Je t'aime [FF Hyeongjun]

Suis-je devenue folle ?

Pdv T/P:

Je me réveille dans une immense chambre, je me lève et regarde les cadres accrochés aux murs. Je vois des photos de mes parents, Eun bi, moi et d'autres personnes que je ne connais pas. J'ouvre un placard qui était plus grand que celui que j'ai chez moi. Je vois des vêtements magnifique, mais je me souviens d'une chose, que j'ai été enlevée de force. J'entend la porte s'ouvrir, je tourne la tête  et voie un homme grand et musclé. Il referme la porte derrière lui et s'approche de moi. Je recule mais je suis bloqué par le mur. Il se rapproche plus près et me regarde, nous sommes quasiment collés l'un à l'autre. Je le regarde terrifiée.

Homme - T/P, n'ai pas peur de moi. Je ne vais pas te faire de mal. Viens, *tend ses bras* tu es en sécurité, ici personne ne te fera de mal.

T/P - Vous m'avez quand même balancé dans un vanne et assommé. Comment pourrais - je me sentir en sécurité....bon, si je décide de vous croire, promettez vous de ne pas me faire de mal?

Homme - Je ne peux pas te faire de mal, si je te rend triste ou autres je suis un homme mort. Mon maître t'a attrapé pour te marier avec le fils de ses ennemis pour que la guerre entre eux soit fini.

T/P - Je suis ravie d'apprendre que je sert de bouche-trou.

Homme - Pas de bouche-trou... enfilez la robe que mon ami va apporter. Ensuite, nous vous emmènerons dîner avec votre futur marier. J'allais oublier, n'essayez pas de faire comme si vous étiez quelqu'un d'autre.

Je le gifle et le pousse. Au même moment l'autre homme rentre. Il met la robe sur mon lit et sort. Je regarde cette robe, courte, rouge avec de la dentelle et plein de petites paillettes. Je l'enfile et me regarde dans le miroir. J'ai l'impression d'être un animal sans défense qui va se faire jeter dans la gueule du loup. Je toque à la porte pour dire que je suis prête et ils ouvrent la porte. Ils me tendent une paire de talons, je les enfile, ils me mettent une veste sur les épaules et m'emmène dans une salle. J'entre et ils me disent d'aller m'assoir sur une chaise. Après mettre assis, ils sortent et ferme à clef. J'attend et après une dizaine de minutes, une autre porte s'ouvre. Je regarde et voie une personne rentrer, je ne l'est jamais vu. Il s'approche de moi et je me lève. 

T/P - Que voulez vous, je n'ai rien fait.

... - Je m'appelle Tom, je ne suis pas d'ici, je suis Français donc ne parle pas trop vite sinon je ne pourrais pas traduire. Je vais t'expliquer, assis toi, je suis pose que tu as remarqué les tableau dans ta chambre, non ?

T/P - Oui pourquoi ?

Tom - Et bien toutes les personnes sur ses tableau son de ta famille. Je sais, tu n'es pas obliger de me croire. Mais c'est vrai. Tient,*sort de sa poche* ton collier. Ta mère voulais que je te remette quand tu serais prête.

T/P - Prête à quoi ?

Tom - Te marier et faire le métier familiale. 

T/P - Attendez, *se lève* où est la caméra, franchement je m'attendais à mieux. Comme si s'étais vrai. Le lendemain que ma sœur se soit réveiller de son comma je me fais kidnapper et on me sort que je vais me marier et reprendre un travail familiale, mais bien sûr !

Tom - Tu peux ne pas me croire mais elle tu la croira.

T/P - Qui ?

Tom se lève et me dit de le suivre. Nous sortons de cette salle pour traverser un long couloir et arrivons devant une grande porte. Il l'ouvre et je vois un visage qui me semble familier. Je m'approche et vois une personne inattendue.

T/P - Eo... Eomma ?

Elle se retourne et je sens les larmes me monter aux yeux. Je vois devant moi, se tenir une personne qui était sensé être morte. Ma mère, étant assise dans un fauteuil roulant. Je la regarde comme si elle était un monstre, puisque en sois s'en est un. Pendant toute mon adolescence, j'ai du vivre avec la mort de mes parents et tout d'un coup, je retrouve ma mère. Je me retourne et regarde ce fameux Tom. 

T/P - Comment c'est possible, je croyais qu'elle était morte, je l'ai vu mourir dans la voiture. *me rapproche d'elle* Eomma, tu me reconnais ? Je suis T/P, c'est moi.

Je sens les larmes couler sur mes fines joues. J'ai l'impression de devenir folle. Pourquoi tout ça, je n'ai rien fait de spécial. La seule chose que j'ai fait c'est essayer de bien travailler en cour pour faire plaisir à ma nouvelle famille. Je regarde ma mère et lui fait un câlin. Ils veulent quelque chose de moi, ils ne l'auront pas. Je me bâterais pour  les faire chier mais c'est sûr. Ils n'obtiendront rien de moi. Comme on dit, * L'espoir fait vivre*