Is It Love Drogo: Le jeu de notre amour

Chapitre 14: L'éveil

Fin du chapitre précédent: Mon regard se voila, ma tête était si lourde, je voulais dormir. La chaleur était partie et désormais je mourrais de froid. La dernière chose que je vis fus le regard inquiet de Drogo. Et puis tout devient noir

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PDV: Extérieure.

Une forme flou se déplaçait dans l'obscurité de la forêt, a l'ombre des feuillage, caché par les troncs d'arbres. Femme ou homme? Nul n'aurait sut le dire. Elle s'approchait doucement, sans bruit, craintivement, de la maison des Bartholy. Elle la sentais... Elle se réveillait doucement mais ses pouvoirs, eux, emplissaient de leurs odeurs les narines de cette ombre lui donnant l'envie de plus. Beaucoup plus. Ses pouvoirs s'étaient réveillés. Les choses allaient très vite devenir plus intéressante. Mais pas maintenant. Pas encore. Lyra devait encore comprendre sa propre puissance. Alors l'écraser, la briser serait mille fois plus jouissif. Il fallait être patient. Prendre le temps. Avec un sourire, l'ombre se dissimula, puis disparut, sans laisser une seule trace.

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PDV: Lyra

Je posa doucement mon pieds sur la marche de l'escalier. Descendre en douceur. Tout doucement. Et sortir du manoir. J'avais besoin d'air frais. Ma migraine était horrible. Et inutile que Nicolae me clou à mon lit. Mais dans une maison pleine de vampire, inutile d'espérer rester discrète.

???: Tu vas où?

Je sursauta et, tel un chat, me rattrapa sur mes jambes. Nan je déconne! Je tomba comme une grosse m****. Mais un bras me rattrapa, et me plaqua contre un torse. Drogo. Cette manie que j'avais de TOUJOURS tomber contre lui était gênante. Je me redressa en rougissant (bonjour petite tomate) et begaya:

Moi: Je... J'ai... Envie de... Prendre l'air.

Il me fixa, sans vraiment d'expression. Et puis sans prévenir, me prit dans ses bras et me serra contre lui.

Drogo: Putain... J'ai eus tellement peur pour toi...

Je resta là. Les bras le long du corps. Sans vraiment savoir ce que je devais faire. Alors finalement je l'entoura timidement de mes bras. Je me sentais bien ici. Même la migraine repartait un peu.

Un raclement de gorge me fit sursauter. C'est Bartholy avait le don de me surprendre. Et pas dans le bon sens du terme. Nicolae se tenait en bas de l'escalier. A nous fixer de ses yeux de professeur en colère.

Nicolae: Je peux savoir ce que vous faites?

Je m'écarta du blondinet en rougissant, les yeux baissés.

Moi: J'ai eus envie de sortir... Dehors. J'ai faillis tomber et Drogo m'a rattrapé.