PDV d'Izuku.
Mon deuxième jour à Yuei commence. Je suis bien en avance.
D'un coup, je sens que l'on me prend à part par les épaules.
Je reconnais la poigne de Kacchan, l'ayant tant subit, je peux la reconnaitre très facilement.
-Katsuki : Qui es-tu ?
-Izuku : Naruto Maito pourquoi cela te pose un problème de comment je m'appelle.
Je vois bien qu'il est un peu étonné que quelqu'un ose lui tenir tête.
-Katsuki : Mais je vais...
-Izuku : Te peindre, faire ma manucure. Soit un peu rapide, j'ai l'impression d'avoir un escargot en face de moi. D'ailleurs, arrête de baver.
Il bave de rage. On dirait un bulldog anglais devant un bol de nourriture, enfin pour être précis de croquette.
-Katsuki : Meurt.
-Izuku : Une menace de mort, super. Je n'ai pas l'impression que tu es un être humain un minimum décent. Je pense même que les villain te refuseront dans un quelconque groupe.
Il fulmine littéralement.
Le prof passe par là.
-Aizawa : Trouvez-vous une chambre.
-Izuku : Désolé mais non, il n'est pas mon type, il n'est pas assez décent mentalement pour m'intéresser.
Il s'énerve encore plus.
Je pars aller dans la classe.
Mais elle est fermée. Normal, le prof est encore avec Katsuki. J'ai tellement envie de lui faire subir ce que j'ai appris avec Tenshi.
Il va tant souffrir, j'en jubile déjà.
Je dois quand même prendre mon mal en patience.
J'ai pu activer mon deuxième alter, il y a déjà quelques temps. En fusionnant les deux, je pourrais mieux me battre.
Mais pour le moment j'espère ne pas avoir à l'utiliser.
Aizawa arrive.
Je ne le sens pas bien cette journée.
Une occasion arrivera bientôt.
Le prof nous ouvre.
À moi et Kacchan.
Aujourd'hui est le bon jour.
Je vais lui instiller le doute en lui à la toute fin.
J'envoie un sms à Tenshi.
C'est possible que cela soit aujourd'hui que Katsuki disparaisse.
S'il pète un plomb.
C'est le jour d'élection des délégués.
Je ne me présente pas. Je n'ai pas envie de devoir avoir cette corvée en plus.
Je les laisse donc batailler comme des idiots.
Le cours se passe bien ensuite. Notre délégué est tout simplement le binoclard de service.
Je n'ai rien à faire.
Le reste de la journée passe normalement jusqu'à l'intrusion de la vermine.
Je vois que c'est des journalistes.
Tout le monde a peur.
Je vais jusqu'à notre délégué.
-Izuku : Rassure-les. Ce ne sont que des journalistes.
Il fonce le faire. Bon toutou.
Je devrais l'appeler Milou ou Bill.
Je laisse un mot pour Kacchan. Où il est marqué Kacchan ?
J'ai laissé quelques indices qui vont lui permettre de me dénicher.
Il voudra me suivre seul pour vérifier ses soupçons à ce moment-là.
Il perdra sa liberté.
Totalement.
Note de l'auteur : La suite au prochain chapitre.
