Marine à la suite à la découverte de l'attaque(les trois amiraux)

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- Kizaru « Aokiji peut-on faire quelque chose pour te soulager ?»

Aokiji était en colère. Il retenait ses larmes mais ses deux collègues sentaient sa détresse et surtout ils la partageaient. Après plusieurs minutes sans rien dire il réussit à parler.

- Aokiji « Vous ne pouvez rien faire mes amis, il n'existe rien en ce monde qui puisse soulager la douleur que j'ai en ce moment. Je vous remercie d'être là pour moi même si je sais qu'elle représente beaucoup pour vous aussi »

- Akainu « Les amis, la famille sert à ça nous partageons ton deuil et nous serons là si tu as besoin d'aide »

Les trois hommes ont passé leur fin de journée à se saouler pour oublier leur douleur et même si sur le coup cela les soulageait, la douleur leur revint en pleine figure le lendemain.

De plus ils ont dû expliquer à l'amiral en chef Sengoku pourquoi ils étaient dans cet état, ce qui n'arrangeait rien. Compréhensif, il leur proposa de prendre un congé pour faire leur deuil. Mais les amiraux refusèrent. alors ils étouffèrent leur douleur dans le travail, surtout aokiji. Bien que cet homme fût censé représenter la justice implacable de la marine au même titre que ses deux autres collèges, il avait toujours été plus souple que ces derniers et d'avoir perdu sa fille a peut-être changé les choses. L'homme, le père s'en voulait de ne pas avoir dit à sa fille qu'il était un amiral, il ne savait pas qu'elle l'avait appris. Il n'avait plus que ses souvenirs pour faire vivre sa mémoire.

Souvenir de quelques mois avant l'attaque

Aokiji avait passé des mois en mer à voyager sur East Blue et lorsqu'il revint il ne s'attendait pas à ce que sa fille lui ait préparé une petite fête pour son anniversaire. bien évidemment, elle n'avait pas été seule dans la combine. elle avait des complices. Ses oncles avaient été avec elle pour les préparatifs du début à la fin. Elle l'attendait sur le quai

- « Papa tu es rentré ! » elle courut vers lui et se jeta dans ses bras toute heureuse de le voir

- « Bonjour ma chérie comment vas-tu ? et tu n'aurais pas pris du poids toi, tu me sembles plus lourde, je vais dire à Mélina de te donner moins à manger »

La fille dans ses bras ouvrit grand la bouche l'air choqué et puis lui donna une tape sur la tête le décoiffant au passage « et ce n'est pas gentil et puis tu sais qu'il ne faut pas dire ça à une femme, je comprends pourquoi tu n'as pas de copine » dit ira en riant

- « Une femme ? mais ma puce tu es encore une petite fille pas une femme ma chérie et pour ce qui est d'une copine tu crois vraiment que tu vas pouvoir me partager avec quelqu'un ? »

- « Peut être aujourd'hui je suis une petite fille mais je vais grandir tu sais un jour »

- « Ho tu m'énerves quand tu as raison »

Akainu et Kizaru les rejoignirent

- Akainu « alors Ira il t'a dit quoi ton père pour te mettre dans cet état ? »

- « Tonton, papa m'a dit que j'avais pris du poids, alors moi je lui ai dit qu'il ne fallait pas parler comme ça à une femme »

- Akainu « Ah oui ! tu as raison mais tu sais Ira tu as encore quelques années devant toi pour devenir une femme cependant tu as raison de dire à ton père qu'il ne faut pas parler comme ça surtout à sa petite fille »

Ils se mirent à rire tous ensemble puis Akainu prit Ira dans ses bras et dit pour taquiner Aokiji

- « En plus tu racontes n'importe quoi elle n'est pas plus lourde que la dernière fois, c'est peut-être car Kizaru lui a offert ses bottes qui pèsent au moins un kilo »

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