Vampire K: Sister and brother

Chapitre dix: the final of the part one

J'étais encore toute secouée des révalations. J'étais dans la chambre où j'avais appris se que j'étais en faite au fond de moi, ma véritable nature. Est-ce que Kaylie avait été au courant de tout ça depuis tout ce temps? Que mon père était en faite un vampire? J'étais quoi moi dans toute cette histoire? J'arrivais pas à trouver ma place, les choses avaient changées, tous était maintenant différents, plus rien ne redeviendrait comme avant. Jérémi était sorti faire je ne sais quoi, surement trouver une manière de sauver sa belle. Je n'étais rien pour lui, juste sa monnaie d'échange pour récupérer Kendall. Oui, je sais il a dit qu'il voulait à présent me protéger, mais et alors, sa ne veut rien dire. Il ne m'avait pas donné de véritables explications sur la chose, les raisons exactes du pourquoi il voulait à présent me proteger. Il est prêt à tout pour elle, j'en suis sûre, je crois que je ferais la même chose si j'étais dans sa situation,  si un de mes proches avaient disparu et qu'on me donnait l'occasion de le retrouver. J'avais envi de sortir, Jérémi m'avait formélement interdit de franchir le seuil de la porte pour ma sécurité, mais j'avais besoin de prendre l'air, j'avais la sensation d'être un amster en cage, mais sans la roue biensur.

-Et puis qu'est-ce qui pouvait m'arriver ? Jusqu'à là, personne ne m'a attaqué à part un camion qui m'a envoyé à l'hosto.

Je voulais aller voir Logan, comme chaque fois que j'ai besoin de parler à quelqu'un. Je n'allais pas lui révéler que j'étais un vampire, mais j'avais besoin d'aller me confier à lui, il était mon meilleure ami, et il n'allait pas être en ville avant vendredi prochain, et on était lundi. Je n'allais pas attendre jusqu'à là, la patience navait jamais était mon fort. Je me leva du lit où j'étais allongée. Il fallait que j'aille au plus vite à la maison pour prendre quelques affaires. J'ouvris la porte qui donnait sur le couloir et vérifia qu'il n'y avait personne. La femme de ménage était passée aujourd'hui, et elle était au rez-de-chausée à dépoussiérer le salon, puis elle allait monter dans les chambres faire le ménage. J'avais maximum une heure avant qu'elle alerte Jérémi de ma disparition, il fallait faire vite. Je dessendis les escaliers sur la pointe des pieds, elle était dans la salle de bain du bas à prendre des produits de ménage. "Aller go, go", me dit-je au fond de moi pour me donner du pep's. Je courus jusque devant la porte l'ouvrit et sortit dehor. Je me cacha derrière un arbre pas très loin et regarda dans l'allée. Sa moto n'était pas là. Je commença un sprite dans le petit sentier terreux qui menait au parc, arrivée en bas j'étais toute essoufflée. Pourquoi est-ce que j'avais arrêter l'athlétisme, moi aussi? Comment j'allais faire pour arriver jusqu'à dans la maison en aussi peu de temps ? Je chercha, chercha, mais je n'avais pas d'autre idée que marcher et courir, mais sa aller prendre trop de temps. J'en aurais pour une heure au moin pour arriver juqu'à ma destination. Mais en tournant ma tête je vis un vélo. Je monta dessus et commença à pédaler. C'est bon c'est pas la mort, c'est pas comme si je ne le rendrais jamais, au retour je le redéposerai au même endroit, comme ça son propriaitaire le retrouverait. En pédalant je pensa à bon nombre de chose, qu'est-ce que j'allais dire à Jérémi au retour? Mais bon pas le temps pour les questions, quand je suis décidée à quelque chose, je l'entreprend jusqu'au bout. J'étais arrivée devant la maison en vingt minutes, plus que quarante avant que l'alerte ne soit donnée et que le vampire Jérémi se mette à mes trousses. Je laissa le vélo devant le portail. La clef était sous le paillasson, je la prie l'inséra dans la serrure, tourna deux fois avant que la porte daigne s'ouvrir. Kévin n'était pas ici, il n'était jamais à la maison avant le soir. Je courus dans ma chambre. Elle était exactement comme d'habitude: mon lit à côté de la porte tout déplié. Mon placard ouvert montrant plein d'affaire en désodre, des tonnes de chaussures  par terre. Je prie en bas de mon placard une grosse valise et mit tout se que je voulais emporter. En cherchant la deuxième paire de mes runnings sous le lit de Kaylie que j'étais sure qu'elle m'avait emprunté, je trouva une note écrite sur un bout de papier. C'était chiffoné, je l'ouvrit, c'était une belle écriture longue, qui était griffonée sur une simple feuille blanche déchirée, comme si la personne avait précitemment écrit ça: