Chapitre 5

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Rappel du chapitre précédent :

Sans surprise Hisoka pose cette question, parce qu'il fait partie de la brigade fantôme et qu'il n'y a jamais croisé nannie. Elle le regarde longuement puis avoue.

- J'en suis la fondatrice. Je suis le corps de l'araignée. Sa base. Sans moi, rien n'existe. Et si mon tatouage possède un crâne à la place d'un nombre c'est pour me rappeler le sang que j'ai sur les mains.

Intéressant. Ce qui signifie qu'elle a au minimum cent ans parce que la brigade a vue le jour au siècle dernier.

Pdv Hisoka :

Elle ... la fondatrice de la brigade fantôme ?! Bizarrement, je la crois sur parole. Irumi pose sa question, elle est vraiment étrange. Mais bon ...

- Qui sont tes miracles et qu'elle est ta relation avec eux ?

Je la vois elle est mal à l'aise. Elle ne veux pas répondre mais elle a juré. Donc elle réponds.

Elle s'approche d'Irumi et pose sa main sur sa joue et j'avoue que je suis jaloux. C'est mon jouet, pas le sien.

- C'est vous ... toi et ta famille.

Je le regarde équarquiller les yeux. Lui qui est si peu émotif perd le contrôle de ses émotions. Elle a fait fort sur ce coup.

- Vous êtes mes descendants. Plus précisément, vous êtes les descendants de mes deux premiers enfants qui ont eu un enfant ensemble. Alvares et Varaël.

Houlà, l'inceste. Elle s'éloigne le temps de nous laisser digérer la nouvelle.

Pdv Aëlraen :

Je crois que j'y suis allée un peu fort avec eux. Mais, bon. C'est comme ça. Je me pose un peu plus loin et m'endors rapidement.

Ellipse jusqu'à l'arrivée de Kirua & cie.

À peine sortent-ils du couloir qui je me rue sur eux. Je me suis réveillée il y a une heure et je ne les voyais pas. Donc, je me suis inquiétée.

- Qu'est-ce qui vous a retardé, sales gosses ?

J'entends Léolio, Tompa et Kurapika râler lorque je les appelle comme ça. Puis ils s'éloignent me laissant seule avec le petit aux cheveux blancs.

- On a du combattre des prisonniers. Un par personne. Tompa a abandonné. Kurapika a détruit un faux membre de la brigade fantôme. Gon a éteint la bougie de son adversaire. Léolio nous a fait perdre cinquante heures. Et j'ai tué un assassin professionnel.

Je hoche la tête. Et Kirua reprends.

- Et toi, comment s'est passée ta descente ? Et pourquoi tu porte les habits du clown pervers ?

- Houla, chaque chose en son temps. La descente a été assez facile pour nous.

- Nous ?

- Oui. Ir ... Gitarakuru et moi. J'ai simplement affronté quelques prisonniers.

- Et l'autre ne t'a pas aidé ? !

- Non. Je lui ai demandé de ne pas le faire.

- Pourquoi ?

- Parce que j'avais envie de m'amuser. Ça faisait un moment que je n'avais pas pu me défouler.

- Et sinon, ton costume ?

- Ah. Ça. Mes vêtements se sont déchirés et j'ai demandé à mon petit clown de me passer des affaires que je lui avais laissé il y a quelques années.

Kirua ne semble pas en croire ses oreilles, mais je détourne la conversation.

- Ça n'a pas été trop dur de tuer cet assassin ?

Il me regarde presque choqué.

- Ah. C'est vrai. Tu ne sais pas qui je suis.

Qui il est ? Mais quel rapport ça a avec notre conversation ? Je fronce les sourcils.

- Je suis Kirua Zoldik. Troisième enfant de Kikyo et Silva.

Je tombe à genoux devant lui. Ça explique sa ressemblance avec mon premier fils. Il est son descendant.

- Je ne savais pas qu'ils avaient eu d'autres enfants que Irumi et Miruki.

Ses yeux s'écarquillent.

- Tu connais mes parents ?

- Si je les connais ? Plutôt bien, oui. Et toi, est-ce que tu connais une certaine " Nannie " ?

- Oui. C'est celle qui a élevé mes deux frères aînés. Pourquoi tu demande ça ?

- Parce que Nannie, c'est moi.

Pdv Kirua :

Je ne peux pas croire ses mots. Si ce qu'elle dit est vrai, alors c'est de sa faute si Irumi me torturait quotidiennement parce qu'il ne la retrouvait pas.

- Kirua, j'ai une faveur à te demander. Ça vas te paraître bizarre. Très bizarre. Mais, peut-tu me laisser goûter à ton sang ?

Pour le coup, sa demande paraît vraiment très très bizarre ! Et elle croit que je vais accepter en plus.

- Non.

- Dommage. Car tu aurais gagné une protection des plus efficaces.

Mais je n'ai pas besoin d'elle. Elle se fourre le doigt dans l'œil jusqu'au coude si elle pense le contraire.

Elle reste assise à sa place.

Pdv Aëlraen:

Il a refusé. Prévisible. La seule personne qui a accepté ça du premier coup est Irumi. Mais il me voue une confiance absolue.

Je vais protéger ce gosse. Et celui aux cheveux verts. Il me rappelle un ami très cher que je n'ai pas vu depuis quelques temps. En vrai je crois que je le fuis. Non, je ne crois pas ! Je le sais. Je ne veux pas qu'il me retrouve. Je l'aime à en crever. Si il est avec moi, il vas souffrir.

Après tout, cela fait trop longtemps que le Mal qui était en moi est devenu moi. Lorsque j'ai absorbé cet esprit, il y a des millénaires de cela, je ne pensais pas en arriver là. Je voulais tout simplement mourir. Mais je n'ai pas pu. Je ne peux pas. Je ne peux plus. Après tout, le Mal est immortel en ce bas-monde.

J'éclate d'un rire sordide. Mais je suis triste. Brisée. Le Mal m'a détruit. Je me détruit.

Pdv Gon:

Aëlraen ris. Elle me fait peur. Mais en même temps, elle m'attire. J'ai l'impression de retrouver quelque chose que j'ai perdu il y a longtemps. Je vois la tristesse dans ses yeux.

Alors, je vais vers elle et la prends dans mes bras. Elle sursaute et me regarde fixement. Puis, elle ...

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Je suis cruelle, je sais, désolée mes p'tits chasseurs. Bon, je sais plus si je vous l'ai dit, mais cette histoire est un Gingxoc. Je ne respecte pas forcément tous les éléments de l'anim, puisque je le fais de mémoire, mais je fais de mon mieux. Évidemment je change quelques trucs pour que mon oc se sente plus à l'aise.

HunterxHunter. La protectrice. [pause]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant