Comme à chaque fois toute la maison se lèvent, il est déjà tard tout le monde se met donc à vaquer à leurs occupations. La fratrie s'en va faire du foot encore... Cela ne me dérange pas de toute façon je vais passer ma journée à travailler sur des textes de chanson que je ne finirais pas et qui ne me conviendrons pas et même en les reprenant ils ne seront toujours pas ce que j'aimerais qu'ils soient. Je galère je ne sais pas quoi écrire, ce syndrome de la page blanche me hante, il m'exaspère.
Et puis je ne cesse de repenser à lui je suis impatiente à l'idée qu'il revienne pourtant il ne rentrera que peut de temps avant le couvre-feu et je m'y attends mais c'est agaçant, exaspérant même. Pourquoi donc le cerveau humain ne peut-il pas se débarrasser des pensées futiles. Sont-elles vraiment futiles ? Peut-être pas mais j'essaie de m'en convaincre pour éviter une descente en enfer certaine si je n'arrive à me détacher de ce jeune homme, ce n'est qu'un humain comme les autres pourtant. N'est-ce pas ? Quoique il est vraiment unique et si attachant...
Enfin il est rentré de sa petite virée sportive avec ses frères, très vite la table est dressée, le repas servi et les assiettes vidées avec une certaine rapidité malgré les discussions qui ont ponctués le repas. La table est débarrassée et comme à son habitude il descend jouer avec ses frères. Je suis jalouse de ses frères pas de leur position par rapport à l'être aimée, que dis-je je ne l'aime pas ! Je suis jalouse parce qu'ils passent du temps avec cette être merveilleux.
Mais vers deux heures du matin il n'était toujours pas revenu me voir, je me sentais seul et le savoir très probablement en train de passer du bon temps alors que je suis la seul dans ma chambre, mes amis sont allés se coucher je n'ai personne avec qui être en appel, quelle tristesse. Je me décide alors à m'allonger et éteindre des lumières. Ma vidéo n'a aucune saveur je n'ai aucune envie de la regarder mais pourtant je le fais. Perte de temps. Un rayon de lumière se glisse dans ma chambre de même que cette être que j'attendais avec tant d'impatience. Je rallume les lumières de la pièce tout en lui disant que je pensais ne pas le voir ce soir. Pourtant il était la et même si comme a mon habitude je me le cachais cela me comblait de bonheur. Notre discussion fut quelque peu plus courte que les autre soir mais tout aussi bien que les autres, vu que il m'offrait sa présence.
Avant de redescendre il me prit dans ces bras et mon dieu qu'il me serrait fort dans ses bras grands puissants, quel sentiment réconfortant. Il me serrait encore dans ses bras et je m'y noyais si tendrement et doucement il me délaissait sur le lit, me laissant m'étaler sur mon matelas. J'étais là allonger et il était là au-dessus de moi ces mains de part et d'autre de mes épaules, son corps au-dessus de moi, ces yeux poser sur moi, son regard si calme qui en toute finesse traverser mon âme et que j'admirais avec tant de plaisir, de consternation. Il se releva et se tenant devant moi, il me sourit et alors assise sur mon lit je lui rendais se sourire et il sorti.
Mon imagination me fait défaut. J'aurais pu voler de ses lèvres un doux baiser il aurait pu faire de même des miennes, cela aurait étais tellement plaisant, je sais que cela me transporterait de bonheur de plaisir. Mais non, il faut que j'arrête d'y penser je me fais du mal et puis j'ai si peux de courage que je sais que je ne me laisserai pas saisir par cette tentation ce désir si fort, si puissant mais enfouit en moi. Mais ce désir est-il vraiment enfoui peut-être le que je le montre déjà trop inconsciemment ?
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Cooper
RomanceUne histoire d'amour, tirée de faits réels, touchante et prenante. Plongez vous dans les pensées et la vie de Murphy, découvrez ses chagrins, ses joies, ses rêves et son amour de vacances. Découvrez toutes ses péripéties amoureuses et apprenez au fi...