Chapitre 4.

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Précédemment:

Même si il ne pensa pas sur le coup qu'elle serait obligé de rencontrer quelques personne de sa mif.

———

Le lendemain, la journée passa rapidement. 17h sonna rapidement et la brune venait de sortir d'une session de deux heures de TD sur le droit constitutionnel. C'était un de ses thèmes favori. La brune avait décidé de faire un petit effort vestimentaire ne sachant pas où Julien allait l'amener. Elle avait choisi un top au dos nu qui se serrait avec un lacet fin. Elle avait accompagné son haut d'un jean bicolore qu'elle avait brodé elle même de petites fleures et avait aux yeux sa fidèle paire de babies noires. Son prof de droit des affaires, Monsieur Walger, vit son élève la plus brillante attendre seule. Il en profita pour aller lui parler. Monsieur Walger était un homme qui entré dans la cinquantaine. Toujours habillé en costume, il avait une certaine classe.
Il lui proposa un petit cours particulier sur sa matière demain entre deux heures de trous, ce qu'elle accepta. Les cours de Monsieur Walter étaient toujours passionnants. Il était tellement passionné qu'il arrive à la transmettre.
Après cet arrangement, il parti la laissant seule. Un mec l'approcha et l'a dévisagea. Elle regardait nerveusement sa montre qui affichait 17h15. Elle hésitait à prendre la route en direction de l'arrêt de bus afin d'échapper à ce type et à une humiliation plus grande encore.
Il l'approcha encore plus et la siffla. Maya avait tellement envie de lui faire une réflexion mais n'osa pas puisqu'elle connaissait son corps. Elle ne faisait pas le poids contre un mètre 90 pour environ 85 kilos. Elle baissa sa tête encore plus, espérant qu'il laisserait tomber.

Mec: salut minette t'as pas un petit num. Aller meuf fait pas ta pute! Partage.

Et pour la seconde fois depuis leur rencontre, le sauveur arriva. Il enroula son bras autour des épaules de Maya. Vêtu entièrement de noir, il baissa ses lunettes afin que l'autre puisse le reconnaître.

Julien: oh! Dégage mec.

Mec: désolé le S je savais pas que c'était ta meuf.

Julien: t'inqui-

Maya: que je sois sa copine ou pas t'as pas à me parler comme ça. Ou à parler comme ça à une fille. Tu penses que ta technique de chien d'la casse a siffler, les feront tomber sous ton charme? Change d'attitude espèce de hmar. Julien, on peut y aller?

Julien était soufflé de ce la brunette venait d'envoyer à l'autre con. Il était à la fois mort de rire de voir la tête à l'autre débile et la fois tellement impressionné que sous sa tête de petite calme elle arrivait à mettre des gifles par les mots à des grands gayars.

Mec: par contre, apprend à ta chatte de se calmer mec.

Julien: ferme bien ta gueule ptite merde.

Maya: laisse le ce pauvre type il en vaut pas la peine. On y va non?

Julien: hum.

Ils m'éloignèrent tous les deux dans la direction inverse à celui du malotru.

Julien: désolé pour le retard il y avait du monde sur la route et aucune place pour se garer.

Maya: t'inquiète pas. Merci encore pour le type.

Julien: tu rigoles! Je n'ai rien fait. C'est toi qui l'a remit à sa place le con.

Maya: j'aurais jamais osé si tu n'avais pas été là.

Julien: ça va devenir mon job de te sauver des putos.

Maya: moi ça m'arrange bien. Au moins j'ai pas à me battre.

𝒫𝑒𝓉𝒾𝓉 𝒸𝑜𝑒𝓊𝓇Où les histoires vivent. Découvrez maintenant