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𝚌𝚞𝚊𝚛𝚎𝚗𝚝𝚊 𝚢 𝚌𝚒𝚗𝚌𝚘

𝚌𝚞𝚊𝚛𝚎𝚗𝚝𝚊 𝚢 𝚌𝚒𝚗𝚌𝚘

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LAYANA





Ça va aller, ça va allez..

Nahil descend des bras de Sofiane pour se diriger vers moi et s'accrocher à mes jambes.

J'enlève mon téléphone de mon oreille en soupirant et raccroche à la seconde qui suit avant de le poser sur le plan de travail. J'ai ensuite pris Nahil dans mes bras.

Sofiane prends un verre et se sers de l'eau, c'était pour ça qu'il venu dans la cuisine.

Je secouait doucement Nahil de droite à gauche ce qui lui faisait rire. Le voir rire m'a directement donné un sourire, mais là c'était un mélange de vrai sourire et un sourire un peu mélancolique.

Sofiane : ça te dérangerait de dormir ici cette nuit ? Ma mère nous propose de dormir ici.

Moi : non, fin c'est plutôt à elle de voir si ça la dérangerai pas.

Sofiane : pas du tout au contraire, c'est elle qui a proposé ça.

Moi : c'est bon alors.

Nahil jouait avec les pointes de mes cheveux et je continuait à le bercer.

Sofiane : t'es sûr que ça va toi ? T'as l'air bizarre.

Moi : je vais bien, je suis juste un peu fatigué.

Je commençais à avoir un peu mal au cœur, j'avoue que j'étais un peu angoissé.

J'étais bien toute la soirée et là à cause de ce fichu appel, mon moral s'est brisé.

Sofiane : t'es vraiment sûre que ça va là ? Je te vois pas bien moi.

Moi : j'ai un peu mal au cœur et j'ai pas pris mes médicaments, mais ça va, ça va passer t'inquiète.

Sofiane : tu veux pas que j'aille les chercher ?

Moi : non non, je vais juste dormir et ça passera.

J'étais même pas rassuré, en général c'est sur mon sommeil où ça joue le plus.

Sofiane : viens là toi, laisse maman tranquille.

Il me prend Nahil de mes bras pour le déposer sur ses pieds et il s'approcher du plan de travail pour prendre sûrement mon téléphone.

Layana - Cœur à réparer.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant