'habitude de voir Connor géné. Plus loin, Clarisse Larue, fille d'Ares, m'a gratifié un regard noir. Je lui ai répondu d'un sourire avant de me reconcentrer sur Connor.

-Ouais... Tu ferais mieux d'aller à la Grande Maison alors. Fais attention. Mr D. est là et il est pas de bonne humeur.

-Tiens, comme c'est étonnant. Lui repondais-je sarcastiquement.

Connor me toisa d'un regard sévère. J'ai eu l'impression qu'il me mettais en garde. Mr D. ne pouvais pas être pire que d'habitude. C'était impossible. Même pour un dieu.
Connor a pincé ses lèvres et s'est éloigné ce qui ne me laissait plus d'escuse. Je m'avancais vers la Grande Maison.