Is It Love Drogo: Le jeu de notre amour

Chapitre 6: Rougeurs

Elle avait encore chantonner, au-dessus d'une musique de Maluma. Sa magnifique tresse noir se balançant dans son dos. Je l'avais regardé balancer ses hanches. Elle était trop sexy... Elle avait fait un jeu d'épaules, tourné la tête et rencontrer mon regard. Elle avait arrêté sa musique. Puis elle s'était figé et avait enfoncer ses ongles dans son bras blanc.

Je m'étais contenter de rire, avant de me retourner et de partir. Je n'avais pas entendu la musique reprendre, mais j'avais entendu Lyra crier à Nicolae:

Lyra: Je sors, a toute à l'heure.

Si avant, j'aurais tout fais pour qu'elle m'évite, la en aillant Lyra dans mes bras, la seule chose que je voulais, c'était la garder contre moi. Qu'est-ce qui avait pu changer en si peu de temps entre nous deux? Je voulais lui mentir, mais étrangement, je n'y arriverais pas...

Moi: Non je ne suis pas bipolaire. Allez je vais te laisser moi...

Elle ne s'écarta pas pour autant.

Lyra: Drogo dit moi...

Je la repoussa sur le lit, me leva et rejoignis la porte. Mais quelque chose m'empêcha de sortir. Une voix dans mon esprit qui ne cessait de répéter: Reste... Reste... Reste...

Je me figea. Puis la voix commença à me dire: Dis la vérité... Dis la vérité... Dis la vérité...

Alors je me retourna vers elle. Assise en tailleur sur son lit, ses longs cheveux tombants dans son dos elle m'observait calmement.

Je sortis mes canines et sentit mes pupilles rougir.

Moi: Et moi je me nourris de sang...

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PDV: Drogo

Je regarda son petit corps se figé. Normale qu'elle ait peur. Je repris apparence humaine, mais elle ne se detendit pas pour autant. La lune commençait lentement son ascension dans le sombre ciel de la nuit, laissant sur sa délicate peau de fin reflet jaune... Elle était un appel au péché devant sa lèvre mordiller, ses ongles qu'elle venait d'enfoncer dans sa peau couleur lait, ses yeux qui me fixait à la fois effrayée, fasciné et... Soulagée...?

Je la regarda se lever doucement, s'approcher de moi et me tourner autour en me fixant de ses grands yeux bleu et vert.

Moi: Je comprends que tu ais peur...

Lyra: Chut! Je n'ai pas peur... C'est ça le plus effrayant.

Je la regarda un peu plus intensément.

Moi: Tu n'as... pas peur...?

Lyra baissa les yeux... Elle mentait...

Moi: Tu peux me le dire...

Lyra: Non je n'ai pas peur! Et c'est ça qui me fais peur!

Elle se rassit sur son lit et demanda à mi-voix:

Lyra: Depuis quand.

Je m'allongea près d'elle.

Moi: J'ai 76 ans...

Lyra: Et toute tes dents apparemment...«