Is It Love Drogo: Le jeu de notre amour

Chapitre 9: Reprise en main

Fin du chapitre précédent:

Ses paupières toute fines se fermèrent. Elle était magnifique. Je la sentis s'endormir très vite. Elle semblait épuisée... Je regarda avec envie son poignet. Ses veines bleutées ressortaient sur sa peau. J'entendais le sang pulsé sous la fine peau de son cou... Cette odeur sucrée... Dans son sommeil elle me serra contre elle... Elle était magnifique... Je la décrocha de moi et la fit s'allongée. Puis j'écarta son carnet et le pausa sur la table de chevet. Une envie me prit soudain, et je ne tenta pas de la combattre. Mes lèvres s'approchèrent dangereusement des siennes, entre-ouverte. Mais alors qu'elles allait se toucher, deux mains s'agrippèrent à mon cou et les lèvres de Lyra se préssèrent contre les miennes. Ses jambes entourèrent mes hanches et je me retrouva coucher sur le dos, elle assise sur mes hanches. Elle se redressa, et me dévoila ses joues rougissante.

Moi: J'ai très envie de toi...

Lyra fixa mon entre jambe sur laquelle elle était assise puis elle sourit malicieusement.

Lyra: Je le sens ne t'inquiète pas.

Moi: Je sais que toi aussi.

Elle me fixa étonné les joues rougis.

Moi: Tu as eu de très mauvaise pensée dans le bar l'autre jour... Coquine...

Elle sourit en retirant son T-shirt... Et je vous laisse deviner la suite...

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PDV: Lyra

Son torse froid bougea sous ma tête. J'entrouvris les yeux et le vis me repousser doucement. Comme si il ne voulait pas me réveiller. Je gigota et il ses yeux se posèrent enfin sur moi.

Drogo: Salut.

Il semblait légèrement hésitant. Mais je l'ignora et vint embrasser son torse. Il se tendit.

Moi: Tu as bien dormis?

Drogo: Oui...

Je le fixa.

Moi: Qu'est-ce qu'il y a...?

Il se détourna. Et une chose cruelle semblable à la peur me serra le coeur des ses mains froides. Les larmes me montèrent aux yeux et mes mains tremblèrent légèrement. Cette envie d'hurler me prit d'un coup.

Moi: Pour toi c'était une erreur... N'est-ce pas...?

Drogo: Je veux rien de sérieux petite chose. Mais si ça peux te réconforter c'était super.

Moi: Casse toi.

Drogo: Lyra...

Moi: Casse. Toi.

Il se releva et enfila son jeans. Puis il s'éloigna vers la porte en me laissant un dernier regard emplit de culpabilité.

Lorsqu'il fut enfin sortit je me laissa tomber dans les draps froids qui entouraient mon corps nu. Une première larme glissa sur ma joue. Puis une deuxième. Et ainsi de suite. Je me sentais si seule. Il était déjà 6 heures du matin mais je n'avais pas le courage de me lever... Une heure de plus ou une heure de moins quel importance. Je pleura silencieusement. Et puis j'entendis cet voix résonner dans ma tête.