Hades [ Livaïl X OC ]

chapitre 6

𝐑𝐞𝐭𝐨𝐮𝐫 𝐚 𝐥𝐚 𝐦𝐚𝐢𝐬𝐨𝐧

Actuellement assise à la table des jeunes recrues, je regrettais soudainement ma petite maison tranquille quand mes oreilles commençaient à bourdonné.

- Dis Hades, si tu avais pas perdu contre le caporal tu aurais fais quoi ?

Je pose ma fourchette et me redresse vers Amandine qui venait de tourner l'attention sur moi.

- J'aurais quand même intégrer le bataillon.

- Alors pourquoi accepter de te battre contre lui.

- Il avait bien le droit à sa revanche.

Les yeux des jeunes recrues s'écarquillèrent en comprenant le sous entendu. Le caporal n'était finalement pas invincible.

- Et comment était ta vie avant ?

Je bloque un instant repensant à tout les drames que j'avais vécu. Mais je ne voulais pas de leur pitié et bizarrement je voulais pas qu'ils aient une mauvaise image de moi.

- Disons qu'aujourd'hui elle est plus paisible.

Je quitte la table ne voulant pas en dire plus et me dirige vers le bureau du Major.

- Hades que me vaut le plaisir de cette visite.

- Je veux retourner dans les bas fonds.

Erwin fut surpris de ma demande.

- Écoutez major, je me sens très bien au bataillon et je suis prêtes à prendre part à votre cause mais... j'ai besoin de récupérer quelques effets personnels

- J'ai bien cru que tu voulais nous quitter. Très bien, Livaïl t'accompagnera demain.

Je le remercie et me dirige vers le toit. Le couvre feux avait déjà bien était entamé mais le sommeil ne voulait pas pointer le bout de son nez. Je m'allonge sur le dos et fut émerveillé. Une étendu d'étoiles s'offre à moi à n'en plus finir.

- Tu devrais être dans ton lit gamine.

Le caporal se tenait derrière moi son air implacable sur le visage.

- Je n'arrive pas à dormir.

Il s'assit à côté de moi et regarde le ciel à son tour.

- C'est magnifique.

Il tourne son visage vers moi et quand nos regard se rencontre, un air perturbé gagne son visage.

- Quoi j'ai un truc sur le visage.

- Tch, non idiote.

En tout cas son éternel délicatesse est toujours la.

- Aller va te coucher, demain on part dès l'aube pour la ville souterraine.

- Vous n'êtes pas obligé de me surveiller, je serais à l'heure demain.

Il se lève et souffle de désespoir. Il s'approche de moi et me fait basculé sur son épaule.

- Mais vous êtes malade, lâchez moi !

- Ferme la, tu vas réveiller tout le monde.

Il se dirige vers ma chambre et me balance sur mon lit mais il perd l'équilibre et tombe sur moi. Nos visage sont a quelques centimètre et je peux m'empêcher de rougir dans une telle situation. La lune éclair son visage et quelque mèche lui tombe dessus. Sous cet angle la je me sens comme à sa merci. Un sourire moqueur gagne son visage quand il aperçois ma peau rosie par sa faute. Il se relève et balaye la pièce des yeux.