PDV Irina
Je regarde mon cousin dormir, il semble si paisible et il est si mignon. Ça fait quand même étrange de me dire que j'ai une famille, une famille à moi et rien qu'a moi. Après quelques minutes d'observation et mine de rien de réflexions je pars dans le grenier. Grenier que j'ai d'ailleurs réaménagé en chambre il y a 2 ans quand un inconnu a atterri dans mon jardin, comme par magie, avais-je pensé à ce moment n'ayant pas encore conscience de l'existence de ce monde caché je ne sais d'ailleurs pas comment ils font pour le cacher. J'aurais pu le mener à l'hôpital mais je ne l'ai pas fait, avant de s'évanouir il a appelé « Harry », je ne savais pas pourquoi à ce moment-là mais j'ai senti que je devais le garder chez moi, j'ai eu une intuition. Pour une fois je ne trouve pas qu'avoir fait des études de médecine alors que je suis prof est inutile. Quand je rentre la première a choisi que je remarque c'est que le lit est vide. Immédiatement je m'inquiète, il est quasi impossible qu'il soit sorti tout seul sans que je l'entende mais avec la magie on est jamais sûr de rien de plus s'il est dangereux je préfère l'affronter moi que de le laisser s'approcher d'Harry. Je suis néanmoins « rassurée » lorsque je sens une présence dans mon dos, oui enfin rassuré c'est vite dit tout de même car avoir quelqu'un dans son dos n'a RIEN de rassurant, c'est même un peu flippant. Je me retourne rapidement et pousse un soupir de soulagement quand je vois mon « patient » (sans armes ou objet dangereux à première vue), cela aurait était dérangeant si ce n'était pas mon patient mais Harry par exemple. Pour dire vrai je ne sais même pas comment il s'appelle alors dans ma tête je l'appelle toujours « patient ».
- Bonjour. Lui dis-je d'une voix calme tout en faisant une sorte de me trouver devant la porte si jamais l'idée de fuir lui venait à l'esprit. Il m'observe faire en silence et sans esquisser le moindre geste.
- Qui êtes-vous? me demande-t-il hargneusement. Bon pour la politesse nous repasserons, je veux bien qu'après plus de 2 ans de coma ce ne soit pas ça première priorité surtout qu'il est dans un lieux qui lui est étranger avec une personne qui l'est tout autant mais quand même.
- Je pourrais vous retourner la question mais je vais éviter, je m'appelle Irina. Puis-je pousser jusqu'à vous demander votre identité? Demandai-je quand même sur mes gardes, non mais qu'elle idée de garder un étranger chez moi aussi ? Il me regarde étrangement puis secoue négativement la tête. Bon et bien très cher inconnu vous vous trouvez chez moi au milieu d'une forêt.
- C'est vrai que pour faire disparaitre les gens c'est plus pratique. Dit-il avec sarcasme. Je ne peux m'empêcher de sourire, je pense que je vais bien l'aimer.
- Pas faux. Mais si je veux-vous faire disparaitre je l'aurais fait pendant les deux ans où vous étiez dans le coma. Il me regarde comme si je venais de lui dire que la reine d'Angleterre se trouve devant lui. Bon j'aurais peut-être dut y allait plus doucement, avec plus de tact, oui j'aurais pu mais je ne l'ai pas fait.
- Deux ans dans le coma ?! me demande-t-il n'y croyant visiblement que moyennement. Chose que je peux comprendre, ce n'est pas comme si je lui avais annoncé qu'il allait pleuvoir. Non c'est beaucoup plus gros que ça. Je me contente d'hocher la tête.
- Dans ce cas pour elle raison ne pas m'avoir emmené à l'hôpital? me demande-t-il méfiant. Je soupire, bien que je savais que ce moment est arrivé je ne pensais pas qu'il allait arriver si vite.
- Quand vous-êtes apparus dans mon jardin vous avez dit un mot avant de vous évanouir. Commençais-je à expliquer calmement. Vous avez appelé Harry. Je le vois ce tendre alors que ces yeux se voile de tristesse. J'ai un cousin qui a disparu et qui s'appelle Harry, Harry Potter. Rajoutais-je finalement. Je le vois relever la tête et observer pour la première fois ses yeux. De magnifique yeux gris, hypnotisant. Dans sa dernière se passe une ribambelle d'émotions, de la colère, de la tristesse comme s'il ressentait un manque, de la curiosité et de l'étonnement. Je vois bien que derrière ces émotion ce cache des secrets et des non-dits mais, qui suis-je pour juger? Soudain de la méfiance semble faire son chemin dans son regard. Je le vois ce tendre un peu plus alors qu'il me regarde maintenant étrangement. Je me demande ce que j'ai pu faire pour ce changement de comportement mais avant que je puisse poser la question il parle.
- Sa cousine? Vous-êtes une Dursley? me demande-t-il, et soudain je compris sa soudaine méfiance il faut dire que ma « famille » n'est pas des plus sympathique. Je ne sais pas trop quoi dire, de sang je le suis mais pas de nom et pas de mentalité non plus.
- Mes parents sont les Dursley. Finis-je par dire. Mais pas moi. M'empressais-je de rajouter devant sa mine sombre. Je m'appelle Irina Dursley certes mais je suis en train de signer tous les papiers pour changer de nom, je pensais à m'appelais Irina Foster. Dis-je ensuite bien que je doute que ça l'intéresse. La méfiance ne quitte pas ses yeux et je me douter que ça ne suffirais pas alors je me décide à faire quelque chose qui me peine énormément.
- Ecoutez j'ai trouvé Harry hier, il dort en ce moment mais... si vous voulez partir avec lui et faire une vraie famille alors... dis-je difficilement. Je viens à peine de connaître le bonheur d'avoir une famille mais le bonheur d'Harry est le plus important, s'il est plus heureux avec cet homme je ne peux pas lui enlever ça par égoïsme. Il passe avant tout, avant mon bonheur. Je vois l'homme s'adoucir et ouvrir la bouche mais nous somme arrêter par un murmure, un simple murmure qui semble si désespéré.
- Sirius...
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Quelle ironie
FanficAprès la guerre Harry n'aspire qu'a une chose, avoir une vie normal. Mais quand ses amis le trahisse et qu'il part dans le monde moldu que ce passe t-il? Et s'il y trouver une famille? Si les meilleur moments de sa vie était en compagnie d'une Dursl...