𝒫𝑒𝓉𝒾𝓉 𝒸𝑜𝑒𝓊𝓇

Chapitre 14.

Précédemment:

Maya: désolée, des fois je m'emporte un peu...

Julien: tranquille Brunette. C'est sympa D'entendre une personne intéressante parler. Tu arrives grâce à captiver l'attention de tout le monde. Tu serais bonne en politique. Même si la aussi, c'est un domaine avec lequel j'ai du mal.

———

Maya: pourquoi?

Julien: j'ai l'impression qu'on nous l'a fou un peu à l'envers t'as vue. On essaye de nous embobiner de plus en plus dans un système sans réellement nous en dévoiler les faits. Et j'aime pas trop qu'on me prenne pour une petasse.

Maya: je pense que si les dirigeants disaient tout de tout, on y comprendrait pas grand chose. La plus part des gens ne sont pas capable de comprendre l'enjeu de mettre un taux de tant pour les importations avec le Canada et un taux plus bas avec un autre pays. Parce que les affaires de politique étrangères sont compliquées à comprendre et à traiter. Je pense même que si tout le monde était au courant de tout, ba on finirait par se replier que nous meme en monde unilatérale parce que les gens seraient perdus. Quand on ne comprends pas quelque chose alors qu'on fait des efforts pour le comprendre ça nous soûle, ça serait pareil pour les affaires étrangères, comme on y comprendrait rien on s'en désintéresserait et on abandonnerait l'ouverture qu'on a aujourd'hui. Je pense qu'on tomberait dans un Le Pennisme total.

Julien: comment tu peux avoir un discours si construit à 4h40 du matin? T'es incroyable meuf.

Elle pencha sa tête et la cola sur la cuisse du rappeur afin qu'il ne l'a voit pas rougir. Lui, n'était pas très à l'aise. Une pression chaude se faisait sentir en lui.

Julien: Maya?

Maya: hm?

Julien: tu peux bouger ta petite tête s'il te plaît.

Elle se releva d'un coup en se rendant compte du pourquoi du comment. Le rouge était encore plus présent.

Julien: qu'est-ce que t'es mignonne à être gêné. J'te jure.

Sans trop savoir comment, les deux se sont rapprochés. Sans trop savoir comment, une main tatouée se retrouva à caresser une joue pâle. Sans trop savoir comment non plus un baisse fut échanger. Juste un petit bisou. Une pression impulsée par le plus âgé, la brune avec ses grand yeux avait eu du mal à les fermer, c'était le choc. Mais quand elle posa enfin son cerveau sur la table de nuit et qu'elle profita enfin du moment, elle reprit le bisou. Bien plus puissant, arrachant même un petit grognement presque adorable du tressé. Toujours collé l'un à l'autre, elle se retrouva, sans trop savoir comment, assise sur les cuisses de son nouvel amant. Le baisé était devenu bestial. Presque vitale. Les mains du brun navigua de la nuque à ses cheveux en passant par son dos. Celles de la brune était sur le menton, enfoncée dans la barbe de l'aubagnais. Elles se cherchaient. Elles tâtaient. Elles voulaient sentir tout ce qu'elles pouvaient.

Julien: Qu'est's't'es belle.

Maya: tais-toi.

Elle l'embrassa encore et il l'a serra encore plus prêt d'elle. Il rompu le contact pour se déplacer vers son cou. Il déposa des dizaines de marques, qui demain, seront toujours présentes. Elle étouffa un gémissement avec le revers de sa main.

Julien: qu'est's't'es belle.

Maya: bon dieu Julien... tais-toi.

Il rigola un peu et se re-concentra sur les lèvres bien dessinnées de la brune. D'un coup de maître, il arriva à la retourner et à se positionner au dessus d'elle.