Brise marine Et Menthe Poivrée

13.Sur les flots,mon Caporal

Une mois passa et nous étions rentrés tous déjà à shiganshina.

J'étais pleinement satisfaite de ce que ma maison était devenue.J'y faisais pousser des plantes,j'avais ll une buanderie de fortune.

Des fleurs pendaient de mon plafond un peu partout dans la pièce à vivre.

Aujourd'hui,j'ai finis plus tôt alors je suis rentré bien rapidement chez moi.

Il n'était pas tard mais il faisait nuit,même si les jours se rallonge à vue d'œil.

On frappa à ma porte.

Prudente je l'ouvrît avec recule.

Une femme avec un foulard sur les cheveux se distinguait au travers de la lumière du feu.

Je regardais autour de moi pour vérifier qu'elle ne soit pas suivi,puis la fit entrer.

Elle était déboussolée.

-Vous venez pour le thé ? »Demandais -je.

Elle acquiesça timidement.
Je lui tendait le dos d'une chaise pour qu'elle puisse s'asseoir.

-Bon alors avant de vous donner quoi que ce soit je dois savoir votre situation physique,est-ce une prévention à cause d'un petit accident ou êtes vous certaines d'être enceinte ? »La questionnais-je.

-H-hm,une prévention..je-.. »

-Inutile de dire plus,ne vous en faites pas. »

J'abordais un sourire rassurant à cette jeunesse dame,avant de partir vers mes bocaux de plantes.

Je saisis un sachet ,et le rempli de plusieurs plantes minutieusement calculées pour un avortement.

Chaque plantes peut être mortelles alors il faut toujours être précis.

Cela durait quelques minutes,en silence,car je sais que beaucoup de femmes qui passe me voir ne veulent pas trop faire la discussion.

Une fois fini je referma le sachet et lui donna.

-Cela vous fera saigner dès la première ingurgitation. »

En posa la somme demandée et partie presque aussi rapidement qu'elle est venue.

Je saisis la monnaie et la mit dans ma boîte en dessous de mon lit.

Je soupirais,je soupire beaucoup en ce moment,j'ai comme un grand vide dans mon cœur,mais soulager les autres de leurs mals me rend heureuse habituellement,mais là il me manque beaucoup plus.

Ma tête contre mon lit,quelques larmes s'échappaient.

Je dois me ressaisir,me distraire,je pense que je suis juste triste d'être seule c'est tout.

Quelle heure est-il ?

Vingts heures.

Le bar de la caserne doit encore être ouvert.

Je remis mon uniforme et sortie de chez moi.

Il ne faisait pas froid,ce qui m'étonnait pour la saison mais profitons-en.

Le temps sec faisait du bien comparé au autre jour et j'avoue en être bien heureuse.

(appartée de l'auteur ;(une de mes amie à laisser ça dans mes notes après avoir lu ce chapitre....)-Livai s'approcha de moi et m'emmena dans son il nu. Il me demanda si j'étais prête (((((((((sexe))))))))) j'aquiescait puis nous commençons. Au moment de lorgasme, livai cria
« KEEEEEEENYYYY »
Ce qui m'a effrayé et m'a fait fuir en courant.)